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CLARKE Arthur Charles BIBLIOWEB.ORG Biographie, bibliographie, résumé, fiche de lecture, commentaire composé, dissertation.
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    > BIOGRAPHIE
    CLARKE Arthur Charles

    Arthur Charles Clarke est né le 16 décembre 1917 de l’union de Charles Wright Clarke, lieutenant des Royal Engineers et de Nora Mary, née Willis. Sa naissance intervient dans une petite ville côtière de l’Angleterre dénommée Minehead, dans le Somerset. Il sera rejoint dans la fratrie par Michael, Mary et Frederick.

    Son enfance se déroule à Minehead où il fréquente l’école primaire. Très jeune, il montre des dispositions pour les études, et en particulier les sciences. Il construit son premier télescope à l’âge de treize ans. Entre temps, son bagout et ses aptitudes scolaires poussent un de ses professeurs de primaire, l’honorable Monsieur Tipper, à le recommander pour le lycée de Taunton ce qui lui permettait d’envisager par la suite une formation universitaire. En 1927, il découvre l’ivresse de l’espace en montant dans un biplan Avro 504 en compagnie de sa mère. Son père meurt en 1931 alors qu’il a 14 ans.

    A cette époque, nous sommes alors au début des années 30, Arthur est un fervent collectionneur de pulps depuis 1928 ; tout son argent de poche passe dans l’achat d’Amazing, d’Astounding ou de Wonder Stories. Très tôt, il est intéressé par l’écriture, participe au comité de rédaction du journal du lycée et y publie ses premiers textes sous le pseudonyme transparent de Clericus. Par l’intermédiaire du courrier des lecteurs des pulps précités, il est en relation avec des d’autres fans et entretient une relation épistolaire avec l’auteur anglais, Eric Frank Russel.

    Curieusement alors que son niveau scolaire et sa curiosité scientifique lui permettent d’envisager une formation universitaire, il devient, au sortir du lycée, auditeur pour le Trésor Royal en 1936. Par chance son logement se trouve situé à proximité des locaux abritant la société interplanétaire britannique qu’il fréquente assidûment au point d’en devenir le président en 1949. Il commence à écrire des textes d’anticipation scientifiques dont le premier Travel by wire est publié en décembre 1937, dans le deuxième opus d’un fanzine nommé Amazing S.F. Stories. Suivent en 1938 deux autres nouvelles dans le même fanzine pour aboûtir à sa première publication dans une revue professionnelle Tales of Wonder sous l’égide de Walter H. Gilling, qui lui mit en main sa première machine à écrire.

    Le déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale conduit le jeune Arthur à, dans un premier temps quitter l’administration et, dans un deuxième, à servir dans la RAF comme capitaine de 1941 à 1946. Il travaille alors sur les radars et habite Strafford-on-Avon, ville hantée par le souvenir de Shakespeare. En tant que tel, il participe à l’élaboration du système d’alerte radar qui a fortement contribué au succès de la Royal Air Force pendant la bataille d’Angleterre. En 1945, il écrit pour la revue Wireless World, un essai intitulé Extra-terrestrial relays dans lequel il définit avec 22 ans d’avance le concept de télécommunications par un réseau satellites autour de la terre. Malgré un certain scepticisme, ce texte lui vaudra la médaille d’or de l’Institut Franklin, en 1982 le Marconi International Fellowship ; le Vikram Sarabhai Professorship of the Physical Research Laboratory, Ahmedabad ; le Lindbergh Award et le Fellowship du King’s College de Londres, et tout ça vous fait une solide réputation de visionnaire.

    Avec la fin de la guerre, Clarke est déjà un auteur reconnu qui place régulièrement ses nouvelles dans les meilleurs revues du moment, y compris auprès du pape de l’époque, John Campbell.

    En 1946, il reprend des études à King’s Collège dont il sort en 1948 avec une licence de physique et de mathématiques. Il rencontre pendant ses études C.S Lewis et J.R.R. Tolkien, comme son chemin croise quelques années plus tard ceux de Robert Bloch et E. E. "Doc" Smith. Il intègre alors comme éditeur adjoint la revue Physics Abstracts qui comme son nom l’indique vulgarise les sciences physiques. Il restera dans cette fonction jusqu’en 1951, écrivant de façon de plus en plus soutenue. En 1949, il écrit le scénario d’un épisode TV Captain Video and His Video Rangers, série à laquelle collaborreront ultérieurement Jack Vance, James Blish et même Samuel Fuller. Il renouvelle cette expérience en 1985 pour l’adaptation de The star dans la série Twillight zone.

    En 1948, est paru son premier roman Against the fall of nignt, texte assez court qu’il reprendra en 1956 pour La cité et les astres. En 1950 paraît son premier ouvrage technique Interplanetary flight, qui sort simultanément à Londres et New-York et qui est suivi l’année suivante de The exploration of space et de romans dont The sands of Mars, rapidement publié (1955) en France par le Fleuve Noir. Dès lors, Arthur C. Clarke peut envisager de vivre de sa plume en utilisant ses deux compétences d’écrivain et de vulgarisateur scientifique. A ce stade, il n’est plus possible d’éviter de citer le traité Asimov-Clarke qui définit un pacte de non agression entre les deux géants de la vulgarisation scientifique et de la SF. Rappelons pour mémoire que Clarke se reconnaissait second écrivain scientifique et premier de science-fiction, accordant à Asimov le titre pour la vulgarisation et la deuxième pour l’écriture de SF. On ne parlera, bien sûr pas de l’égo qu’il fallait pour rejeter au moins à la troisième place tous les autres auteurs de l’époque. Notons également sur un air de pochade, mais en fait assez profond, sur le modèle des Trois Lois de la Robotique asimovienne, les siennes :

    Première Loi de Clarke :
    « Quand un savant distingué mais vieillissant estime que quelque chose est possible, il a presque certainement raison, mais lorsqu’il déclare que quelque chose est impossible, il a très probablement tort. »

    Deuxième Loi de Clarke :
    « La seule façon de découvrir les limites du possible, c’est de s’aventurer un peu au-delà, dans l’impossible. »

    Troisième Loi de Clarke :
    « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. »

    Avec l’indépendance, Clarke renoue avec son attirance pour la mer et pratique de façon soutenue la plongée sous-marine qu’il redécouvre lors d’un voyage sur la grande barrière de corail ; lors de ce voyage, il s’arrête brièvement sur l’île de Ceylan pour la première fois en décembre 1954. Il reconnaît en cette île son paradis perdu et n’aura de cesse d’y revenir pour s’y installer et y vivre à plein temps à partir de 1956, malgré de longs démêlés avec l’administration fiscale locale. Il finit par obtenir en 1975 le statut d’hôte résident, le premier accordé à un étranger.

    C’est au cours d’un stage de plongée sous-marine en Floride qu’il rencontre Marilyn Mayfield qu’il épouse le 15 juin 1953, quelques semaines après leur première rencontre. Manifestement tout cela est bien précipité, puisqu’en décembre de la même année, le couple se sépare et divorcera quelques années plus tard. Clarke ne s’étendra jamais beaucoup sur son mariage et les raisons de son échec, mais il ne renouvellera plus l’expérience cultivant l’image d’un misogyne solitaire et parfois bougon.

    Les années cinquante sont une période très productive pour Arthur qui, outre des romans et nouvelles de science-fiction, continue à faire de la vulgarisation scientifique et assouvit sa passion pour la mer en participant avec son ami, Mike Wilson, à des tournages et des ouvrages sur la grande barrière en Australie.

    Il décroche le Hugo de la meilleure nouvelle en 1956 pour le fabuleux texte qu’est The star. Il est d’ailleurs invité d’honneur lors de la convention de cette année là..
    Avec les années soixante, il va " exploser " à la lumière grâce à 2001 : une odyssée de l’espace. Et pourtant, la période commence mal avec en 1962 une paralysie totale consécutive à un coup accidentel sur la tête. Quand en 1964, il commence sa collaboration avec Stanley Kubrick, il a retrouvé ses moyens, mais doit fuir son île pendant au moins six mois par an pour échapper à la voracité du fisc ceylanais. Il s’installe alors à New-York à l’hôtel Chelsea, et réduit considérablement sa production littéraire. à partir du printemps de cette année et travaille à l’élaboration du scénario du film qu’il novélisera dans la foulée. Le film absorbe une très grande partie de son activité et conduit donc à une baisse notable de sa production littéraire. Mais le film est un immense succès, lui vaut un Oscar avec Kubrick et une notoriété planétaire.

    Il cotoie alors Andy Wahrol, Arthur Miller, Allen Ginsberg et Norman Mailer. A partir de cette période, il est sollicité pour tous les grands événements en rapport avec l’espace et les télécommunications. Il est ainsi le commentateur scientifique des directs des premières missions Apollo (Apollo 11, 12 et 15 avec Walter Cronkite et Wally Schirra pour CBS), fait des conférences bien rémunérées partout dans le monde et continue à proposer souvent avec talent ce que pourrait être le monde futur.

    En 1973 paraît Rendez-vous avec Rama qui truste le Hugo, Le Campbell et le Nebula et marque pour un temps un arrêt de l’écriture chez Clarke. Il se consacre alors à savourer sa victoire sur l’administration ceylanaise qui lui permet de vivre à sa convenance et à mûrir lentement ses oeuvres suivantes, comme Les fontaines du Paradis, paru en 1979 et qui développe le système de l’ascenseur comme moyen de gagner les étoiles pour un coût réduit. Il expérimente également le rôle d’acteur en jouant le rôle de Leonard Woolf dans une adaptation de The village in the jungle, livre écrit en 1913 par Leonard, mari de Virginia Woolf et adapté pour une série TV par Lester James Peerie en 1979. Il renouvellera cette expérience en 1994 pour jouer son propre rôle dans Without warning.

    Son activité télévisuelle se développe également dans la création et l’animation d’une émission pour Yorkshire TV avec Arthur C. Clarke Mysterious World à partir de 1980, puis de World of Strange Powers en 1984 et Mysterious Universe en 1994. Dans ces émissions, il confirme son talent de conteur et de vulgarisateur scientifique en proposant ses propres sources d’émerveillement qu’il trouve dans la contemplation de la nature et de l’univers.

    Clarke ne prétend pas prédire l’avenir, bien au contraire, il reprend à son compte la phrase de Ray Bradbury : "Nous écrivons, non pas pour prédire le futur, mais pour le prévenir". Chez Clarke, la science sert à construire des intrigues cohérentes (au regard des connaissances de l’époque) et à extrapoler sans se prendre au sérieux. Il cherche à présenter les possibilités avec un point de vue positif, sans en voiler les dangers, mais sans faire du catastrophisme à tout crin. Pour reprendre son intervention en mai 1967 à l’American Institute of Architects : "Ce que je fais donc, en fait, c’est de vous présenter un choix d’avenirs assortis ; à vous de décider lequel vous voulez".

    La co-écriture de Clarke commence dès 1986 avec Gentry Lee, l’ingénieur en chef du projet Galileo, avec qui il produit Craddle qui sera suivi des développements de Rama. Il écrit également avec Gregory Benford, Mike Mc Quay (rappelons que dans 10 sur l’échelle de Richter, Clarke s’est contenté d’écrire un synopsis de moins de 1000 mots), Stephen Baxter, Michael P. Kube-McDowell et en dehors de la science-fiction avec, entre autres, Robert Silverberg.

    Il est à noter que sa première collaboration coincide avec le diagnostic de la [maladie de Gehrig, une dégénérescence neurologique du cerveau dont le pronostic est mortel à court terme. Deux ans plus tard, en 1988, le diagnostic est revu comme séquelles de la poliomélythe dont l’issue n’est pas fatale, mais le conduit dans une chaise roulante. A compter de cette période où il écrit encore et en particulier les 3 suites de 2001 : 2010 : Odyssée 2, 2061 : Odyssée 3 et 3001 : L’odyssée finale. On peut regretter cette volonté de la suite qui se traduit souvent, et c’est le cas pour 3001, par des livres insipides ou carrément nuls. Il est couvert d’honneurs : chevalier en 1998, nominé au prix Nobel de la Paix en 1994, docteur honoris causa de nombreuses universités.
    Il obtient le titre de grand maître SFWA en 1986.

    Bibliographie

    Against the fall of nignt 1948
    Interplanetary flight 1950
    Les enfants d’Icare, Childhood’s End, 1950
    Prélude à l’espace, Prelude to space, 1951
    Les sables de Mars, Sands of Mars, 1951
    Les îles de l’espace, Islands in the sky, 1952
    Les enfants d’Icare 1953
    Les prairies bleues, The deep range, 1954
    The sands of Mars 1955
    Lumière cendrée, Earthlights, 1955
    Demain, moisson d’étoiles, Reach for tomorrow, 1956
    La cité et les astres, The city and the stars 1956
    L’étoile, The other side of the sky, 1958
    S.O.S. Lune, A fall of Moondust, 1961
    Naufragés de la lune, A fall of Moondust, 1961
    L’île des dauphins, People of the seas, 1963
    2001 :L’odyssée de l’espace, 2001 :A SpaceOdyssey, 1968
    Le vent venu du soleil, The wind from the sun, 1972
    Rendez vous avec Rama, Rendez-vous With Rama, 1972
    Avant l’Eden, The nine billion name of gods, 1974
    Terre : planète impériale, Imperial Earth, 1975
    Les fontaines du paradis, Fountains of paradise, 1979
    2010 : Odyssée 2, 2010 : Odyssey Two, 1982
    Les chants de la Terre lointaine, The song of distant Earth, 1986
    Le 20 juillet 2019 1986
    2061 : Odyssée 3, 2061 : Odyssey Three, 1988
    La Terre est un berceau, Cradle, avec Gentry Lee, 1988
    Rama 2, avec Gentry Lee, 1989
    Le fantôme venu des profondeurs, The ghost from the grand banks, 1990
    Les jardins de Rama, The Garden of Rama, avec Gentry Lee, 1991
    Rama Révélée, Rama revealed, avec Gentry Lee, 1993
    Le marteau de Dieu, The hammer of God, 1993
    10 sur l’échelle de Richter, Richter 10, avec Mike McQuay, 1996
    3001 : L’odyssée finale, 3001 : The final odyssey, 1997
    Le feu aux poudres : La détente, The Trigger, avec Michael P. Kube-McDowell, 1999
    Le feu aux poudres : L’enrayeur, The Trigger, avec Michael P. Kube-McDowell, 1999
    Lumière des jours enfuis, The Light of Other Days, avec Stephen Baxter, 2000

    Contenu de Demain, moisson d’étoiles, Reach for tomorrow, 1956

    Expédition de secours, Rescue party, 1946
    Une marche dans la nuit, A walk in the dark, 1950
    L’ennemi oublié, The forgotten enneny, 1948
    Erreur technique, Technical error, 1946
    Le parasite, The parasite, 1953
    Les feux intérieurs, The fires within, 1947
    Le réveil, The awakening, 1952
    L’indigène est rétif, The men in the flying saucer, 1951
    La malédiction, Nightfall, 1947
    Le vecteur temporel, Time’s arrow, 1950
    Jupiter cinq, Jupiter five, 1953
    Les possédés, The possessed, 1953

    Contenu de L’étoile, The other side of the sky, 1958

    Le réfugié, Refugee, 1955
    De l’autre côté du ciel, The other side of the sky, 1958
    Par mesure de sécurité, Security check, 1957
    Objectif Lune, Venture to the Moon, 1956
    Campagne publicitaire, Publicity campaign, 1953
    Toute la vie devant soi, All the time in the world, 1952
    Casanova cosmique, Cosmic Casanova, 1958
    Les sons de la Terre lointaine, The songs of distant Earth, 1957
    L’orchidée récalcitrante, The reluctant orchid, 1956
    A l’aube de l’histoire, Encounter at dawn, 1953
    Si jamais je t’oublie, ô Terre, If I forget thee, O Earth, 1951
    Brevet de souffrance, Patent pending, 1954
    Le visiteur, Transience, 1949
    L’étoile, The star, 1955

    Contenu de Le vent venu du soleil, The wind from the sun, 1972

    La nourriture des dieux, The food of the gods, 1964
    Maelstrom 2, Maelstrom 2, 1965
    Clartés dans l’abîme, The shining ones, 1964
    Le vent qui vient du soleil, Sunjammer, 1964
    Mystère sur la lune, The secret of the men on the moon, 1963
    Dernières instructions, The last command, 1965
    Qui est à l’appareil ? Dial F for Frankenstein, 1965
    Retrouvailles, Reunion, 1971
    Retour sur soi, Playback, 1966
    Lumière au coeur des ténèbres, The light of darkness, 1972
    La plus longue histoire de science-fiction jamais contée, The longest science-fiction story ever told, 1965
    L’honorable Herbert George Morley Robert Wells, Herbert George Morley Robert Wells, 1972
    Amour universel, Love that universe, 1961
    Croisade, Crusade, 1968
    Le ciel impitoyable, The cruel sky, 1967
    Marée neutronique, Neutron tide, 1970
    Passage de la Terre, Transit of earth, 1971
    Face à face avec Méduse, A meeting with Medusa, 1971

    Contenu de Avant l’Eden, The nine billion name of gods, 1974

    Les neuf milliards de nom de Dieu, The nine billion names of God, 1967
    Je me souviens de Babylone, I remember Babylon, 1960
    Question de temps, Trouble with time, 1961
    Expédition de secours, Rescue party, 1946
    La malédiction, The curse, 1947
    Un été sur Icare, Summertime on Icarus, 1960
    Le chien de Lune, Dog star, 1962
    Il court, il court... Hide and seek, 1949
    Hors du soleil, Out of the sun, 1958
    Le mur de ténèbres, The wall of darkness, 1949
    Pas de lendemain, No morning after, 1954
    L’éternel retour, The possessed, 1953
    La mort et le sénateur, Death and the senator, 1961
    Esprit, es-tu là ? Who’s there ?, 1958
    Avant l’Eden, Before Eden, 1961
    Supériorité, Superiority, 1951
    Une marche dans la nuit, A walk in the dark, 1950
    L’appel des étoiles, The call of the stars, 1967
    La sentinelle, The sentinel, 1951

    Arthur C. Clarke, à la FNAC.
    Arthur C. Clarke, chez Alapage.
    Arthur C. Clarke, chez 2xmoinscher.
    Arthur C. Clarke, chez Priceminister.



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