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MICHAUX Henri BIBLIOWEB.ORG Biographie, bibliographie, résumé, fiche de lecture, commentaire composé, dissertation.
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    > BIOGRAPHIE
    MICHAUX Henri

    Henri Michaux naît à Namur le 25 mai 1899, dans une famille de commerçants. Son père est ardennais et sa mère wallonne.
    De 1900 à 1910, il vit à Bruxelles, où il en pension à Putte Grasheide, hameau de la Campine en 1906.
    En 1911 il retourne à Bruxelles et va étudier chez les Jésuites. Il lit beaucoup (Hello, Ruysbroek, Tolstoï, Dostoievski ainsi que des vies de saints). Il cherche en direction d’un certain mysticisme. Il passe le baccalauréat mais la guerre ralentit ses études du fait de la fermeture de l’Université.
    En 1919, il prépare le P.C.B qu’il ne passe pas et abandonne la médecine.
    Entre 1920 et 1921, il s’embarque comme matelot à Boulogne, puis à Rotterdam pour des voyages au long cours. Il se retrouve à Marseille sans emploi après le désarmement mondial des bateaux et effectuent des petits métiers divers pour survivre.
    En 1922, il revient à Bruxelles. Il découvre Lautréamont dont la lecture l’incite de nouveau à écrire. Il se lie avec Franz Hellens.
    En janvier 1924, il quitte définitivement la Belgique pour Paris. C’est une nouvelle naissance, une des nombreuses de cet homme qui aura « cinquante fois vingt ans ». Une vie de chien l’y attend. Par nécessité et par choix, Michaux va d’hôtel en hôtel. Cette vie sans attaches, de terre brûlée, lui convient, lui qui déchire les lettres et efface ses traces. Son premier texte, Cas de folie circulaire, paraît dans le Disque vert. Un réseau d’amitiés lui permet pourtant de survivre, et plutôt gaiement. Parmi eux, Marcel Jouhandeau et, surtout, Jules Supervielle, celui-ci pour la vie. Le poète né en Uruguay lui ouvrira les portes de l’Amérique latine. La rencontre avec Jean Paulhan sera déterminante également.
    De 1924 à 1927, il publie des textes dans différentes revues et ses premiers livres : Les rêves et la jambe (1923), Qui je fus (1927 - N.R.F.).
    En 1925, à l’occasion d’une exposition surréaliste, il découvre les peintures de Paul Klee, Ernst, Chirico... et donne ses premiers essais graphiques (" Pages d’écriture ", tache intitulée : Un poulpe ou une ville. Dessins).
    En 1927, il part pour l’Équateur avec son ami le poète Gangotena. Il voyagera près d’un an en Amérique latine. C’est un voyage de déception : « Vous réclamez du tigre, du puma, on ne vous donne que du quotidien. » Quand paraîtra le livre, ses amis de Quito « au nom de couteau » se sentiront blessés.
    Entre 1928 et 1930, il retourne à Paris. A la mort brutale de ses parents, il entreprend un grand voyage qui le mène jusqu’en Turquie. Il publie Ecuador à la N.R.F., Mes Propriétés, Un certain Plume.
    De 1931 à 1932, il effectue un long voyage en Orient où il découvre l’Inde, la Chine, l’Indonésie. L’Inde le fascine mais n’abolit pas sa veine iconoclaste : « S’il y a un être saint pour les Hindous, c’est leur mère. Quel est l’ignoble individu qui oserait en dire un mot ? J’ai bien envie d’être cet individu. » C’est un « barbare » qui affronte l’Asie. « Ah si je pouvais vivre en télésiège », regrette-t-il, de retour en France.
    En 1933 à Paris, il publie Un Barbare en Asie.
    En 1935, il voyage de nouveau en Amérique latine, au Chili, en Argentine. Il publie La Nuit remue et, dans différentes revues, des textes qui formeront le Voyage en Grande Garabagne.
    En 1936, il publie Entre centre et absence avec sept dessins et un frontispice, premier de ses livres " illustrés " par lui même (Ed. matarasso) et le Voyage en Grande Garabagne.
    En 1937, il recommence à dessiner et à peindre plus assidûment. Pour la première fois quelques oeuvres de lui sont accrochées à la Librairie-Galerie de la Pléiade à Paris. Il publie La Ralentie.
    De 1938 à 1939, les aquarelles sur fond noir - et quelques autres - se développent. Elles sont exposées à la Galerie Pierre Loeb. Il publie son premier recueil important : Plume précédé de Lointain intérieur. Il collabore à Verve, à Mesures et s’occupe de la revue Hermès. Il publie Peintures : sept poèmes et seize illustrations en noir et blanc. Il voyage au Brésil où naîtront les curieux dessins d’Arbres des tropiques.
    De 1940 à 1942, un temps de retour à Paris, puis bientôt l’exode et vient le séjour à Saint-Antonin en Tarn-et-Garonne puis au Lavandou dans le Var avec sa future femme, Marie-Louise, rencontré dans le cercle du Dr Ferdière, un psychiatre dont elle fût l’épouse. Il publie Au pays de la magie en 1941. Il reprend l’aquarelle. La publication, en 1941, d’une conférence de Gide, Découvrons Henri Michaux, marque le début de la notoriété. Il exposition à la Galerie Zack et suscite de vives réactions de la part des étudiants des Beaux-Arts. Il publie Arbres des tropiques, plaquette illustrée de dix-neuf dessins en noir, et Je vous écris d’un pays lointain, un de ses premiers textes de l’occupation.
    De retour à Paris en 1943, il publie Exorcismes illustré de douze dessins en noir et blanc et d’un hors-texte en couleurs. Parmi eux de nouveaux essais d’idéogrammes : alphabet (R.J. Godet). Une petite plaquette : Tu vas être père - d’un certain Plume. Faute de pouvoir peindre, Henri Michaux dessine davantage (frottages et dessins au crayon conté).
    En 1944, il publie le Lobe des monstres, illustré d’un dessin au trait : Plume. Il expose à la Galerie Rive Gauche : Peintures récentes.
    En avril 1945 paraît Labyrinthes, contenant quatorze illustrations au trait, tantôt assez figuratives, tantôt à peine esquissées. Puis il séjourne à Cambo avec sa femme malade.
    En 1946, il publie Apparitions, contenant sept dessins et frottages au crayon conté et expose à la Galerie Rive Gauche. Il fait paraître Peintures et dessins, avec quarante-trois reproductions en noir et en couleur précédées du texte En pensant au phénomène de la peinture et expose à la Hume à cette occasion. Poddema paraît à Lausanne.
    En 1947 il voyage en Egypte et publie Ailleurs, recueil de textes antérieurs. Sa femme meurt accidentellement, horriblement brûlée. Il publie Nous deux encore puis le retire aussitôt de la circulation. Nombreux dessins à la plume sur lavis d’aquarelle et expose à la Galerie René Drouin, place Vendôme. Il fait ses premiers essais de lithographie : les Meidosems.
    En 1949 Michaux réalise une nouvelle série d’aquarelles très fortement expressive, le plus souvent rouges et noire. Il expose ces Dernières peintures à l’eau, à la Galerie René Drouin. Celui-ci édite Poésie pour pouvoir, avec un frontispice d’Henri Michaux et des linogravures de michel tapié.
    De 1950 à 1951, Michaux écrit moins et peint d’avantage. Des signes à l’encre de Chine couvrent des centaine de pages. Ils formeront l’album Mouvements publié en 1951. Il publie Tranches de savoir et Passages, recueils de textes réflexifs et d’aphorismes.
    En 1952, il publie Nouvelles de l’étranger et réalise en 1953 une série de gouaches colorées, très animées, souvent avec des signe issus de ceux de Mouvements (mêlées, foules, signes sur fond coloré). Il exposition à la Galerie Nina Dausset.
    En 1954, il publie Face aux verrous. Il expose à New York et à Seattle à la Dussane Galery. A la fin de l’année, c’est le début de l’expérience mescalinienne. En 1955, Michaux est naturalisé Français. Il poursuit ses expériences, écrit et dessine sur la mescaline.
    En janvier 1956, il expose à la Hume : Description d’un trouble et publication de Misérable miracle avec quarante-huit dessins de l’auteur. Il publie Quatre cents hommes en croix avec deux dessins de l’auteur.
    Fin 1956 et début 1957, c’est la deuxième période mescalinienne. Longue suite de dessins à la plume, sanguine, crayon sépia et crayon de couleur ; petites peintures à l’huile. Il publie L’Infini turbulent avec onze dessins au Mercure de France. Il expose à Bruxelles et à Londres.
    En 1959, c’est la troisième période mescalinienne : dessins plus " figuratifs ", fragments anthropomorphes, parfois personnages entiers. Grand dessin continu de Paix dans les brisements paraît en 1959.
    En 1960, il expose à la Biennale de Venise et reçoit le Prix Einaudi. Il expose à Stockholm et poursuit son analyse de l’expérience psychédélique.
    En 1961, il publie Connaissance par les gouffres. Il expose à New York et à Bruxelles.
    En 1962, il publie Vents et poussières et exposition à la Galerie Daniel Cordier à Paris, puis au Silkeborg Museum au Danemark, et à Turin.
    En 1963, il réalise avec Éric Duvivier son film Images du monde visionnaire.
    En 1964, il voyage de nouveau en Orient.
    1965 voit une importante rétrospective au Musée national d’Art moderne. Michaux refuse le Grand Prix national des Lettres. Il poursuit simultanément ses différentes recherches : peintures à l’encre, une nouvelle série de gouaches avec signes colorés et les Dessins de réagrégation qui prolongent l’écriture mescalinienne. En 1966, un numéro spécial de l’Herne est consacré à Henri Michaux.
    En 1967, il publie Les grandes épreuves de l’esprit et Parcours, suite de douze eaux-fortes exposées à la Galerie le Point cardinal, et de nouvelles lithographies. Il fait de nouvelles recherches avec la peinture acrylique en noir, certaines rehaussées de couleur.
    En 1969, il publie Façons d’endormi, façons d’éveillé. Il expose une centaine de dessins et peintures à Wuppertal (Allemagne) et au Musée des Arts et de l’Industrie de St-Etienne.
    De 1970 à 1971, il expose à Bruxelles, Lausanne, Helsinki. Il publie Poteaux d’angles, un petit livre rouge où sont consignés pensées et aphorisme d’une grande concentration chez L’Herne.
    En 1972, il publie En rêvant sur des peintures énigmatiques, textes écrits quelques années plus tôt sur des œuvres de Magritte, et Emergences-Résurgences où il retrace la genèse et l’itinéraire de son œuvre plastique.
    De 1973 à 1974, Michaux publie deux nouveaux recueils de textes et de poèmes : Moments et Bras cassé, texte écrit en 1962 à la suite d’un accident. Il se remet à la lithographie et travaille à un ouvrage " entièrement dessiné " par lui : Par la voie des rythmes, qui sort en avril 1974 (Fata Morgana). Voyages. En 1975, tout en poursuivant ses nouvelles recherches, il publie une petite plaquette Coups d’arrêt d’une grande violence contenue, et de divers textes dont Idéogrammes en Chine, reprise d’une préface à une Histoire de la calligraphie. Un recueil également : Face à ce qui se dérobe (N.R.F.) où sont consignées quelques relations d’expériences nouvelles.
    En 1976, il publie Les Ravagés
    En 1980, immobilisé par une tendinite, Michaux réalise une suite de dessins aux crayon de couleurs. Il publie Affrontements et Une Voie pour l’insubordination.
    En 1981, il expose à Tokyo et à l’institut Français d’Athènes. Michaux peint de curieuses petites peintures à l’huile aux couleur vives sur des fonds presque noir, proches parentes des " fonds noirs " d’antan. Mais il n’abandonne ni l’aquarelle (avec de grandes taches en forme de visages dévastés), ni la vitesse des encres dans lesquelles entrent les couleurs.
    En 1983, il publie Par Surprise et Le Jardin exalté.
    Il meurt le 19 octobre 1984.

    Les Rêves et la Jambe, Anvers, Édition Ça Ira, 1923
    Fables des origines, Bruxelles, Disque Vert, 1923
    Qui je fus, N.R.F., 1927
    Ecuador, Paris, N.R.F., 1929
    Un certain Plume, Paris, Édition du Carrefour, 1930
    Un Barbare en Asie, Paris, Gallimard, 1933
    La nuit remue, Paris, Gallimard, 1935
    Voyage en Grande Garabagne, Paris, Gallimard, 1936
    Entre centre et absence, Paris, Matarasso, 1936 (sept dessins et un frontispice)
    Sifflets dans le temple, Paris, G.L.M., 1936
    La Ralentie, Paris, G.L.M., 1937
    Plume, précédé de Lointain intérieur , Paris, Gallimard, 1938
    Peintures, Paris, G.L.M., 1939 (seize illustrations)
    Au pays de la magie, Paris, Gallimard, 1941
    Arbres des tropiques, Paris, Gallimard, 1942 (19 dessins)
    Je vous écris d’un pays lointain, Saint-Maurice d’Ételan, P. Bettencourt, 1942
    Tu va être père, Saint-Maurice d’Ételan, P. Bettencourt, 1943
    Exorcismes, Paris, R.-J. Godet, 1943 (douze dessins)
    Labyrinthes, Paris, R.-J. Godet, 1944 (treize dessins)
    Le Lobe des monstres, Lyon, L’Arbalète, 1944 (un dessin)
    L’Espace du dedans, Paris, Gallimard, 1944
    Liberté d’action, Paris, Fontaine, 1945
    Épreuves, Exorcismes, 1940-1944, Paris, Gallimard, 1945
    Apparitions, Paris, Le Calligraphe, 1946 (sept dessins)
    Peintures et dessins, Paris, Édition du Point du jour, 1946 (quarante trois illustrations)
    Ici, Poddema, Lausanne, Mermod, 1946
    Ailleurs, Voyage en grande Garabagne, Au pays de la magie, ici Poddema, Gallimard 1948
    Nous deux encore, Paris, J. Lambert, 1948
    Meidosems, Paris, Édition. du Point du jour, 1948 ( douze lithographies)
    Poésie pour pouvoir, Paris, R. Drouin, 1949 (frontiscipe)
    La vie dans les plis, Paris, Gallimard, 1949
    Arriver à se réveiller, Saint-Maurice d’Ételan, P. Bettencourt, 1950
    Lecture de huit lithographies de Zao Wou-Ki, Paris, Euros et Godet, 1950
    Tranche de savoir, Paris, Les pas perdus, 1950
    Passages, Paris, Gallimard, 1950
    Veille, Paris, G.A. Bolloré, 1951
    Quelque part quelqu’un, s.l.n.d., 1951
    Mouvements, Paris, Gallimard, 1951 ( soixante quatre dessins). Réédité en 1982 avec deux planches différentes
    Rencontre dans la forêt, s.l.n.d., 1952
    Nouvelles de l’ étranger, Paris, Mercure de France, 1952
    Face aux verrous, Paris, Gallimard, 1954
    Misérable miracle, Monaco, Édition du Rocher, 1956 Édition Le Point du Jour, 1972
    Quatre cents hommes en croix, Saint-Maurice d’Ételan, P. Bettencourt, 1956 (un frontispice, deux dessins)
    L’Infini turbulent, Paris, Mercure de France, 1957 (une peinture et huit dessins)
    Paix dans les brisements, Paris, K. Flinker, 1959 (sept dessins)
    Vigies sur cible, Édition du Dragon, 1959
    Connaissance par les gouffres, Paris, N.R.F., 1961
    Vents et poussières, Paris, K. Flinker, 1962 (neuf dessins)
    En rêvant à partir de peintures énigmatiques, Paris, Mercure de France, nº 1214, Décembrer 1964
    Parcours, Paris, Le Point Cardinal, 1965 (douze eaux-fortes)
    Les Grandes Épreuves de l’esprit, Paris, Gallimard, 1966
    Vers la complétude, Paris, G.L.M., 1967
    Lignes-lieux, moments traversée du temps-ombres pour l’éternité, "Promesse" Revue de culture et de poésie. Poitiers, 1967 (44 exemplaires, tirés à part, comportent un dessin)
    Façons d’endormi, façon d’éveillé, Paris, Gallimard, 1969
    Poteaux d’angle, Paris, L’Herne, 1971
    Émergences-résurgences, Genève, Skira, 1972 (cent quatre illustrations)
    Moments, traversée du temps, Paris, Gallimard, 1973
    Bras cassé, Montpellier, Fata Morgana, 1973
    Quand tombent les toits, Paris, G.L.M., 1973
    Par la voie des rythmes, Montpellier, Fata Morgana, 1974 (quatre vingt deux dessins et douze lithographies)
    Moriturus, Montpellier, Fata Morgana, 1974
    Idéogrammes en Chine, Montpellier, Fata Morgana, 1975
    Coups d’arrêt, Pris, Le Collet de Buffle, 1975
    Face à ce qui se dérobe, Paris, Gallimard, 1975
    Choix de poèmes d’Henri Michaux, Paris, Gallimard, 1976
    Les Ravagés, Montpellier, Fata Morgana, 1976
    Jours de silence, Montpellier, Fata Morgana, 1978
    Poteaux d’angle, Montpellier, Fata Morgana, 1978
    Saisir, Montpellier, Fata Morgana, 1979 (soixante cinq dessins)
    Une voie pour l’insubordination, Montpellier, Fata Morgana, 1980
    Poteaux d’angle, Paris, Gallimard, 1981
    Affrontements, Montpellier, Fata Morgana, 1981
    Comme un ensablement, Montpellier, Fata Morgana, 1981 (dix-neuf sérigraphies)
    Chemins cherchés, chemins perdus. Transgressions, Paris, Gallimard, 1981
    Les Commencements. Dessins d’enfants. Essais d’enfants, Montpellier, Fata Morgana, 1983
    Par surprise, Montpellier, Fata Morgana, 1983
    Le Jardin exalté, Montpellier, Fata Morgana, 1983
    Par des traits, Montpellier, Fata Morgana, 1984 (soixante cinq dessins)
    En Occident, le jardin d’une femme indienne, l’Ire des vents, nº11/12, 1984
    Fille de la montagne, Le Pontet, Édition M.D., 1984 (avec quatre peintures tantriques du Rajasthan)
    Déplacements, dégagements, Paris, Gallimard, 1985
    Affrontements, Paris, Gallimard, 1986
    A distance, Fata Morgana, 1987
    Henri Michaux Les livres illustrés, La Hune, 1993
    A la minute que j’éclate, Devillez, 1999
    Un prix littéraire est un tout, je n’en veux pas, 2002, Le Nyctalope

    Henri Michaux, à la FNAC.
    Henri Michaux, chez Alapage.
    Henri Michaux, chez 2xmoinscher.
    Henri Michaux, chez Priceminister.



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