Jacques Chirac
Jacques René Chirac (
Jacques est un homme d'art. Il élève la brasserie au rang de priorité pour son entourage. Il réussit un coup de maître en devenant président de la république bièrique dans les environs de la fin de sa vie. Malheureusement, l'idée de lancer une nouvelle marque de bière sous le nom de code CPE (Cool Pour Engloutir) a été un échec, et sa présidence fut remise en cause. Il meurt suicidé en buvant la dose létale de bière brune à cuvée limitée 12,4 %. Le cadavre n'était pas beau à voir.
Son enfance
L'enfance de Jacques s'est déroulée sans anicroche, à part quelques coups bas dont la mise en place du petit Nicolas S. à la tête de sa bande de copains lorsqu'il rata son bac. Il s'est ensuite tout de suite intéressé à la chose qui aura marqué sa vie : la bière.
Sa vie
En automne, Jacques décide de partir en Belgique pour apprendre l'art de la brasserie. Il est engagé en tant que PDG stagiaire dans une entreprise de bière. Il va à gauche, à droite, et finit par arriver dans le joli pays du RPR, dans les environs du centre de la gauche et de la droite en passant par le milieu, où la bière est vénérée comme un Dieu. En fait, il a toutes les opinions politiques, nous sommes tous chiraquiens.
L’après 21 avril
Jacques Chirac finit par abandonner la brasserie à cause des bruits et des odeurs. C'est alors que le soir du 21 avril, il prit conscience de tout ce que la crise de l’identité nationale comportait de danger pour notre nation, et par là-même pour la démocratie. Aussi décida-t-il de combattre point par point le programme des extrémistes de tous bords.
C’est ainsi qu’il plaça sa présidentielle sous le triple signe de la lutte contre le cancer, l’insécurité routière et surtout, la pollution.
Le cancer
En effet, nous voyons prospérer depuis de nombreuses années des groupuscules néo-populistes pro-cancer. Ceux-ci souhaitent répandre le cancer par l’usage intensif de produits illicites, d’armes nucléaires, chimiques et/ou bactériologiques (exemple de la LCR : Lutte pour un Cancer Régénéré).
Leur idéologie repose sur la croyance qu’un bon cancer vaut mieux qu’une mauvaise vie. Le cancer présente selon eux deux avantages : le premier est de débarrasser la nation du problème des retraites et le second de débarrasser la culture nationale des gêneurs, artistes et autres saltimbanques (dans la mesure où ils fument tous).
Aussi, placer la lutte contre le cancer, sujet d’âpres débats et de polarisation de l’opinion extrême fut-il un acte doublement courageux de la part de notre Président : d’une part, il osa s’attaquer de front à l’extrémisme, acte de courage que lui reconnaîtront les générations futures. D’autre part, il trancha une bonne fois pour toutes dans ce débat entre les pro et les anti-cancer qui divisa terriblement la société française des années 1990 (voir Bernard Tapie).
En se prononçant aussi clairement contre le cancer, Jacques Chirac rejoint le club très fermé des grands hommes politiques qui ont su jeter des défis à l’histoire, tel Winston Churchill en 1940 par son fameux « Je n’ai à vous promettre que du labeur, de la sueur, du sang et des larmes. ».
L’insécurité routière
Le second chantier présidentiel se présentait à priori mieux : moins conflictuelle en apparence, la lutte contre l’insécurité routière se révéla cependant beaucoup plus difficile à mettre en place qu’il ne l’aurait imaginé dans un premier temps.
En effet, des terroristes du Parti socialiste décidèrent, dès que cet objectif du gouvernement fut connu, de tout faire pour qu’il échoue. Ainsi s’engagea la fameuse Guerre de la Route (2002-2005), qui peut être divisée en trois phases : dans un premier temps, les militants du PS furent invités à commettre des actes d’incivilité tels que coups de klaxon intempestifs, dépassements des limites de vitesse, non passage au contrôle technique…
Dans un second temps, la coalition des forces de gauche entra en guerre ouverte par la pratique de l’accident volontaire, du carambolage planifié et du suicide collectif sur autoroute (voir Suicide Club ou Temple Solaire).
Enfin, dans un dernier temps, et après que le gouvernement eu tardé à réagir, la coalition terroriste alla jusqu’à demander la légalisation du meurtre des gens qui traînent sur les passages cloutés, sans quoi la politique des accidents volontaires serait maintenue.
C’est pour mettre fin à ce carnage que le Gouvernement décida, en sous-main, de provoquer des émeutes anti-voitures (novembre 2005). Décision salutaire à double titre : elle permit de mettre fin au terrorisme automobile de la gauche tout en offrant par le rituel du bûcher de voiture une catharsis symbolique au jeune de banlieue. Enfin, cela donna une bonne raison au gouvernement de décréter l’état d’urgence et de se débarrasser une bonne fois pour toutes des terroristes de gauche, déjà très affaiblis par leur militantisme autoroutier.
Brillante réussite, les faits sont là : l’insécurité routière a diminué de moitié entre 2002 et 2007.
Surtout, la pollution
Mais le plus frappant dans l’attitude politique de Jacques Chirac est l’imprégnation de sens moral qui la caractérise. Aussi, le Président de la République ne peut imposer aux Français ce qu’il ne supporte pas lui-même. C’est pourquoi Jacques Chirac est devenu écologiste.
L’écologie, c’est l’art de parler du réchauffement climatique toutes les cinq secondes sans donner l’impression de se répéter, et cela en prenant bien soin de rendre ce même réchauffement responsable de tout. Un exemple : il y’a trop de chômage. Réponse : c’est la faute au réchauffement climatique (système diamétralement opposé à celui des gens du Front National qui, au postulat « l’hiver est très chaud » répondront « c’est la faute aux Arabes »).
L’attitude écologiste de Jacques Chirac n’a jamais subi la moindre équivoque : un exemple parmi tant d’autres sont ses voyages en avion. Normalement assurés par du kérosène hautement polluant, le voyage en avion est révolutionné par le Président pour ses voyages personnels, et cela de deux manières : soit Jacques Chirac utilise ses billets d’avions mêlés à du colza pour combustible, soit il efface la trace de ses voyages. Ainsi, un voyage en avion de Jacques Chirac pollue infiniment moins qu’un voyage en avion lambda ! (C’est ce que le Président entendait par « ça fait pshuiiiit ! »).
Conclusions
En conclusion : quelques louanges de Nostre Président par lui-même :
« Beaucoup de gens ont cru que je changeais d’idées comme de chemises. C’était une grave erreur d’appréciation : je n’ai tout simplement jamais eu d’idées. »
Et les trois expressions par lesquelles Jacques Chirac définit sa Présidence : Rien, Je m’en fous, Pshuiiiit…
PS : il faut aussi remarquer que ces douze années ont été ponctuées par quelques micro-évènements sans grande importance tels que : le rejet du Traité Constitutionnel Européen, les émeutes de novembre 2005, la crise du CPE et le discrédit des institutions.
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