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Chaque semaine, Benoit Ballet, correspondant pour BFMTV aux États-Unis, et Thierry Arnaud, éditorialiste, vous proposent un décryptage de l'actualité américaine. Une discussion informelle, pour tout comprendre des élections qui se profilent et d'un pays qui continue à nous fasciner, à écouter sur BFM radio, bfmtv.com et sur toutes les plateformes de streaming.
Après le désistement de Joe Biden de la course à la Maison Blanche, c'est donc derrière la vice-présidente des Etats-Unis, Kamala Harris, que le parti démocrate s'est rallié. Et les 4 jours de Convention du parti, à Chicago, doivent officiellement acter son investiture pour affronter Donald Trump en novembre. Benoit Ballet, correspondant et Thierry Arnaud, envoyé spécial pour BFMTV sont sur place.
Après plusieurs semaines d'intenses pressions, ce dimanche soir, Joe Biden a annoncé qu'il ne briguerait finalement pas un second mandat à la tête des Etats-Unis. Dans une lettre publiée sur X, le président américain a estimé qu'il était de son devoir se renoncer à la course à la Maison Blanche, et de se concentrer sur ses fonctions de président. Comment en est-on arrivé là? Que change ce désistement? Et qui pour prendre le relai du président pour endosser l'investiture démocrate? Réponses dans ce 35e épisode du Washington Briefing.
Donald Trump a clos la convention nationale du parti républicain hier avec un discours qu'il avait promis plus humain que d'habitude, après la tentative d'assassinat ratée contre lui, cinq jours plus tôt. Les équipes du Washington Briefing et de la rédaction de BFMTV reviennent sur ce moment fort et sur ces 4 jours de rassemblement du parti républicain à Milwaukee dans le Wisconsin.
48 heures après avoir échappé à une tentative d'assassinat, Donald Trump a été officiellement investi par le parti républicain pour se présenter à la prochaine élection présidentielle américaine. Et le milliardaire est même venu montrer à ses militants qu'il allait bien au premier jour de la Convention nationale du parti. Comment tout cela s'est-il passé? Qu'est-ce que cet événement historique va changer dans la campagne présidentielle américaine? Éléments de réponse avec Benoit Ballet, Clémence Dibout et Thierry Arnaud.
Jeudi dernier Joe Biden et Donald Trump se sont retrouvés face à face pour le 1er débat de la campagne. Un duel qui a tourné au naufrage pour Biden: le Président a totalement perdu pied. Depuis le camp démocrate s'inquiète et certains font pression pour qu'on le débranche et qu'on trouve un autre candidat pour l'élection en novembre. Ce scénario est il vraiment envisageable? Comment Joe Biden et son entourage répondent-ils? Réponse dans ce nouvel épisode.
Ce jeudi, Donald Trump et Joe Biden vont se retrouver pour le premier débat de la campagne. Les deux hommes sont au coude à coude dans les sondages et ce face à face de 90 minutes pourrait être crucial. Quels sont les enjeux pour le président sortant et son rival? Comment se préparent-ils? On répond à ces questions dans ce nouvel épisode du Washington Briefing.
Dans un décret signé de sa main le 4 juin, le président américain a annoncé durcir les conditions d'accès à l'asile aux Etats-Unis pour les migrants clandestins. Le résultat de ce texte, qui définit un seuil de demandes d'asile au-delà duquel l'accès sera refusé, a été la fermeture immédiate de la frontière avec le Mexique. Pourquoi cette décision d'un président démocrate? Quelles conséquences pour le pays et la campagne présidentielle? Les réponses dans cet épisode.
Les stars du cinéma hollywoodien sortent progressivement de leurs studios et sont de plus en plus nombreuses et actives dans la campagne présidentielle du candidat Joe Biden. Julia Roberts, George Clooney, Robert de Niro et d'autres, vont tenter de peser, par leur nom et leur aura, sur l'électorat américain, en levant des fonds et en diffusant les idées du président. Cela suffira-t-il? Pourquoi seule une certaine génération de stars est-elle uniquement mobilisée? Les réponses dans cet épisode.
Joe Biden est arrivé en France, le président américain participera notamment, pendant sa visite de cinq jours, à la commémoration des 80 ans du débarquement allié en Normandie. Pour le candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine de novembre prochain, ce déplacement européen, comme les suivants, sera aussi l'occasion de se placer en leader incontesté du monde libre, et, si possible, de gagner des points auprès des électeurs américains.
L'ancien président des Etats-Unis et actuel candidat du parti Républicain à la prochaine élection présidentielle, Donald Trump, a été reconnu coupable de 34 crimes par un jury populaire, à l'unanimité. Un verdict inédit: Donald Trump est le premier ancien président à être condamné au pénal. Comment cela s'est-il déroulé? Quelles sont les conséquences pour la course à la Maison Blanche, 5 mois avant le scrutin présidentiel? Episode spécial.
Après 5 semaines de témoignages et de contre-interrogatoires au procès pénal de Donald Trump à New-York, les 12 membres du jury populaire ont la lourde tâche de décider de la culpabilité ou de l'innoncence du 45e président des Etats-Unis. 34 chefs d'inculpation sont retenus contre lui par la justice américaine.
Rompant avec les traditions politiques du pays, Joe Biden et Donald Trump se sont mis d'accord pour organiser un premier débat présidentiel entre eux deux et eux seuls, le 27 juin, avant l'été, sans passer par la Commission des débats présidentielle (CPD), organisation non-partisane dont la mission est justement d'assurer la tenue de ces débats. Pourquoi ce choix des candidats? Que doit-on attendre de ce débat plus précoce que jamais? Décryptage dans ce nouvel épisode du Washington Briefing.
Le 5 novembre prochain, 244 millions d'Américains seront appelés aux urnes, pour élire leur 47e président. Sauf qu'en réalité, seuls 6% d'entre eux, répartis dans 6 États, auront la victoire à portée de bulletin. Il s'agit des électeurs qui habitent dans les fameux "swing states", des États traditionnellement très disputés entre les camps démocrate et républicain, contrairement au reste du territoire, dont la façon de voter est beaucoup plus prévisible.
La contestation populaire en faveur des Palestiniens de Gaza a trouvé un nouveau souffle quand, le 17 avril dernier, des étudiants de l'université Columbia à New-York ont installé un campement à l'intérieur de leur campus. Jour après jour, le mouvement protestataire a pris de l'ampleur aux Etats-Unis, jusqu'à contraindre le président Biden à réagir. Et cette colère des jeunes étudiants américains, un phénomène déjà observé au siècle dernier, risque bien de s'inviter dans la campagne présidentielle, jusqu'au 5 novembre, l'Election Day.
Dans un livre à paraître, Kristi Noem, gouverneure du Dakota du Sud, raconte avoir tué un de ses chiens de chasse de sang froid, il y a plusieurs années. L'anecdote n'aurait pas suscité une telle polémique si Kristi Noem ne figurait pas parmi les favoris pour le poste de vice-président aux côtés de Donald Trump, pour la prochaine élection présidentielle. L'issue de cette course annexe est donc plus que jamais incertaine.
L'ancien président américain et candidat à l'élection présidentielle de novembre, Donald Trump, n'y aura pas échappé. Hier à New York, un premier procès au pénal contre lui s'est ouvert, dans l'affaire dite "Stormy Daniels". Un procès historique car jamais un ancien président américain n'a été jugé par un tribunal pénal aux États-Unis.
Une majorité d'Américains ne veulent pas d'une revanche entre Biden et Trump comme duel pour prochaine élection présidentielle. C'est pourtant bien ce qui les attend, puisque les deux candidats ont obtenu la majorité absolue des délégués de leur parti respectif. Les regards se tournent désormais vers d'autres noms qui pourraient émerger et perturber la rivalité traditionnelle entre républicains et démocrates. Parmi ces prétendants: Robert Kennedy Junior, le neveu de John Fitzgerald Kennedy, est crédité de 10% d'intentions de vote dans les sondages. Il espère jouer les trouble-fête de cette campagne présidentielle.
Jeudi 28 mars dernier, les 42e, 44e et 46e présidents des États-Unis étaient réunis dans une même salle de New York: Joe Biden s'est entouré de Bill Clinton et Barack Obama pour un dîner de campagne et une levée de fonds record, avec 26 millions de dollars récoltés. Mais la présence de Clinton, et surtout celle d'Obama, aux côtés de Biden, n'est pas seulement utile pour financer la campagne du président candidat à sa réélection. Barack Obama sera un atout précieux pour Joe Biden dans les mois à venir.
La justice de New York a allégé ce lundi la pression financière sur Donald Trump en ramenant à 175 millions de dollars sa caution dans une procédure civile, procédure dans laquelle l'ancien président américain fait appel après avoir été condamné pour fraude fiscale. Le magnat de l'immobilier et candidat républicain à l'élection présidentielle de novembre, s'est félicité de la décision de la cour d'appel de New York sur sa caution, qui lui évite d'avoir à faire face à la saisie de ses propriétés immobilières, symboles affirmés de sa réussite personnelle.
Dans la course à la Maison Blanche, les deux candidats sont désormais connus. Joe Biden côté démocrate, et Donald Trump côté républicain. Une compétition qui verra s'affronter les deux candidats les plus âgés de l'histoire américaine, et sur laquelle planera le spectre de la justice américaine, Donald Trump étant visé par quatre inculpations au pénal. Si un candidat venait à se désister volontairement ou à y être contraint, que se passerait-il ? Les partis politiques et la constitution des États-Unis ont tout prévu.
L'attaque du 7 octobre et les représailles d'Israël contre le Hamas à Gaza ont contraint les Etats-Unis à se positionner en faveur d'Israël, même si le président américain a récemment opéré un changement de ton, avec un discours plus critique à l'égard de la politique guerrière de Benjamin Netanyahu. Sans pour autant appeler à un cessez-le-feu total. Entre la volonté de soutenir son allié historique, et la nécessité d'apaiser la colère citoyenne aux Etats-Unis face au terrible bilan humain dans ce conflit, Joe Biden est contraint à une diplomatie d'équilibriste, dont le risque principal est de s'aliéner de nombreux jeunes électeurs traditionnellement démocrates dans les urnes en novembre prochain.
Samedi, Donald Trump a remporté la primaire républicaine de Caroline du sud avec 60% des suffrages, contre 40% pour son adversaire, Nikki Haley. Une défaite humiliante pour l'ancienne gourverneure de cet Etat du sud-est des Etats-Unis, qui jouait donc à domicile. Pour autant, Nikki Haley a une nouvelle fois refusé de jeter l'éponge et mise sur une mise hors jeu pendant la campagne de l'ancien président américain. Jusqu'à présent, rien ne semble pouvoir empêcher Donald Trump d'obtenir l'investiture du Parti républicain. Ce qui ne lui garantira pas pour autant une victoire en novembre prochain face à Joe Biden.
C'est un procès qui sera historique: aucun ancien président américain n'a jamais été jugé au pénal. Malgré des tentatives incessantes pour obtenir le report des nombreux procès contre lui, Donald Trump sera jugé à partir du 25 mars à Manhattan, dans l'Etat de New-York, pour des paiments suspects lors de la campagne présidentielle de 2016. La date du début de ce procès, qui durera 6 semaines, a été définitivement fixée la semaine dernière par un juge.
Visé par un rapport le décrivant comme un homme âgé à la mauvaise mémoire, incapable de se souvenir de la date de la mort de son fils aîné, Joe Biden a choisi de contre-attaquer. Au lieu d'éteindre la polémique, le président, âgé de 81 ans, l'a relancée en assurant dans un premier temps être en bonne santé, et en gaffant juste après. L'inquiétude des Américains est indéniable, mais le camp démocrate fait, pour l'instant, front uni derrière le président.
Le droit à l'avortement sera l'un des axes majeurs de Joe Biden pour battre son rival républicain le 5 novembre prochain. Et ce rival sera, sauf surprise, Donald Trump. En juin dernier, la Cour Suprême des Etats-Unis a annulé l'arrêt dit Roe v. Wade qui légalisait depuis une cinquantaine d'années l'avortement dans le pays. Et Donald Trump, qui a nommé lors de son précédent mandat 3 des juges de la Cour Suprême, s'est attribué la paternité de la décision. Les démocrates, Joe Biden en tête, ont donc lancé la semaine dernière une grande campagne pour convaincre les Américains du danger représenté par Donald Trump.