« Religieuse » : différence entre les versions
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[[Fichier:Le Boucher - Visite de Louis XV a Mme Louise de France.jpg|250px|thumb|''Visite de Louis XV à Madame Louise de France'', Le Boucher, 1882, [[Musée d'Art et d'Histoire (Saint-Denis)|Musée d'Art et d'Histoire]].]]
Dans l'Église catholique, une sœur, une religieuse ou une moniale{{Note|groupe=note|texte=Il convient sans doute de rappeler que le mot «
==== Vœux religieux ou conseils évangéliques ====
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==== Apostoliques ou contemplatives ====
On distingue généralement deux sortes de religieuses
Dans la tradition [[catholique romaine]], il existe un grand nombre de [[communautés religieuses]] féminines, chacune avec son propre charisme ou un caractère spécial. Les différents ordres ou congrégations sont communément appelés du nom de leur fondateur ou fondatrice.
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Les moniales et sœurs contemplatives observent généralement une forme de clôture qui les sépare du monde extérieur afin de se consacrer plus pleinement à la prière, quittant rarement leur monastère ou leur couvent sauf en cas de nécessité ou à des fins liées à leur [[vie contemplative]] (formation, réunions de fédération, etc.). Elles gagnent généralement leur vie par le travail de leurs mains.
Parmi les moniales, certaines suivent la [[Règle de saint Benoît]]: ce sont les [[Bénédictins|Bénédictines]], [[Ordre cistercien|Cisterciennes]], les [[Ordre cistercien de la stricte observance|trappistines]] (ou cisterciennes de la stricte observance) et autres. On remarque dans cette tradition l’importance du travail manuel et de l’hospitalité. La devise est «
Les moniales [[Chartreux|chartreuses]] vivent une vie semi-érémitique conformément aux Statuts de l’Ordre des chartreux qui a été fondé en 1084 par saint Bruno. La branche féminine date du XX<sup>e</sup> siècle.
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Une [[Diaconesse]] est une femme qui exerce un ministère réservé aux femmes dans certaines Églises [[Protestantisme|protestantes]]. Ces ministères ont été établis à partir des années 1830 d'abord dans les [[Luthéranisme|Eglises luthérienne]] allemandes puis dans la plupart des Églises protestantes d'Europe. Les diaconesses assurent des fonctions sociales, notamment hospitalières ou gériatriques, et spirituelles (enseignement, retraites, prédications…). Elles ne sont pas ordonnées, d'autant plus que leurs églises ne pratiquent pas toutes l'[[Ordination des femmes|ordination]], et ne doivent pas être assimilées à des [[Ordre religieux|ordres religieux]] féminins catholiques.
En [[France]], les [[Diaconesses de Reuilly]], de confession [[Églises réformées|réformée]], sont fondées in 1841 à Paris par une laïque, [[Caroline Malvesin]] (1806-1889), en collaboration avec le pasteur de l'[[Temple protestant de l'Oratoire du Louvre|Oratoire du Louvre]] [[Antoine Vermeil]] (1799-1864). La plupart du temps, l'activité de ces diaconesses est dans le domaine caritatif ou dans l'enseignement, mais certaines sont aussi théologiennes ou [[Pasteur (christianisme)|pasteures]], spécifiquement chez les Diaconesses de [[Buc (Yvelines)|Buc]] qui font partie des [[Diaconesses de Reuilly]]<ref>{{Lien web |titre=Les diaconesses de Reuilly |url=https://museeprotestant.org/notice/les-diaconesses-de-reuilly/ |site=Musée protestant |consulté le=2022-01-04}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Communauté des Diaconesses de Reuilly |url=https://www.diaconesses-reuilly.fr/ |site=Communauté des Diaconesses de Reuilly |consulté le=2022-01-04}}</ref>. Les [[Diaconesses de Strasbourg]] sont à leur tour fondées en 1842 par le pasteur luthérien [[François-Henri Haerter]] (1797-1874)<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Bienvenue sur le site des Diaconesses de Strasbourg |url=https://www.diaconesses.fr/ |site=Les Diaconesses de Strasbourg |consulté le=2022-01-04}}</ref>.
== Notes et références ==
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