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Daisuke Itō (réalisateur) — Wikipédia

Daisuke Itō (réalisateur)

réalisateur japonais

Daisuke Itō (伊藤いとう 大輔だいすけ, Itō Daisuke?), né le et mort le , est un réalisateur et scénariste japonais qui a joué un rôle déterminant dans le développement des formes modernes jidai-geki et chanbara du cinéma japonais[1].

Daisuke Itō
伊藤いとう 大輔だいすけ
Description de cette image, également commentée ci-après
Daisuke Itō en 1928.
Naissance
Uwajima (Japon)
Nationalité Drapeau du Japon Japonaise
Décès (à 82 ans)
Préfecture de Kyoto (Japon)
Profession Réalisateur
Scénariste
Films notables Le Journal de voyage de Chuji
Ōshō, le joueur d'échecs

Biographie

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Né à Uwajima dans la préfecture d'Ehime, Daisuke Itō fréquente le collège de Matsuyama où il fait la connaissance de Mansaku Itami, qu'il fera entrer plus tard dans le monde du cinéma, et du futur poète Kusatao Nakamura. Tous trois fondent une revue littéraire amateure, Rakuten[2].

En 1920, Daisuke Itō s'installe à Tokyo et partage le même appartement que Mansaku Itami. Il fréquente l'école d'acteurs de la Shōchiku mais il commence bientôt à écrire des scénarios sur le conseil de Kaoru Osanai[3]. Son premier scénario est écrit pour le film Renaissance (新生しんせい, Shinsei?) qui est aussi le premier film produit par les studios de la Shōchiku à Kamata[4]. Le film est un succès et Daisuke Itō écrit de 1920 à 1923 plus d'une cinquantaine de scénarios pour la Shōchiku[5] qu'il finit par quitter, car il aspire à la réalisation.

Il fait ses débuts de réalisation en 1924 à la Teikoku Kinema avec Journal d'ivresse (さけ中日ちゅうにち, Shuchū nikki?)[3]. Après avoir essayé de créer sa propre société de production, il rejoint la Nikkatsu et se fait connaître en 1927 avec le film en trois parties Le Journal de voyage de Chuji (忠次ちゅうじたび日記にっき, Chūji tabi nikki?), à présent considéré comme l'un des chefs-d’œuvre du jidai-geki[3].

Autour des années 1930, Daisuke Itō est le réalisateur japonais qui connaît le plus grand succès tant artistique que commercial[6]. Particulièrement à l'époque du cinéma muet, il est reconnu pour un style très mobile de caméra qui lui vaut le surnom de Idō daisuki (« Aime le mouvement »), qui est un jeu de mots sur son nom. Les héros de ses films, comme Tange Sazen et Kunisada Chūji, sont souvent des insatisfaits et des nihilistes solitaires[7].

À partir des années 1950, Daisuke Itō devient indépendant et offre ses services à diverses sociétés de production. Il est toutefois critiqué pour ne pas avoir su se renouveler. Kenji Mizoguchi dira de lui : « Daisuke Itō, qui plus que tous a codifié le film historique pour des décennies, donnant à ses films une vitalité éblouissante, a trouvé son seul recours dans la répétition de ses innovations initiales, de façon de plus en plus monotone et stérile »[8].

Bien qu'ayant moins de succès après la venue du cinéma sonore, Itō travaille avec de nombreuses grandes vedettes du jidai-geki, en particulier Denjirō Ōkōchi, Kinnosuke Nakamura, Raizō Ichikawa et Tsumasaburō Bandō pour des studios tels que la Nikkatsu, la Daiichi Eiga et la Daiei au cours d'une carrière qui couvre près d'un demi-siècle. Daisuke Itō fait ses adieux au cinéma avec le scénario de La Légende de Musashi : Duel à mort (真剣しんけん勝負しょうぶ, Shinken shōbu?) réalisé par Tomu Uchida, son 200e scénario.

En 1991, une copie partielle (96 minutes) de Le Journal de voyage de Chuji, longtemps considéré comme un film perdu, est découverte et projetée en public[9]. Onze ans plus tard, c'est une copie partielle de Le Sabre pourfendeur d'hommes et de chevaux, correspondant à un peu plus de 20% de la version originale, qui est redécouverte[10].

Daisuke Itō a tourné près de cent films entre 1924 et 1970 et a écrit deux cents scénarios de 1920 à 1971[11].

Filmographie sélective

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Comme réalisateur

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Sauf indication contraire, les titres en français se basent sur la filmographie de Daisuke Itō dans l'ouvrage Le Cinéma japonais de Tadao Satō[12].

 
Denjirō Ōkōchi dans Le Journal de voyage de Chuji (1927).
 
Les Procès d'Ooka (1928).
 
Nobuko Fushimi et Denjirō Ōkōchi dans Le Chevalier voleur (1931).
 
Kanjūrō Arashi et Sōjin Kamiyama dans Kurama Tengu (1942).
 
Tsumasaburō Bandō dans Le simple rōnin force le passage (1947).
 
Tsumasaburō Bandō dans Ōshō, le joueur d'échecs (1948).
 
Tsumasaburō Bandō et Utaemon Ichikawa dans Cinq hommes d'Edo (1951).
 
Jun Tazaki et Michiko Saga dans La Tête du serviteur (1955).
 
Machiko Kyō dans La Femme et les pirates (1959).

Années 1920

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  • 1924 : Journal d'un alcoolique (さけ中日ちゅうにち, Shuchū nikki?)[13]
  • 1924 : Dans le creuset (坩堝るつぼなか, Rutsubo no nakani?)[13]
  • 1924 : Le Sang lavé par le sang (あらい, Chi de chi o arau?)[13]
  • 1924 : Les Étoiles dispersés (ほしなが, Hoshi wa midaretobu?)[13]
  • 1924 : L'Île forteresse (城ケ島じょうがしま, Jōgashima?)
  • 1924 : Le Sabre de la sentence (けんさば, Ken wa sabaku?)
  • 1924 : Disimulant le sang chaud (熱血ねっけつひそめて, Nekketsu o hisomete?)
  • 1925 : Fumées (けむり, Kemuri?)
  • 1926 : Kyoko et Shizuko (京子きょうこ倭文子しずこ, Kyōko to Shizuko?)
  • 1926 : Les Cercles du soleil I (日輪にちりん まえへん, Nichirin zenpen?)
  • 1926 : Les Cercles du soleil II (日輪にちりん 中篇ちゅうへん, Nichirin chūhen?)
  • 1926 : Les Cercles du soleil III (日輪にちりん へん, Nichirin kōhen?)
  • 1926 : Un grand regret (長恨ちょうこん, Chōkon?)
  • 1926 : Une grande colère (怒髪どはつ, Dohatsu?)
  • 1927 : Kichiji le coureur (韋駄てん吉次よしじ, Idaten Kichiji?)
  • 1927 : Le Journal de voyage de Chuji I (忠次ちゅうじたび日記にっき 甲州こうしゅう殺陣さつじんへん, Chūji tabi nikki : Kōshū satsujin hen?)
  • 1927 : Le Fantôme vivant (生霊いきりょう, Ikiryō?)
  • 1927 : Les Vicissitudes de la vie I-II (流転るてん 前後ぜんこうへん, Ruten?)
  • 1927 : Le Journal de voyage de Chuji II (忠次ちゅうじたび日記にっき 信州しんしゅうわらいへん, Chūji tabi nikki : Shinshū kesshō?)
  • 1927 : Le Serviteur (下郎げろう, Gerō?)
  • 1927 : La Revanche et la lanterne tournante (仇討あだうち走馬燈そうまとう, Adauchi sōmatō?)
  • 1927 : Le Journal de voyage de Chuji III (忠次ちゅうじたび日記にっき 御用ごようへん, Chūji tabi nikki : Goyō hen?)
  • 1928 : Fumées de sang à Takadanobaba (血煙ちけむり高田馬場たかだのばば, Chikemuri Takadanobaba?)
  • 1928 : Les Procès d'Ooka I (新版しんぱん大岡おおおか政談せいだん だいいちへん, Shinpan Ōoka seidan : daiichihen?)
  • 1928 : Les Procès d'Ooka II (新版しんぱん大岡おおおか政談せいだん だいへん, Shinpan Ōoka seidan : dainihen?)
  • 1928 : Nouvelles histoires fantastiques de Yotsuya (新版しんぱん四谷よつや怪談かいだん, Shinpan Yotsuya kaidan?)
  • 1928 : Les Procès d'Ooka III (新版しんぱん大岡おおおか政談せいだん だいさんへん 解決かいけつへん, Shinpan Ōoka seidan : Kaiketsu hen?)
  • 1929 : Le sabre qui tue pour le bien d'autrui (一殺多生いっさつたしょうけん, Issatsu tashō ken?)
  • 1929 : Le Sabre pourfendeur d'hommes et de chevaux (ひとうまけん, Zanjin zanbaken?)[14]

Années 1930

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  • 1930 : Suite des jugements d'Ooka I (ぞく大岡おおおか政談せいだん ぞうへんだいいち, Zoku Ōoka seidan : mazō hen daiichi?)
  • 1930 : Chuya, le samouraï sans maître (浪人ろうにん忠弥ちゅうや, Surōnin Chūya?)
  • 1930 : La Naissance et la chute de Shinsengumi I (興亡こうぼう新選しんせんぐみ 前史ぜんし, Kōbō shinsengumi : zenpen?)
  • 1930 : La Naissance et la chute de Shinsengumi II (興亡こうぼう新選しんせんぐみ , Kōbō shinsengumi : kōhen?)
  • 1930 : Le Voyageur à l'accent de Joshu (たび姿すがたうえしゅうなまり, Tabisugata Jōshū namari?)
  • 1931 : Samurai Nippon I (さむらいニッポン まえへん, Samurai Nippon : zenpen?)
  • 1931 : Samurai Nippon II (さむらいニッポン へん, Samurai Nippon : kōhen?)
  • 1931 : Kozo Nemuri en voyage (ねずみ小僧こぞう旅枕たびまくら, Nezumi Kozō tabimakura?)
  • 1931 : Suite des jugements d'Ooka II (ぞく大岡おおおか政談せいだん ぞう解決かいけつへん, Zoku Ōoka seidan : mazō kaiketsu hen?)
  • 1931 : Le Chevalier voleur (あつらえ治郎じろうよし格子こうし, Oatsurae Jirokichi Koshi?)[15]
  • 1932 : Première année de Meiji (明治めいじ元年がんねん, Meiji gannen?)
  • 1932 : Un espion à Satsuma (薩摩さつま飛脚びきゃく 東海とうかいへん, Satsuma hikyaku?)
  • 1933 : Hotta Hayato (堀田ほった隼人はやと?)
  • 1933 : Tsukigata Hanpeita (月形つきがた半平はんぺんふとし?)
  • 1933 : Tange Sazen I (丹下たんげひだりぜん だいいちへん, Tange Sazen : daiichihen?)
  • 1933 : Le Mandala de la femme I (女人にょにん曼陀羅まんだら だいいちへん, Nyonin mandara : daiichihen?)
  • 1934 : Le Mandala de la femme II (女人にょにん曼陀羅まんだら だいへん, Nyonin mandara : dainihen?)
  • 1934 : Tange Sazen II (丹下たんげひだりぜん 剣戟けんげきまき, Tange Sazen : kengeki no maki?)
  • 1934 : Les 47 rōnin I et II (忠臣蔵ちゅうしんぐら 刃傷にんじょうへん 復讐ふくしゅうへん, Chūshingura: Ninjō-hen Fukushū-hen?)
  • 1934 : Le Festival des chants et le chapeau de paille (うたさい三度笠さんどがさ, Utamatsuri sandogasa?)
  • 1934 : Les Constructeurs (建設けんせつ人々ひとびと, Kensetsu no hitobito?)
  • 1935 : Le Peigne d'Oroku (ろくくし, Oroku gushi?)[16]
  • 1935 : Niinō Tsuruchiyo (しんおさめつる千代ちよ?)
  • 1935 : La Berceuse souvenir d'Edo (江戸えどみやげ子守こもりうた, Edo miyage komoriuta?)
  • 1936 : Le 48ème (よんじゅうはちにん, Yonjūhachininme?)
  • 1936 : Le Col d'Asagiri (あさぎりとうげ, Asagiri tōge?)
  • 1937 : Troubles dans le groupe de la main noire (異変いへんくろしゅぐみ, Ihen kurotegumi?)
  • 1937 : Mataemon Araki le maître de l'épée (剣豪けんごう荒木あらき又右衛門またえもん, Kengō Araki Mataemon?)
  • 1938 : Un espion à Satsuma (薩摩さつま飛脚びきゃく, Satsuma hikyaku?)

Années 1940

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  • 1940 : Araki Mataemon (荒木あらき又右衛門またえもん?)
  • 1941 : Le Col du roi des aigles (わしおうとうげ, Washi no ō tōge?)
  • 1942 : Kurama Tengu (鞍馬あんば天狗てんぐ?)
  • 1943 : À deux sabres (二刀流にとうりゅう開眼かいがん, Nitōryū kaigen?)
  • 1943 : Duel à Hannyazaka (決闘けっとう般若はんにゃざか, Kettō hannyazaka?)
  • 1944 : Les Contrebandiers internationaux (国際こくさい密輸みつゆだん, Kokusai mitsuyu-dan?)
  • 1945 : Les Yakuzas dans la région de Tokai (東海とうかいすい滸伝, Tōkai suikoden?) coréalisé avec Hiroshi Inagaki
  • 1947 : Le simple rōnin force le passage (浪人ろうにん罷通まかりとお, Surōnin makaritōru?)
  • 1948 : Ōshō, le joueur d'échecs (王将おうしょう, Ōshō?)[17]
  • 1949 : Le Chapeau de paille en montagne (やま花笠はながさ, Yama o tobu hanagasa?)

Années 1950

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  • 1950 : Le Lointain Pays de ma mère (はるかなりははくに, Harukanari haha no kuni?)
  • 1950 : J'ai vu des poissons fantômes (われまぼろし魚見うおみたり, Ware maboroshi no sakana o mitari?)
  • 1950 : Les Misérables I (レ・ミゼラブル あゝ無情むじょう だい一部いちぶ かみ悪魔あくま, Re mizeraburu: Kami to akuma?)[18],[19]
  • 1951 : Le Palanquin mystérieux (おぼろかご, Oborokago?)[20]
  • 1951 : Cinq hommes d'Edo (大江戸おおえどにんおとこ, Ōedo gonin otoko?)
  • 1952 : Jirokichi derrière les barreaux (治郎じろうよし格子こうし, Jirōkichi kōshi?)
  • 1953 : Le Trône du maître de nô (獅子しし, Shishi no za?)[21]
  • 1954 : La Maison hantée (きく播磨はりま, Okiku to Harima?)
  • 1954 : L'Histoire de Shunkin (春琴しゅんきん物語ものがたり, Shunkin monogatari?)[22]
  • 1955 : Une femme de Meiji (明治めいじいちだいおんな, Meiji ichidai onna?)[23]
  • 1955 : La Tête du serviteur (下郎げろうくび, Gerō no kubi?)[24]
  • 1955 : Le Maître d'échecs (王将おうしょういちだい, Osho ichidai?)
  • 1955 : L'Histoire du beau jeune homme de l'ère Genroku (元禄げんろく美少年びしょうねんろく, Genroku bishōnen roku?)
  • 1957 : Histoire d'une jeune femme (いとはん物語ものがたり, Itohan monogatari?)
  • 1957 : Fleurs infernales (地獄じごくはな, Jigoku bana?)
  • 1958 : Les Fourberies de Benten Kozō (弁天べんてん小僧こぞう, Benten Kozō?)[25]
  • 1959 : La Femme et les pirates (おんな海賊かいぞく, Onna to kaizoku?)
  • 1959 : Une attaque Jan Arima (ジャン有馬ありま襲撃しゅうげき, Jan Arima no shūgeki?)

Années 1960

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  • 1960 : Yosaburo et ses cicatrices (られ与三郎よさぶろう, Kirare Yosaburō?)
  • 1960 : Duel au clair de lune (つきだしたたかえ, Tsukinode no kettō?)
  • 1961 : Le Conspirateur (反逆はんぎゃく, Hangyakuji?)[26]
  • 1962 : Le Bretteur Genji Kuro (源氏げんじ九郎くろう颯爽さっそう けん揚羽あげはちょう, Genji Kurō sassō-ki : hiken ageha no chō?)
  • 1962 : Ōshō, le joueur d'échecs (王将おうしょう, Ōshō?)
  • 1963 : Dix mille ryos pour cette tête (このくびいちまんせき, Kono kubi ichimangoku?)
  • 1965 : Tokugawa Ieyasu (徳川とくがわ家康いえやす?)

Années 1970

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  • 1970 : La Fin du Bakufu (幕末ばくまつ, Bakumatsu?)

Comme scénariste

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Récompenses et distinctions

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  Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Notes et références

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  1. Festival international du film de La Rochelle, « Daisuke Itô », sur archives.festival-larochelle.org,
  2. Grands scénaristes japonais 1er volet : Itami Mansaku & Itô Daisuke, le clair et l'obscur, Maison de la culture du Japon à Paris, , 11 p., p. 6-7.
  3. a b et c (ja) « Itō Daisuke », Kōdansha (consulté le ).
  4. « Filmographie de la Kamata Shochiku », sur IMDB (consulté le ).
  5. Tadao Sato (trad. du japonais), Le cinéma japonais (tome I), Paris, éditions du centre Pompidou, , 264 p. (ISBN 2-85850-919-0), p. 79.
  6. Tadao Sato (trad. du japonais), Le cinéma japonais (tome I), Paris, éditions du centre Pompidou, , 264 p. (ISBN 2-85850-919-0), p. 19.
  7. Jonathan Crow, « Daisuke Ito », All Movie Guide (consulté le ).
  8. Donald Richie (trad. de l'anglais), Le cinéma japonais, Monaco, éditions du Rocher, , 402 p. (ISBN 2-268-05237-0), p. 164
  9. Donald Richie, A Hundred Years of Japanese Film : A Concise History, with a Selective Guide to DVDs and Videos, New York, Kodansha International, , Rev. éd., 317 p. (ISBN 978-4-7700-2995-9, lire en ligne), p. 69.
  10. (it) « Zanjin zanbaken - Pordenone Silent Film Festival », sur www.cinetecadelfriuli.org (consulté le )
  11. (ja) « Filmographie », sur JMDB (consulté le ).
  12. Tadao Satō (trad. du japonais), Le Cinéma japonais (tome II), Paris, éditions du centre Pompidou, , 324 p. (ISBN 2-85850-930-1), p. 288-289.
  13. a b c et d (ja) « だい16かい 無声むせい日本にっぽん映画えいがのスチル写真しゃしん(6)─帝国ていこくキネマ », sur www.nfaj.go.jp (consulté le )
  14. « Le Sabre pourfendeur d'hommes et de chevaux », titre français du film lors de la rétrospective « 100 ans de cinéma japonais (1ère partie) » du 26 septembre au 22 octobre 2018 à la Cinémathèque française, sur www.cinematheque.fr (consulté le ).
  15. Le Chevalier voleur : titre français du film lors de la rétrospective « Grands scénaristes japonais, 1er volet : Itami Mansaku et Itō Daisuke, le clair et l'obscur » du 13 septembre au 24 septembre 2005 à la MCJP.
  16. Le Peigne d'Oroku : titre français du film lors de la rétrospective « Le Cinéma japonais » du 19 mars au 29 septembre 1997 au centre national d'art et de culture Georges-Pompidou.
  17. Ōshō, le joueur d'échecs : titre français du film lors de la rétrospective « Grands scénaristes japonais, 1er volet : Itami Mansaku et Itō Daisuke, le clair et l'obscur » du 13 septembre au 24 septembre 2005 à la MCJP.
  18. « Re mizeraburu : kami to akuma », sur kinematoscope.org (consulté le )
  19. Note : la deuxième partie a été réalisée par Masahiro Makino.
  20. Le Palanquin mystérieux : titre français du film lors de la rétrospective « Le Cinéma japonais » du 19 mars au 29 septembre 1997 au centre Georges-Pompidou.
  21. Le Trône du maître de nô : titre français du film lors de la rétrospective « Les Splendeurs de la Daiei, 2e partie : les héritiers du grand maître » du 8 janvier au samedi 29 mars 2014 à la MCJP.
  22. « L’Histoire de Shunkin », sur festival-larochelle.org (consulté le ).
  23. Une femme de Meiji (1955) - MCJP.
  24. La Tête du serviteur (1955) - MCJP.
  25. Les Fourberies de Benten Kozō : titre français du film lors de la rétrospective « Grands scénaristes japonais, 1er volet : Itami Mansaku et Itō Daisuke, le clair et l'obscur » du 13 septembre au 24 septembre 2005 à la MCJP.
  26. Le Conspirateur : titre français du film lors de la rétrospective « Le Cinéma japonais » du 19 mars au 29 septembre 1997 au centre Georges-Pompidou.
  27. « Ah! Ah! Mujo (Ah! Misérables) », sur kinematoscope.org (consulté le )
  28. (ja) « 1961ねん だい12かい ブルーリボンしょう », sur www.allcinema.net (consulté le )

Liens externes

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