(Translated by https://www.hiragana.jp/)
« Martin de Tours » : différence entre les versions — Wikipédia

« Martin de Tours » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
CHARQUIN (discuter | contributions)
→‎Biographie : photo déplacée plu bas
L.Earth (discuter | contributions)
m Neutralité encyclopédique : placement au conditionnel d'un évènement dont la vraisemblance est relative à la foi religieuse
 
(21 versions intermédiaires par 14 utilisateurs non affichées)
Ligne 2 :
{{Voir homonymes|Saint Martin|Saint-Martin-des-Champs}}
{{Infobox Saint
| nom = Saint Martin de Tours<br /><small> ''Saint chrétien''</small>
| image = Riding Saint Martin sharing his Cloak with a Beggar.jpg
| taille image = 280
Ligne 13 :
| âge au décès = 81
| nom de naissance = Martinus
| autres noms = Saint Martin (de [[Tours]])
| nationalité =
| lieu de vénération = [[Basilique Saint-Martin de Tours]]
Ligne 29 :
| fête = 11 novembre
| attributs =
| titre saint patron =Saint Martin
| saint patron = [[Maréchaux-ferrants]], [[policier]]s<ref group=Note>Il a été reconnu et accepté saint patron des policiers par la Conférence des évêques de France le 22 mars 1993.</ref>, [[commissaires des armées]], [[soldats]], [[Garde suisse pontificale]]
| problème =
| date de suppression =
}}
Saint '''Martin de Tours''', aussi nommé '''Martin le Miséricordieux''', ou encore '''saint Martin des Champs''' (qui a donné lieu à l'appellation de différents [[édifices religieux]]), né dans l'[[Empire romain]], plus précisément à [[Szombathely|Savaria]], dans la [[province romaine]] de [[Pannonie]] (actuelle [[Hongrie]]), en [[316]], et mort à [[Candes-Saint-Martin|Candes]], en Gaule, le {{date de décès|8 novembre 397}}, est l'un des principaux saints de la [[chrétienté]] et le plus célèbre des [[évêques]] de [[Tours]] avec [[Grégoire de Tours]].
 
Sa vie est essentiellement connue par la ''[[Vita]] sancti Martini'' (''Vie de saint Martin'') écrite à la mort du saint en 396-397 par [[Sulpice-Sévère]], qui fut l'un de ses disciples. La dévotion à Martin se manifeste à travers une [[relique]], le manteau ou la chape de Martin — qu'il partage avec un déshérité transi de froid. Dès le {{s-|V}}, le culte martinien donne lieu à un cycle hagiographique, c'est-à-dire à une série d'images successives relatant les faits et gestes du saint.
Ligne 42 :
Son culte se répand partout en Europe occidentale, depuis l'Italie, puis surtout en Gaule où il devient le patron des dynasties [[mérovingien]]nes et [[carolingien]]nes.
 
Les très nombreuses églises portant un patronage martinien à travers toute l'Europe sont fondées à des dates très variées. Saint Martin compte parmi les [[Liste de saints patrons#Europe|patrons secondaires de la France]]. Il est le patron notamment de [[Tours]], [[Buenos Aires]], [[Rivière-au-Renard]], [[Vevey]], de la [[Cathédrale Saint-Martin de Mayence|cathédrale de Mayence]], de celle d'[[cathédrale Saint-Martin d'Utrecht|Utrecht]], de celle de [[Cathédrale Saint-Martin de Lucques|Lucques]] et de la [[basilique San Martino]]. Jusqu'à la réforme du calendrier des saints de la fin du 20e<small>XX<sup>e</sup></small> siècle, on célébrait deux fêtes de saint Martin : la Saint-Martin d'été ou ''Saint Martin le bouillant'', le [[4 juillet]], (commémoraison de la consécration épiscopale de Martin en [[371]]), au cours de laquelle un globe de feu étaitserait apparu au-dessus de Martin), et la Saint-Martin d'hiver, le [[11 novembre]] (funérailles en [[397]])<ref>{{article|auteur=Charles Lelong|lien auteur=Charles Lelong (archéologue)|titre=Note sur les fêtes de saint Martin au {{s-|XII}} |périodique =Bulletin de la [[Société archéologique de Touraine]]|année=2000|tome=MMI|pages=153-154}} A noter que la Saint-Martin d'été était célébrée partout en Europe au Moyen Âge.</ref>. SeuleSeul le 11 novembre est aujourd'hui inscrit au calendrier liturgique universel, la Saint-Martin d'été restant une coutume particulière ou locale.
 
== Biographie ==
 
[[Fichier:Venantius Fortunatus miniature.JPG|vignette|gauche|180px|[[Venance Fortunat]].]]
=== Les sources ===
[[Fichier:Venantius Fortunatus miniature.JPG|vignette|gauche|180px150px|[[Venance Fortunat]].]]
 
Sa biographie provient essentiellement de la ''[[Vita]] sancti Martini'' (''Vie de saint Martin'') écrite en 396-397 par [[Sulpice-Sévère]], récit qui devient aussitôt et pour de longs siècles un archétype admiré et souvent imité de l'[[hagiographie]] occidentale<ref>{{ouvrage|auteur=Jean-Claude Polet|titre=Patrimoine littéraire européen|éditeur=De Boeck Supérieur|date=1993|passage=21}}.</ref>. Puis Sulpice ajoute des lettres, en particulier pour évoquer la mort de Martin, et un autre livre, le ''Gallus ou Dialogues sur les vertus de Martin'', recueil de [[miracle]]s accomplis par le saint<ref>Sulpice-Sévère, ''Gallus, Dialogues sur les “vertus” de saint Martin'', introd., texte critique, traduction et notes par [[Jacques Fontaine]], Sources Chrétiennes, {{n°}} de collection 506, 2006.</ref>. Cette littérature hagiographique est à manier avec précaution : en partie légendaire et archétypale<ref group="Note">L'historien du christianisme ancien, Ernest-Charles Babut, dans son ouvrage [[méthode hypercritique|hypercritique]] ''Saint Martin de Tours'', y voit une légende hagiographique et rejette son historicité. ''Cf.'' {{ouvrage|auteur=Ernest-Charles Babut|titre=Saint Martin de Tours|éditeur=Champion|date=1912|pages totales=320}}.</ref>, elle contient cependant des éléments éminemment historiques<ref>[[Luce Pietri]], « Sulpice-Sévère, disciple et biographe », dans ''Martin, un saint pour l'Europe, Histoire du christianisme'', {{n°}}19, décembre 2003, {{p.|40-41}}.</ref>.
 
Aux {{s2-|V|VI}} [[Paulin de Périgueux]] et [[Venance Fortunat]] augmentent la gloire de la geste martinienne en écrivant à leur tour une ''Vita sancti Martini'' en vers, .

[[Grégoire de Tours]] relatantrelate les débuts de son culte dans son livre ''De virtutibus sancti Martini'' (Miracles de saint Martin)<ref>{{ouvrage|auteur=Christine Delaplace, Jérôme France|titre=Histoire des Gaules : {{VIe}} s. av. J.-C. - {{VIe}} s. ap. J.-C.|éditeur=Armand Colin|date=2016|passage=257}}.</ref>.
 
=== Jeunesse ===
 
Selon l{{'}}''Histoire des Francs'' de [[Grégoire de Tours]], Martin naît en l'an [[316]]<ref group="Note">Les dates de Martin nous sont connues par l{{'}}''Histoire des Francs'' de [[Grégoire de Tours]] : {{citation|Constantin devint le trente-quatrième empereur des Romains et régna heureusement pendant trente ans. La onzième année de son règne, … le bienheureux évêque saint Martin naquit à Szombatel…}} (''Romanorum tricesimus quartus imperium obtinuit Constantinus, annis triginta regnans feliciter. Huius imperii anno undecimo… beatissimus præsul Martinus apud Sabariam Pannoniæ civitatem'') (livre I, chap. 36) ; {{citation|La seconde année du règne d'Arcadius et d’Honorius, saint Martin, évêque de Tours, rempli de vertus et de sainteté, après avoir comblé de bienfaits les infirmes et les pauvres, sortit de ce monde pour aller heureusement vers Jésus-Christ, dans le bourg de Candes de son diocèse, dans la quatre-vingt-unième année de son âge, la vingt-sixième de son épiscopat.}} (''Arcadi vero et Honori secundo imperii anno sanctus Martinus Turonorum episcopus, plenus virtutibus et sanctitate, præbens infirmis multa beneficia, octuaginsimo et primo ætatis suæ anno, episcopatum autem vicissimo sexto, apud Condatinsem diocisis suæ vicum excedens a sæculo, filiciter migravit ad Christum.'') (livre I, chap. 42).</ref> en [[Pannonie]], dans la cité de Sabaria<ref group=Note>{{citation|Itaque Martinus Sabaria Pannoniarum oppido oriundus fuit…}} (Sulpice-Sévère, ''Vita Beati Martini'', chap. II, l. 161B).</ref>, l’actuelle ville de [[Szombathely]], en Hongrie. Toutefois, selon [[Sulpice-Sévère]], il serait né en [[336]], date qui fait moins consensus chez les historiens<ref>{{Article|auteur=[[Jacques Fontaine]]|titre=Vérité et fiction dans la chronologie de la « Vita Martini »|périodique=Studia Anselmiana|date=1961|tome=46|pages=189-236}}.</ref> : l'hagiographe introduit une date plus tardive probablement pour réduire la durée du service militaire de Martin, une longue carrière dans l'armée interdisant d'accéder à une haute fonction ecclésiastique et étant peu compatible avec la volonté de son biographe de le présenter comme un [[exemplum]]<ref group="Note">Le comput de Sulpice-Sévère aboutit à un service militaire de cinq ans, à partir d'un enrôlement intervenu à l'âge de quinze ans, ce qui place aux environs de 336, vingt ans plus tôt, la naissance de l'intéressé, cf. {{ouvrage|auteur=[[Olivier Guillot]]|titre=Saint Martin de Tours, apôtre des pauvres (336-397)|éditeur=Fayard|date=2008|passage=78}}.</ref>.
 
[[Image:Tribuno.jpg|thumb|left|Tribun militaire romain]]
Son père était un [[tribun militaire]] de l'[[Empire romain]]<ref group=Note>{{citation|Pater ejus miles primum, post tribunus militum fuit…}} (''ibid.'').</ref>, c'est-à-dire un officier supérieur chargé de l’administration de l'armée (ce n'est probablement pas un hasard si le nom de Martin signifie « voué à Mars », [[Mars (mythologie)|Mars]] étant le dieu de la guerre à Rome). Martin suit son père à [[Pavie]] (en [[Italie du Nord]]) lorsque ce dernier y est muté. À l'école, l'enfant est vraisemblablement en contact avec des [[Christianisme primitif|chrétiens]] en cette époque marquée par le développement du [[christianisme]]<ref>{{ouvrage|auteur=Zoltán Ló́rincz|titre=Saint Martin dans l'art en Europe|éditeur=BKL|date=2001|passage=105|isbn=}}.</ref>. Vers l’âge de dix ans, il veut se convertir à cette religion, car il se sent attiré par le service du Christ<ref group=Note>{{citation|Nam cum esset annorum decem, invitis parentibus ad ecclesiam confugit, seque catechumenum fieri postulavit…}} (''Vita Beati Martini'', chap. II, l. 161C).</ref>.
 
=== Légionnaire romain ===
[[Fichier:Représentation de Saint Martin sur palais de justice d'Amiens.jpg|vignette|200px|[[Palais de justice d'Amiens]], la ''[[Charité de saint Martin]]'' par [[Justin-Chrysostome Sanson]].]]
En tant que fils de [[magistrat]] militaire, Martin suit son père au gré desde ses affectations de garnison ; il est pour ainsi dire héréditairement lié à la carrière de son père, voué au [[culte impérial]]. Ce père est irrité de voir son fils tourné vers une foi nouvelle : alors que l'âge légal de l’enrôlement est de dix-sept ans, il force son fils de quinze ans à entrer dans l’armée<ref group=Note>Sulpice-Sévère précise que son père l'a emmené ligoté : ''{{citation|{{lang|la|Prodente patre, …, cum esset annorum quindecim, captus et catenatus sacramentis militaribus implicatus est.}}}}'' (Sulpice-Sévère, ''Vita Beati Martini'', chap. II, fol. 161C).</ref>. Il est probable que Martin se soit laissé convaincre pour ne pas nuire à la position sociale de ses parents, tant sa vocation chrétienne est puissante.
 
Il n’en reste pas moins vrai que ce n’est pas comme simple soldat que Martin entre dans l’armée romaine : en tant que fils de vétéran, il a le grade de ''[[wikt:circitor|{{lang|la|circitor}}]]''<ref>{{harvsp|Oury|p=31}}.</ref> avec une double solde. Le ''circitor'' est chargé de mener la ronde de nuit et d’inspecter les postes de garde de la garnison. Le jeune homme possède à l'époque un [[esclavage|esclave]], mais, selon ses [[hagiographie|hagiographes]], il le traite comme son propre frère.
Ligne 66 ⟶ 71 :
La scène de la charité de Martin, la plus célèbre de la ''[[Vita]] Sancti Martini'' de [[Sulpice-Sévère]], fait partie de la légende hagiographique<ref>{{ouvrage|auteur=Jean-Pierre Delville, Marylène Laffineur-Crépin, Albert Lemeunier|titre=Martin de Tours : du légionnaire au saint évêque|éditeur=Édition ASBL Basilique Saint-Martin|date=1994|passage=65|isbn=}}.</ref>.
 
Affecté en [[Gaule]], à [[Amiens#Antiquité|Amiens]], un soir de l’hiver [[334]]<ref group=Note>{{citation|Quodam itaque tempore… media hieme obvium habet in porta Ambianensium civitatis pauperem nudum…}} (''Vita Beati Martini'', chap. III, fol. 162A).</ref> le légionnaire Martin partage son manteau militaire ([[chlamyde|la chlamyde]] faite d'une pièce de laine rectangulaire) avec un déshérité transi de froid, car il n’a déjà plus de solde après avoir généreusement distribué son argent<ref group=Note>{{citation|Nihil præter chlamydem, qua indutus erat, habebat : jam enim reliqua in opus simile consumpserat.}} (''ibid.'').</ref>. Il tranche son manteau ou tout du moins la doublure de sa pelisse : le manteau appartenait à l'armée, mais chaque soldat pouvait le doubler à l'intérieur par un tissu ou une fourrure, à ses frais. La nuit suivante le [[Jésus de Nazareth|Christ]] lui apparaît en songe vêtu de ce même pan de manteau<ref group=Note>{{citation|Nocte igitur insecuta, cum se sopori dedisset, vidit Christum chlamydis suæ, qua pauperem texerat, parte vestitum.}} (''Vita Beati Martini'', chap. III, fol. 162B).</ref>. Il a alors 18 ans<ref group=Note>{{citation|Quo viso… cum esset annorum duodevigintis…}} (fol. 162C).</ref>. Le reste de son manteau, appelé « cape » sera placé plus tard, à la vénération des fidèles, dans une pièce dont le nom est à l'origine du mot [[chapelle]]<ref group="Note">Cf. {{ouvrage|titre=Le Rational des Divins Offices |titre vo=Rationale divinorum officiorum|prénom=Guillaume|nom=Durand |responsabilité1=évêque|lien auteur1=Guillaume Durand (évêque)|année=1459|publi=1672|volume=II|chap=X, §8}} : {{citation|Dans plusieurs endroits on appelle les prêtres chapelains (''capellani''), car de toute antiquité les rois de France, lorsqu'ils allaient en guerre, portaient avec eux la cape du bienheureux saint Martin, que l'on gardait sous une tente qui, de cette chape, fut appelée '''chapelle''' (''a capa capella vocata'' chapele 1080 ; lat. pop. capella « lieu où l'on gardait la chape de saint Martin », de cappa) ''Cf.'' ''Le Petit Robert''}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=CHAPELLE : Etymologie de CHAPELLE |url=https://www.cnrtl.fr/etymologie/chapelle |site=www.cnrtl.fr |consulté le=2023-01-04}}</ref> (''cappella'' en italien, ''chapel'' en anglais, ''Kapelle'' en allemand).
 
=== Campagne contre les Alamans sur le Rhin ===
Ligne 180 ⟶ 185 :
 
=== La fête de la Saint-Martin en Suisse ===
Saint- Martin est le patron de la ville de [[Vevey]] qu'il aurait traversé lors de ses périples. Une foire annuelle d'automne a lieu le mardi le plus proche du 11 novembre, jours de sa fête dans le calendrier catholique. Cette foire existe depuis plus de cinq siècles<ref>[http://www.foire-st-martin.com La Foire de la Saint-Martin], 2016.</ref>.
 
La fête de la Saint-Martin est aussi une fête gastronomique célébrée en [[Ajoie]] dans le [[canton du Jura]].
Ligne 186 ⟶ 191 :
 
=== Saint Martin, saint patron de la garde suisse pontificale ===
Sain-Saint Martin est, avec [[Sébastien (martyr)|saint Sébastien]] et [[Nicolas de Flue|saint Nicolas de Flue]] l'un des saints patrons de la [[garde suisse pontificale]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Sur les traces de saint Martin de Tours – Portail catholique suisse |url=https://www.cath.ch/newsf/la-garde-suisse-pontificale-s-apprete-a-effectuer-un-pelerinage/ |site=cath.ch |consulté le=2021-11-11}}</ref>.
 
=== La Fête de la Saint-Martin en Allemagne et en Autriche ===
Ligne 247 ⟶ 252 :
Fichier:Anthony van Dyck - Saint Martin sharing his cloak with a beggar.jpg|<center>''Saint Martin partageant son manteau''<br />[[Antoine van Dyck|Van Dyck]], 1618,<br />église Saint-Martin, [[Zaventem]], Belgique.</center>
Fichier: Eglise Saint-Martin de Metz - Vitrail (02).JPG|<center>Vitraux du chœur de l'[[Église Saint-Martin de Metz|église Saint-Martin]],([[Laurent-Charles Maréchal|Maréchal, 1879-1880]])<br/>[[Metz]]<br/>([[Moselle (département)|Moselle]])</center>
File:Ca' Rezzonico - SallaSala Tiepolo - San Martino di Tours by Giambattiasta Tiepolo.jpg|<center>par [[Giambattista Tiepolo]], [[1734]]<br>[[Ca' Rezzonico]], [[Venise]]</center>
Fichier:Saulges - Chapelle St Pierre 01.jpg|<center>''La Charité de saint Martin''<br />bois polychrome, {{s|XVII}},<br />[[église Saint-Pierre de Saulges]].</center>
Fichier:SanMartin-Recoleta.jpg|<center>[[Buenos Aires]] en [[Argentine]].</center>
Ligne 267 ⟶ 272 :
 
==== Études récentes ====
* [[Dominique-Marie Dauzet]], ''Saint Martin de Tours'', Fayard, 1996.
* [[Sylvie Barnay]], [https://www.cairn.info/revue-transversalites-2008-4-page-127.htm « Du manteau de saint Martin aux chasubles de Jean-Charles de Castelabajac : une histoire de la robe sainte »], ''[[Transversalités]]'' 2008/4 (N° 108), p. 127-141
* {{Article|auteur=Michel Carrias|titre=Martin de Tours, seize siècles après sa mort|périodique=Revue d'histoire de l'Église de France|tome=83|numéro=211|date=1997|pages=435-443.|lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/rhef_0300-9505_1997_num_83_211_1290|id=mc}}
* {{ouvrage|auteur=Dom [[Guy-Marie Oury]] |titre=Saint Martin de Tours |sous-titre=L’homme au manteau partagé |année=1987 |lieu=Chambray-lès-Tours |édition=CLD |pages totales=151 |isbn=2 854 43139 1 |id=Oury}}.
Ligne 275 ⟶ 282 :
* [[Régine Pernoud]], ''Martin de Tours'', Bayard Éditions, 1996.
* Bertrand Cuvelier, ''Saint Martin, apôtre des Gaules'', Histoire et traditions du Pays des Coudriers {{n°|23}}, novembre 2001<ref>{{Lien web|auteur1=Bertrand Cuvelier|titre=Histoire et traditions du Pays des Coudriers|url=http://www.coudriers.info/themes_21_30.html}}</ref>.
* ''Saint Martin, Guide du pèlerin'' (352 pages) et ''Saint Martin, apôtre des Gaules'' (128 pages), éditions Denis Jeanson, Tours.
* {{Ouvrage|auteur1=[[Jean-Louis Picoche]]|titre=Saint Martin, Soldat du Christ|lieu=Saint-Vincent-sur-Oust |éditeur=Elor|collection=Saints légendaires |année=1996, 2001|pages totales=192 |isbn=978-2-907524-93-3}}.
* Collectif, ''1700 ans de la naissance de Saint-Martin'', numéro spécial du Bulletin de la [[Société des antiquaires de Picardie]] pour l'année 2017, Amiens 2020, pages 161 à 351, ISSN 0037-9204.
Ligne 305 ⟶ 311 :
* {{page h|Église Saint-Martin}}
* [[Vitrail de Saint Martin à Chartres]]
* [[CommunautéCharité de saint Saint-Martin]]
* [[Antiquité tardive]]
* {{page h|Foire Saint-Martin|Foires Saint-Martin}} (par exemple à [[Foire Saint-Martin (Pontoise)|Pontoise]])
* [[Congrégation de Beuron]] dont il est le patron.
* [[Concile de Mayence (813)]]
* [[Paroisse orthodoxe Saint-Martin-le-Miséricordieux]] à Tours.
Ligne 324 ⟶ 329 :
{{Portail|christianisme|catholicisme|monachisme|histoire|Rome antique|Hongrie|Tours}}
 
[[Catégorie:Martin de Tours| ]]
[[Catégorie:Naissance à Szombathely]]
[[Catégorie:Personnalité du christianisme au IVe siècle]]
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Martin_de_Tours ».