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== Géographie ==
== Géographie ==
=== Situation ===
[[Fichier:Marokau Atoll.jpg|vignette|gauche|Carte de [[Ravahere]] au sud et Marokau au nord.]]
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Marokau est situé à {{unité|116|kilomètres}} à l'est de [[Hao]], à {{unité|46|kilomètres}} au sud-ouest d'[[Hikueru]], ainsi qu'à {{unité|714|km}} à l'est de [[Tahiti]]. Il est distant de {{unité|1.8|km}} de [[Ravahere]] avec lequel il forme quasiment une île jointe donnant son nom à l'ensemble des « îles des Deux Groupes ». C'est un atoll de forme triangulaire équilatérale de {{unité|22|km}} de côté pour une surface de terres émergées de {{unité|14.7|km|2}}. Son lagon couvre une superficie de {{unité|215.6|km|2}} et est accessible par deux passes, l'une à l'est l'autre au nord près du village principal de Vaiori.
Marokau est situé à {{unité|116|kilomètres}} à l'ouest de [[Hao]], à {{unité|46|kilomètres}} au sud-ouest d'[[Hikueru]], ainsi qu'à {{unité|714|km}} à l'est de [[Tahiti]]. Il est distant de {{unité|1.8|km}} de [[Ravahere]] avec lequel il forme quasiment une île jointe donnant son nom à l'ensemble des « îles des Deux Groupes ». C'est un atoll de forme triangulaire équilatérale de {{unité|22|km}} de côté pour une surface de terres émergées de {{unité|14.7|km|2}}. Son lagon couvre une superficie de {{unité|215.6|km|2}} et est accessible par deux passes, l'une à l'est l'autre au nord près du village principal de Vaiori.


=== Géologie ===
D'un point de vue géologique, l'atoll est l'excroissance corallienne (de quelques mètres) du sommet du mont volcanique sous-marin homonyme, qui mesure {{unité|3490|mètres}} — l'un des plus élevés de la trainée des Tuamotu — depuis le plancher océanique, formé il y a 46,7 à 48,9 millions d'années<ref>{{en}} [http://earthref.org/SC/SMNT-181S-1423W/ ''Marokau Seamount''] sur le catalogue Seamount de ''earthref.org''</ref>.
D'un point de vue géologique, l'atoll est l'excroissance corallienne (de quelques mètres) du sommet du mont volcanique sous-marin homonyme, qui mesure {{unité|3490|mètres}} — l'un des plus élevés de la trainée des Tuamotu — depuis le plancher océanique, formé il y a 46,7 à 48,9 millions d'années<ref>{{en}} [http://earthref.org/SC/SMNT-181S-1423W/ ''Marokau Seamount''] sur le catalogue Seamount de ''earthref.org''</ref>.


=== Démographie ===
L'atoll est habité au nord par une petite centaine de personnes principalement regroupées dans le village de Vaiori situé au nord de l'atoll.
En 2017, la population totale de Marokau est de 96 personnes<ref name="ISPF2017"/>{{,}}<ref name="APF">[http://www.ressources-marines.gov.pf/cartes-sig/atlas-de-polynesie/atlas-de-polynesie-tuamotu-gambier/atlas-de-polynesie-tuamotu-gambier-marokau Atlas de Polynésie : Marokau], Direction des ressources marines du [[Gouvernement de la Polynésie française]], consulté le 27 février 2019.</ref> principalement regroupées dans le village de Vaiori situé au nord de l'atoll ; son évolution est la suivante :

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== Histoire ==
== Histoire ==
La première mention de l'atoll est faite par l'explorateur français [[Louis Antoine de Bougainville]] qui l'aborde en [[1768]]<ref>[https://books.google.fr/books?id=_IpUCjJ6OgIC&printsec=frontcover&dq=Tahiti+et+ses+archipels&lr=&cd=1#v=onepage&q=&f=false ''Tahiti et ses archipels''] par Pierre-Yves Toullelan, [[éditions Karthala]], 1991, {{ISBN|2-86537-291-X}}, {{p.|61}}.</ref>. Le {{date|6|avril|1769}}, [[James Cook]] aborde l'atoll et l'associe dès cette date avec [[Ravahere]] dans l'ensemble des [[Îles Deux Groupes]]<ref name="Bonvallot">[https://books.google.fr/books?id=w6GQDRJfz3MC&pg=PA281&dq=ravahere&hl=fr&sa=X&ei=fkCUUMWbLIyBhQfMhoHgDw&ved=0CDMQ6AEwAg#v=onepage&q=ravahere&f=false ''Les Atolls des Tuamotu''] par Jacques Bonvallot, [[Institut de recherche pour le développement|éditions de l'IRD]], 1994, {{ISBN|9782709911757}}, {{p.|275-282}}.</ref>. L'atoll est ensuite visité le {{date|28|février|1826}} par le navigateur britannique [[Edward Belcher]]<ref name="Bonvallot"/>.
La première mention de l'atoll est faite par l'explorateur français [[Louis Antoine de Bougainville]] qui l'aborde en [[1768]]<ref>Pierre-Yves Toullelan, [https://books.google.fr/books?id=_IpUCjJ6OgIC&printsec=frontcover&dq=Tahiti+et+ses+archipels&lr=&cd=1#v=onepage&q=&f=false ''Tahiti et ses archipels''], [[éditions Karthala]], 1991, {{ISBN|2-86537-291-X}}, {{p.|61}}.</ref>. Le {{date|6|avril|1769}}, [[James Cook]] aborde l'atoll et l'associe dès cette date avec [[Ravahere]] dans l'ensemble des [[Îles Deux Groupes]]<ref name="Bonvallot">[https://books.google.fr/books?id=w6GQDRJfz3MC&pg=PA281&dq=ravahere&hl=fr&sa=X&ei=fkCUUMWbLIyBhQfMhoHgDw&ved=0CDMQ6AEwAg#v=onepage&q=ravahere&f=false ''Les Atolls des Tuamotu''] par Jacques Bonvallot, [[Institut de recherche pour le développement|éditions de l'IRD]], 1994, {{ISBN|9782709911757}}, {{p.|275-282}}.</ref>. L'atoll est ensuite visité le {{date|28|février|1826}} par le navigateur britannique [[Edward Belcher]]<ref name="Bonvallot"/>.


Au {{XIXe siècle}}, Marokau devient un territoire français peuplé alors de près de 60 habitants autochtones vers 1850<ref>[https://books.google.fr/books?hl=fr&id=5n4ZmLlXQM8C&pg=PA639#v=onepage&q&f=false ''Notices sur les colonies françaises''], Étienne Avalle, éditions Challamel aîné, Paris, 1866, {{p.|639}}.</ref>. L'atoll est alors évangélisé avec la fondation de la paroisse Notre-Dame-des-Anges en 1873 rattachée au [[Archidiocèse de Papeete|diocèse de Papetee]]<ref name="Dio">[http://www.diocesedepapeete.com/pages/paroisses-1/tuamotu-secteur-de-hikueru/marokau-n-d-des-anges/ Paroisse Notre-Dame-des-Anges] sur le site l'[[archidiocèse de Papeete]].</ref>.
Au {{XIXe siècle}}, Marokau devient un territoire français peuplé alors de près de 60 habitants autochtones vers 1850<ref>[https://books.google.fr/books?hl=fr&id=5n4ZmLlXQM8C&pg=PA639#v=onepage&q&f=false ''Notices sur les colonies françaises''], Étienne Avalle, éditions Challamel aîné, Paris, 1866, {{p.|639}}.</ref>. L'atoll est alors évangélisé avec la fondation de la paroisse Notre-Dame-des-Anges en 1873 rattachée au [[Archidiocèse de Papeete|diocèse de Papetee]]<ref name="Dio">[http://www.diocesedepapeete.com/pages/paroisses-1/tuamotu-secteur-de-hikueru/marokau-n-d-des-anges/ Paroisse Notre-Dame-des-Anges], site l'[[archidiocèse de Papeete]].</ref>.


L'atoll a été fortement touché par un cyclone en 1903<ref name="IUCN">{{en}} [https://books.google.fr/books?id=PmfN7nPBO3sC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false ''Review of the protected areas system in Oceania''] Arthur L. Dahl, IUCN Commission on National Parks and Protected Areas, United Nations Environment Programme, éd. IUCN, 1986, {{ISBN|9782880325091}}, {{p.|207}}.</ref> qui provoque la mort de 95 personnes<ref>[http://vertigo.revues.org/10558 ''Les îles de Polynésie française face à l’aléa cyclonique''] Sébastien Larrue et Thomas Chiron, ''Vertigo'', {{vol|10}} {{Numéro|3}}, décembre 2010.</ref>.
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== Économie ==
== Économie ==
Depuis le {{XIXe siècle}} jusqu'aux années 1960, l'atoll est un important lieu de production d'huîtres nacrières (avec environ 5 à 10 tonnes produites par an vers 1920)<ref name="Intes84">{{pdf}} [http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_5/b_fdi_12-13/16538.pdf ''L'Huître nacrière et perlière en Polynésie française : mutation de l'exploitation''] par André Intès dans ''La Pêche maritime'' {{numéro|1272}} de mars 1984.</ref> puis, avec la surexploitation de la ressource naturelle, de [[perliculture|culture perlière]]<ref name="IUCN"/> avec des techniques de greffes importées du Japon à partir des années 1970. La production de [[coprah]] est également pratiquée.
Depuis le {{s-|XIX}} jusqu'aux années 1960, l'atoll est un important lieu de production d'huîtres nacrières (avec environ 5 à 10 tonnes produites par an vers 1920)<ref name="Intes84">{{pdf}} André Intès, [http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_5/b_fdi_12-13/16538.pdf « L'Huître nacrière et perlière en Polynésie française : mutation de l'exploitation »], ''La Pêche maritime'' {{numéro|1272}}, mars 1984.</ref> puis, après la surexploitation de la ressource naturelle, de [[perliculture|culture perlière]]<ref name="IUCN"/> avec des techniques de greffes importées du Japon à partir des années 1970. La production de [[coprah]] est également pratiquée.


Du fait de son éloignement et de l'absence d'aérodrome l'atoll, qui se trouve à trois heures de bateau d'[[Hikueru]], n'a pas une activité touristique développée.
Du fait de son éloignement et de l'absence d'aérodrome, l'atoll, qui se trouve à trois heures de bateau d'[[Hikueru]], n'a pas une activité touristique développée.


== Notes et références ==
== Notes et références ==
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== Liens externes ==
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{{Palette|Atolls de l'archipel des Tuamotu}}
{{Palette|Atolls de l'archipel des Tuamotu}}

Dernière version du 29 novembre 2023 à 08:26

Marokau
Vue satellite de la NASA
Vue satellite de la NASA
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Archipel Tuamotu
Localisation Océan Pacifique
Coordonnées 18° 04′ 03″ S, 142° 15′ 53″ O
Superficie 14,7 km2
Géologie Atoll
Administration
Collectivité d'outre-mer Polynésie française
District Tuamotu
Commune Hikueru
Démographie
Population 96 hab. (2017[1])
Densité 6,53 hab./km2
Plus grande ville Vaiori
Autres informations
Découverte 1768
Fuseau horaire UTC-10
Géolocalisation sur la carte : îles Tuamotu
(Voir situation sur carte : îles Tuamotu)
Marokau
Marokau
Géolocalisation sur la carte : Polynésie française
(Voir situation sur carte : Polynésie française)
Marokau
Marokau
Atolls en France

Marokau est un atoll situé dans l'archipel des Tuamotu en Polynésie française qui constitue avec Ravahere, distant de 2 km au sud, le sous-groupe des Îles Deux Groupes[2]. Celui-ci fait administrativement partie de la commune de Hikueru.

Géographie

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Carte de Ravahere au sud et Marokau au nord.

Marokau est situé à 116 kilomètres à l'ouest de Hao, à 46 kilomètres au sud-ouest d'Hikueru, ainsi qu'à 714 km à l'est de Tahiti. Il est distant de 1,8 km de Ravahere avec lequel il forme quasiment une île jointe donnant son nom à l'ensemble des « îles des Deux Groupes ». C'est un atoll de forme triangulaire équilatérale de 22 km de côté pour une surface de terres émergées de 14,7 km2. Son lagon couvre une superficie de 215,6 km2 et est accessible par deux passes, l'une à l'est l'autre au nord près du village principal de Vaiori.

D'un point de vue géologique, l'atoll est l'excroissance corallienne (de quelques mètres) du sommet du mont volcanique sous-marin homonyme, qui mesure 3 490 mètres — l'un des plus élevés de la trainée des Tuamotu — depuis le plancher océanique, formé il y a 46,7 à 48,9 millions d'années[3].

Démographie

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En 2017, la population totale de Marokau est de 96 personnes[1],[4] principalement regroupées dans le village de Vaiori situé au nord de l'atoll ; son évolution est la suivante :

1983 1988 1996 2002 2007 2012 2017
81 86 65 60 99 91 96
Sources ISPF[5] et Gouvernement de la Polynésie française.

La première mention de l'atoll est faite par l'explorateur français Louis Antoine de Bougainville qui l'aborde en 1768[6]. Le , James Cook aborde l'atoll et l'associe dès cette date avec Ravahere dans l'ensemble des Îles Deux Groupes[7]. L'atoll est ensuite visité le par le navigateur britannique Edward Belcher[7].

Au XIXe siècle, Marokau devient un territoire français peuplé alors de près de 60 habitants autochtones vers 1850[8]. L'atoll est alors évangélisé avec la fondation de la paroisse Notre-Dame-des-Anges en 1873 rattachée au diocèse de Papetee[9].

L'atoll a été fortement touché par un cyclone en 1903[10] qui provoque la mort de 95 personnes[11].

Depuis le XIXe siècle jusqu'aux années 1960, l'atoll est un important lieu de production d'huîtres nacrières (avec environ 5 à 10 tonnes produites par an vers 1920)[12] puis, après la surexploitation de la ressource naturelle, de culture perlière[10] avec des techniques de greffes importées du Japon à partir des années 1970. La production de coprah est également pratiquée.

Du fait de son éloignement et de l'absence d'aérodrome, l'atoll, qui se trouve à trois heures de bateau d'Hikueru, n'a pas une activité touristique développée.

Notes et références

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  1. a et b Recensement de 2017 – Répartition de la population de la Polynésie française par îles, Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF), consulté le 27 février 2019.
  2. Names of the Paumotu Islands, with the Old Names So Far As They Are Known par J.L. Young dans The Journal of the Polynesian Society, vol. 8, no 4, décembre 1899, p. 264-8.
  3. (en) Marokau Seamount sur le catalogue Seamount de earthref.org
  4. Atlas de Polynésie : Marokau, Direction des ressources marines du Gouvernement de la Polynésie française, consulté le 27 février 2019.
  5. Population, naissances et décès entre deux recensements (RP), Institut de la statistique de la Polynésie française (ISPF), consulté le 27 février 2019.
  6. Pierre-Yves Toullelan, Tahiti et ses archipels, éditions Karthala, 1991, (ISBN 2-86537-291-X), p. 61.
  7. a et b Les Atolls des Tuamotu par Jacques Bonvallot, éditions de l'IRD, 1994, (ISBN 9782709911757), p. 275-282.
  8. Notices sur les colonies françaises, Étienne Avalle, éditions Challamel aîné, Paris, 1866, p. 639.
  9. Paroisse Notre-Dame-des-Anges, site l'archidiocèse de Papeete.
  10. a et b (en) Review of the protected areas system in Oceania Arthur L. Dahl, IUCN Commission on National Parks and Protected Areas, United Nations Environment Programme, éd. IUCN, 1986, (ISBN 9782880325091), p. 207.
  11. Sébastien Larrue et Thomas Chiron,« Les îles de Polynésie française face à l’aléa cyclonique » VertigO, vol. 10 no 3, décembre 2010.
  12. [PDF] André Intès, « L'Huître nacrière et perlière en Polynésie française : mutation de l'exploitation », La Pêche maritime no 1272, mars 1984.

Liens externes

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