Voir la source de Partitio terrarum imperii Romaniae

{{Titre en italique}}
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La '''''Partitio terrarum imperii Romaniae''''' (en [[latin]] « Partage des terres de l'Empire de [[Romanie]]), ultérieurement '''''Partitio regni Graeci'''''{{Sfn|Tafel|Thomas|1856|p=452}} (« Partition du royaume des Grecs »)<ref>Entre [[1095]] et [[1291]] le [[Proche-Orient]] vit s'opposer [[croisé]]s [[Église_catholique#Significations_du_terme_«_catholique_»|catholiques]], [[Empire byzantin|byzantins]] [[Église orthodoxe|orthodoxes]] et [[arabes]] ou [[Seldjoukides|turcs]] [[musulman]]s. Les dénominations apparues dans cet espace-temps pendant les [[croisade]]s et dans les [[États latins d'Orient]], reflètent les revendications des [[Séparation des Églises d'Orient et d'Occident|chrétientés rivales d'Occident et d'Orient]] concernant la [[légitimité]] de l'[[Empire romain|héritage politique et religieux romain]] : l'Occident et l'[[Diocèse de Rome|Église de Rome]] se qualifient de « latins » et dénomment « grecs » les [[Christianisme oriental|chrétiens orientaux]] (non sans [[mishellénisme]]) tandis que les chrétiens orientaux se qualifient de [[Romioi|Romées]] et dénomment « Francs » les chrétiens catholiques, suivis en cela par les musulmans. Convaincu d'être le seul à détenir la vraie [[foi]], chaque groupe qualifiait en outre les deux autres d'« [[Hérésie|hérétiques]] », « [[mécréant]]s » ou « infidèles » :
* Termes utilisés par les [[croisé]]s et les sources catholiques :
** « {{page h'|Latin (homonymie)|latins}} » : eux-mêmes, d'après le [[rite latin]] de leur christianisme [[Église_catholique#Significations_du_terme_«_catholique_»|catholique]].
** « [[États grecs|grecs]] » : byzantins, et par [[métonymie]] tous les [[Église orthodoxe|orthodoxes]].
** « [[sarrasins]] » (de l’arabe {{lang|rtl|ar|شرقيين}}, ''sharqiyyin'' soit « bédouin ») : musulmans (voir Hervé Bleuchot, ''Droit musulman'', tome I (''Histoires''), Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2000, {{p.|39-49}}.

* Termes utilisés par les sources byzantines (l'expression « [[Empire byzantin]] » est apparue en occident en [[1557]]) :
** « {{page h'|Franc|francs}} » (Φράγγοι) : occidentaux (le [[français]] était la ''[[lingua franca]]'' des croisades).
** ''[[Romioi]]'' (Ῥωμαίοι, Romées) : les Romains d'Orient (voir Clifton R. Fox, {{en}} ''What, if anything, is a Byzantine ?'', Lone Star College, Tomball 1996 : [http://www.romanity.org/htm/fox.01.en.what_if_anything_is_a_byzantine.01.htm] vu le 21 oct. 2009.
** « Saracènes » (Σαρακηνοί) : musulmans, selon la forme [[grec]]que Σαρακηνός du mot arabe ''sharqiyyin'' et par analogie avec les [[Agarènes|Saracènes]] bibliques.

* Termes utilisés par les sources musulmanes :
** « faranja » (adj. pl. {{lang|rtl|ar|فرنجة}}) : forme arabe de {{page h'|Franc|francs}}.
***  Plus tard et par [[métonymie]], le mot ''franc'' a fini, en Orient, par désigner tous les occidentaux, catholiques ou non (comme dans le cas du marchand Jacob Lejbowicz, surnommé [[Jacob Frank]]).
**  « rūm », « roum » ou « roumi » ({{lang|rtl|ar|روم}}) : les byzantins, car jusqu'en [[1557]] l'adjectif « byzantin » n'existait pas, le nom officiel étant [[Empire byzantin|Empire romain d'Orient]]. Le mot arabe ''roumi'' a fini par désigner tous les chrétiens indifféremment de leur obédience (voir Amin Maalouf, ''Les Croisades vues par les Arabes'', éd. J.-C. Lattès, Paris 1992, {{ISBN|2290119164}}.

* Autres termes :
** [[États latins d'Orient|États « latins » ou « francs »]] : États dont le christianisme est catholique de rite latin et dont les langues sont le latin, l'italien ou le français.
** [[États grecs|États « grecs »]] : états dont le christianisme est [[Église orthodoxe|orthodoxe]] ou [[Église grecque-catholique|catholique de rite grec]], et dont la langue est [[grec]]que, [[Diasystème roman de l'Est|romane orientale]] ou [[Langues slaves|slave]].
** « [[Romanie]] » : [[Empire byzantin|Empire romain d'Orient]] et ses territoires, d’où le titre du ''[[Assises de Romanie|Libro de le uxanze e statuti de lo Imperio de Romania]]'', traité de [[droit féodal]] des [[États latins d'Orient]] établis sur les ''terres de Romanie'', cité par Antoine Bon, ''La Morée franque : recherches historiques, topographiques et archéologiques sur la principauté d’Achaïe'', De Boccard, Paris 1969 ; après 1080 « Romanie » peut aussi désigner les États installés sur d'anciens territoires byzantins comme l'[[Royaume arménien de Cilicie|Arménie]] [[cilicie]]nne, le [[sultanat de Roum]] ou bien, de 1204 à 1261 l’[[Empire latin de Constantinople]] (voir {{OxDByz}} {{p.|1805}} et {{article|prénom=R.L.|nom=Wolff|titre=Romania: The Latin Empire of Constantinople|journal=Speculum|volume=23|numéro=1|année=1948|pages=1–34|doi=10.2307/2853672|jstor= 2853672}}) et aussi, de 1261 à 1394, les [[Balkans]] chrétiens (''Romania'' étant remplacé après 1394 et au sud de l’[[Grand Balkan|Haemos]] par le terme turc ''Rum-eli'' ou « [[Roumélie]] » (soit « pays des Romains », voir [https://archive.org/details/bub_gb__Uqr7R3KbgUC H. K., ''Description géographique et historique de la Turquie d'Europe'', Paris, 1828]).</ref> est un traité signé entre les croisés après le [[Siège de Constantinople (1204)|sac]] de la capitale [[Empire byzantin|byzantine (romaine orientale)]], [[Constantinople]], par la [[quatrième croisade]] en 1204. Il a établi l'[[Empire latin de Constantinople|Empire latin]] et a organisé la partition nominale du territoire byzantin entre les participants de la croisade, la [[république de Venise]] en étant le plus grand bénéficiaire. Cependant, parce que les croisés ne contrôlaient pas effectivement la majeure partie de l'Empire, les croisés admirent que la division de l'Empire entre eux ne pourrait pas être mise en œuvre compte tenu de leurs forces et de la résistance des populations locales et de leurs [[archonte]]s. Cette épreuve est un coup dur pour l'Empire romain d'Orient, mais son principal héritier, l'[[empire de Nicée]], reprend Constantinople en [[1261]], sans pour autant rétablir l'unité byzantine, puisque d'autres « [[États grecs]] » subsistent<ref>Les « [[États grecs]] » héritiers de l'Empire byzantin sont, outre l'[[empire de Nicée]], celui [[Empire de Trébizonde|de Trébizonde]], les despotats [[Despotat d'Épire|d'Épire]] et [[Despotat de Morée|du Péloponnèse]] ([[Mistra]]), la cité [[Philadelphie (Asie Mineure)|de Philadelphie]] et les principautés de [[Principauté de Moldavie|Moldavie]], de [[Principauté de Valachie|Valachie]] et de [[Principauté de Théodoros|Crimée grecque]].</ref>. 

== Contexte ==
En {{date-|mars 1204}}, peu de temps avant le [[Siège de Constantinople (1204)|sac]] de [[Constantinople]] le mois suivant, en avril, les croisés conclurent un accord préliminaire sur le partage des territoires byzantins entre eux{{Sfn|Zakythinos|1951}}. Ce texte, négocié entre les principaux chefs de la croisade, le [[doge de Venise]] [[Enrico Dandolo]], le marquis [[Boniface de Montferrat]], le comte [[Baudouin VI de Hainaut|Baudouin]] et le comte [[Louis de Blois|Louis I de Blois]], a été conservé parmi les lettres du [[Innocent III|pape Innocent III]]{{Sfn|Tafel|Thomas|1856}}{{refinc}}. Selon ses stipulations, les Vénitiens conserveraient les privilèges qui leur avaient été accordés par les empereurs byzantins et un comité commun, composé en nombre égal de Vénitiens et de croisés, élirait un empereur pour l'[[Empire latin de Constantinople|Empire latin]] à établir après la conquête de la ville. L'empereur recevrait un quart de tous les territoires, ainsi que les palais des [[Quartier des Blachernes|Blachernes]] et de [[Palais de Boucoléon|Boukoleon]] dans la capitale impériale. Les trois quarts restants des territoires byzantins seraient répartis équitablement entre Venise et les autres croisés {{Sfn|Zakythinos|1951|p=180}}. Le {{date-|9 mai}}, Baudouin de Flandre fut élu empereur, à la place du chef de la croisade, Boniface de Montferrat. Selon le croisé et chroniqueur [[Geoffroi de Villehardouin|Geoffroy de Villehardouin]], par accord préalable, Boniface devait recevoir les territoires situés au-delà du [[Bosphore]] et de [[Mer de Marmara|la mer de Marmara]], « vers la Turquie », ainsi que « l'île de Grèce ». Cependant, pour apaiser Boniface, Baudouin a accepté de lui attribuer le [[royaume de Thessalonique]] à la place{{Sfn|Zakythinos|1951|p=181}}. 

L'accord, qui a été promulgué fin septembre ou début {{date-|octobre 1204}} (selon les opinions de W. Heyd, Dionysios Zakythinos et A. Carile) ou (selon [[Nicolas Oikonomidès]]) immédiatement après le sac de la ville en avril-{{date-|mai 1204}}{{Sfn|Brand|1991}}, a été rédigé par un comité de 24 hommes composé de 12 Vénitiens et de 12 représentants des autres chefs croisés{{Sfn|Brand|1991}}.  Les Vénitiens ont joué un rôle majeur dans la procédure, car ils avaient une connaissance de première main de la région, et beaucoup des dispositions du texte final peuvent être attribuées à la [[Bulle d'or|chrysobulle]] impériale accordée à Venise en 1198 par [[Alexis III Ange]]{{Sfn|Nicol|1988|p=149}}. Il a donné à l'empereur latin le contrôle direct d'un quart de l'ancien territoire byzantin, à Venise trois huitièmes - y compris trois huitièmes de la ville de Constantinople, avec [[Sainte-Sophie (Constantinople)|Hagia Sophia]] - et les trois huitièmes restants ont été répartis entre les autres chefs croisés. Par cette division, Venise devint la principale puissance de la Romanie latine et la puissance effective derrière l'Empire latin, fait clairement illustré par le titre élevé que son [[Doge de Venise|Doge]] acquit : ''{{Langue|la|Dominator quartae et dimidiae partis totius Romaniae}}''  ("Seigneur d'un quart et demi de toute la ''Romanie'' "). 

Le traité survit dans un certain nombre de manuscrits, tous de Venise : le ''Liber Albus'' (fols.34ff.), Le ''Liber Pactorum'' (vol. I, fols.246ff. et vol. II, fols.261ff.), le ''Codex Sancti Marci'' 284, folio 3, et les ''codex Muratorii Ambrosiani'' I et II{{Sfn|Tafel|Thomas|1856|p=452}}{{,}}{{Sfn|Zakythinos|1951|p=182}}. La première édition critique du traité a été publiée dans la collection de documents diplomatiques vénitiens compilés par Gottlieb Tafel et Georg Thomas pour l' [[Académie autrichienne des sciences|Académie impériale des sciences de Vienne]] en 1856{{Sfn|Tafel|Thomas|1856}}, tandis que A. Carile a publié une édition mise à jour avec commentaire complet en 1965{{Sfn|Nicol|1988|p=149}}. 

== Dispositions territoriales ==
Selon les dispositions du traité, les territoires ont été divisés en une partie du "Seigneur doge et [[Commune Veneciarum|de la commune de Venise]] " ( ''pars domini Ducis et communis Venetiae'' ), la partie de l'empereur latin ( ''pars domini Imperatoris'' ) et le reste comme la partie des croisés, ou « pèlerins » ( ''pars Peregrinorum'' ). 
{{...}}

== Observations ==
Sur la base des formes des noms, le matériel source pour la compilation du traité était en grec, tandis que la prédominance de termes fiscaux comme ''episkepsis'' indique l'utilisation des registres cadastraux et fiscaux de l'administration centrale byzantine{{Sfn|Zakythinos|1951|p=182}} {{Sfn|Zakythinos|1952|p=161}}. 

Plusieurs zones sont laissées en dehors de la ''Partitio''. En Europe, les terres de [[Macédoine (région)|Macédoine]] et de [[Thrace occidentale]], entre les fleuves [[Maritsa]] et [[Vardar]], ainsi que le nord-est du [[Péloponnèse]], la [[Béotie]] et le centre de l'[[Eubée]], sont absentes. C'étaient des terres attribuées à Boniface de Montferrat, et donc évidemment exclues de la partition générale. Ce fait contribue également à attribuer le ''[[Terminus ad quem|terminus post quem]]'' du traité, à savoir l'accord du {{date-|16 mai 1204}} entre Boniface et Baudouin de Flandre qui a institué le royaume de Thessalonique{{Sfn|Zakythinos|1951}}. 

Comme le souligne Zakythinos, la division territoriale indiquée dans la ''Partitio'' et dans le chrysobulle de 1198 pour l'Asie Mineure est beaucoup plus conservatrice et reflète bien plus la structure thématique « traditionnelle » que dans les provinces européennes{{Sfn|Zakythinos|1955|p=127}}. D'autre part, les deux documents diffèrent considérablement dans l'étendue du territoire qu'ils mentionnent : le chrysobulle de 1198 contient les parties centrale et nord de l'Asie mineure occidentale, mais aussi la rive sud avec [[Antalya|Attaleia]], [[Cilicie|Cilicia]] et même [[Antioche]], alors que dans la ''Partitio'', est inclus le rivage de la mer Noire de [[Paphlagonie]] jusqu'à [[Bafra|Pavrae]]{{Sfn|Zakythinos|1955}}.

== Effets ==
La ''Partitio Romaniae'' a inauguré la période de l'[[histoire de la Grèce]] connue sous le nom de ''[[Francocratie|Frankokratia]]'' ou ''Latinokratia'' (« règne des Francs / Latins »), où les nobles [[Église catholique|catholiques d']]Europe occidentale, principalement de France et d'Italie, ont établi des États sur l'ancien territoire byzantin et ont régné sur les indigènes pour la plupart [[Église orthodoxe|orthodoxes]] [[Romioi|grecs byzantins]]. Les dispositions de la ''Partitio Romaniae'' n'ont pas été pleinement appliquées, une grande partie du territoire byzantin tombant entre les mains, non des Croisés qui avaient mis la capitale à sac, mais des nobles grecs byzantins locaux, qui établirent les États successeurs byzantins du [[despotat d'Épire]], de l'[[empire de Nicée]] et de l'[[empire de Trébizonde]], tandis que les croisés se disputaient également entre eux. L'Empire latin lui-même, composé de la région entourant [[Constantinople]], la [[Thrace]] et la [[mer de Marmara]], a également été entraîné dans un conflit désastreux avec le puissant [[Second Empire bulgare]]. La domination latine s'est plus fermement établie et a duré le plus longtemps dans le sud de la Grèce (la [[principauté d'Achaïe]] et le [[duché d'Athènes]]), ainsi que dans les îles de la mer Égée, qui étaient largement sous le contrôle de Venise.

== Importance comme source historique ==
Comme la division était basée sur des documents perdus et des registres fiscaux de la chancellerie impériale byzantine, avec le chrysobulle d'Alexis III de 1198, la ''Partitio Romaniae'' est un document crucial pour connaître les divisions administratives de l'Empire byzantin et les domaines des diverses familles de magnats byzantins {{circa|1203}} , ainsi que les zones encore contrôlées par le gouvernement central byzantin à l'époque{{Sfn|Zakythinos|1951|p=179}}. 

== Notes ==
{{...}}
{{Notes
}}

== Références ==
{{Traduction/Référence|en|Partitio terrarum imperii Romaniae|969941834}}
{{Références|taille=25}}

== Sources ==

* Brand, C. M. (1991). "Partitio Romaniae".  In Kazhdan, Alexander (ed.). The Oxford Dictionary of Byzantium. Oxford and New York: Oxford University Press. pp. 1591–1592. {{ISBN|0-19-504652-8}}.
* {{Article |auteur1=Carile |prénom1=A. |titre=Partitio terrarum imperii Romanie |périodique=Studi Veneziani |volume=7 |année=1965 |pages=125–305 }}
* {{Article |langue=fr |auteur1=Hendrickx |prénom1=Benjamin |titre=Les duchés de l’Empire latin de Constantinople après 1204: origine, structures et statuts |périodique=Revue belge de philologie et d'histoire |volume=93 |numéro=2 |année=2015 |doi=10.3406/rbph.2015.8837 |lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/rbph_0035-0818_2015_num_93_2_8837 |pages=303–328 }}
* Koder, Johannes; Hild, Friedrich (1976). Tabula Imperii Byzantini, Band 1: Hellas und Thessalia (in German). Vienna: Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften. {{ISBN|978-3-7001-0182-6}}.
* Külzer, Andreas (2008). Tabula Imperii Byzantini, Band 12: Ostthrakien (Eurōpē) (in German). Vienna: Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften. {{ISBN|978-3-7001-3945-4}}.
* {{Ouvrage|prénom1=Ljubomir|nom1=Maksimović|lien auteur1=Ljubomir Maksimović|titre=The Byzantine Provincial Administration under the Palaiologoi|lieu=Amsterdam|éditeur=Adolf M. Hakkert|année=1988|pages totales=308|isbn=978-90-256-0968-9}}
* Nicol, Donald M. (1988). Byzantium and Venice: A Study in Diplomatic and Cultural Relations. Cambridge: Cambridge University Press. {{ISBN|0-521-34157-4}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Nicolas|nom1=Oikonomidès|lien auteur1=Nikolaos Oikonomides|titre=Byzantium from the Ninth Century to the Fourth Crusade|sous-titre=Studies, Texts, Monuments|lieu=Aldershot|éditeur=|année=1992|année première édition=1976|pages totales=3–28|isbn=978-0-86078-321-3|titre chapitre=La décomposition de l'empire byzantin à la veille de 1204 et les origines de l'empire de Nicée : à propos de la « Partitio Romaniae »}}
* Soustal, Peter; Koder, Johannes (1981). Tabula Imperii Byzantini, Band 3: Nikopolis und Kephallēnia (in German). Vienna: Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften. {{ISBN|978-3-7001-0399-8}}.
* Soustal, Peter (1991). Tabula Imperii Byzantini, Band 6: Thrakien (Thrakē, Rodopē und Haimimontos) (in German). Vienna: Verlag der Österreichischen Akademie der Wissenschaften. {{ISBN|978-3-7001-1898-5}}.
* {{Ouvrage|prénom1=Gottlieb Lukas Friedrich|nom1=Tafel|prénom2=Georg Martin|nom2=Thomas|titre=Urkunden zur älteren Handels- und Staatsgeschichte der Republik Venedig, mit besonderer Beziehung auf Byzanz und die Levante : Vom neunten bis zum Ausgang des fünfzehnten Jahrhunderts. 1. Theil (814–1205)|lieu=Vienne|éditeur=Kaiserlich-Königliche Hof- und Staatsdruckerei|année=1856|lire en ligne=http://www.mdz-nbn-resolving.de/urn/resolver.pl?urn=urn:nbn:de:bvb:12-bsb10798126-4}}
* {{Ouvrage|langue=en|prénom1=Peter|nom1=Thonemann|titre=The Maeander Valley|sous-titre=a historical geography from antiquity to Byzantium|lieu=Cambridge|éditeur=[[Cambridge University Press]]|année=2011|pages totales=386|isbn=978-1-107-00688-1|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=NnGvHLvUYEoC}}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=17 |année=1941 |lire en ligne=http://hdl.handle.net/11615/19494 |pages=208–274 }}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=18 |année=1948 |lire en ligne=http://hdl.handle.net/11615/16537 |pages=42–62 }}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=19 |année=1949 |lire en ligne=http://hdl.handle.net/11615/20690 |pages=3–25 }}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=21 |année=1951 |lire en ligne=http://hdl.handle.net/11615/15383 |pages=179–209 }}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=22 |année=1952 |lire en ligne= |pages=159–182 }}
* {{Article |langue=el |auteur1=Zakythinos |prénom1=Dionysios |titre=Μελέται περὶ τῆς διοικητικῆς διαιρέσεως καὶ τῆς ἐπαρχιακῆς διοικήσεως ἐν τῷ Βυζαντινῷ κράτει |périodique=Ἐπετηρίς Ἐταιρείας Βυζαντινῶν Σπουδῶν |volume=25 |année=1955 |lire en ligne= |pages=127–157 }}

{{Palette|Civilisation byzantine}}
{{Portail|monde byzantin|Moyen Âge central|Balkans|Croisades}}

[[Catégorie:Traité de paix signé par la république de Venise]]
[[Catégorie:Partition]]
[[Catégorie:Locution ou expression latine]]
[[Catégorie:Empire latin de Constantinople]]
[[Catégorie:Quatrième croisade]]
[[Catégorie:Pages avec des traductions non relues]]