Sōji-ji soin
Sōji-ji soin (
Histoire
modifierGyōki (668–749) fonda le temple Moro-oka-ji, sur une colline donnant sur la mer du Japon, dans la péninsule de Noto. Ce temple fut d'abord rattaché au bouddhisme ésotérique, avant que, en 1321, Keizan Jōkin n'en fasse un temple de l'école Sōtō[1]. Il devint alors un des deux temples principaux du zen Sōtō (le second étant Eihei-ji), avec plus de 16 000 temples affiliés au Japon[2].
Le , la plupart des bâtiments du monastère furent détruits par un incendie et le Sōji-ji fut déplacé à Tsurumi-ku, dans la ville de Yokohama. On a rebâti sur l'emplacement du complexe détruit un nouveau titre, qui fonctionne comme sobyo (« mausolée ancestral » ou « temple père »)[3]. Aujourd'hui, le Sōji-ji soin continue d'accueillir des moines bouddhistes, ainsi que des pèlerins et des touristes[3].
Bâtiments
modifierNotes et références
modifier- « Sōji-ji Soin »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur sotozen-net.
- (en) « Daihonzan Sojiji Soin Temple »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur notostyle.jp/en/.
- (en) « About Sojiji Soin », sur noto-soin.jp (consulté le ).
Annexes
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- (ja + en) Site officiel