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Élections législatives de 2024 en Corrèze

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Élections législatives de 2024 en Corrèze
2 sièges de députés à l'Assemblée nationale
et
Type d’élection Élections législatives
Candidats 9
Corps électoral et résultats
Population 239 784
Inscrits 184 997
Votants 135 276
73,12 % en augmentation 17
Votes exprimés 129 777
Votes blancs 3 051
Votes nuls 2 448
Rassemblement national
Voix 43 547
33,55 %
en augmentation 17,3
Députés en 2022 0
Nouveau Front populaire – Direction collective
Voix 41 783
32,20 %
en augmentation 8,8
Députés en 2022 0
Union de la droite et du centre
Les Républicains
Voix 41 272
31,80 %
en augmentation 9,9
Députés en 2022 2
Députés sortants par circonscription
Carte

Les élections législatives françaises de 2024 se dérouleront les et . Dans la Corrèze, deux députés sont à élire dans le cadre de deux circonscriptions.

Le scrutin intervient trois ans avant la fin normale du mandat de la législature sortante à la suite de la dissolution de l'Assemblée nationale par Emmanuel Macron[1], en réaction à la lourde défaite au niveau national de la coalition présidentielle Ensemble aux élections européennes, où elle est devancée de près de 17 points par le Rassemblement national[2].

Contexte[modifier | modifier le code]

À l'Assemblée[modifier | modifier le code]

En 2022, en lien avec l'impopularité d'Emmanuel Macron, la coalition présidentielle perd son député en Corrèze en la personne de Christophe Jerretie et aucun de ces candidats n'arrivent au second tour de l’élection législative en 2022 dans le département. Cette situation permet de faire élire deux députés de droite, qui est très implanté en Corrèze. Francis Dubois le maire de Lapleau est élu dans la première circonscription, anciens fiefs des anciens chefs de l'État, Jacques Chirac et François Hollande. Frédérique Meunier est quant à elle réélue pour un second mandat dans la seconde circonscription de la Corrèze

Francis Dubois intègre la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation avant de rejoindre la commission des Affaires économiques en décembre 2023. Il critique fortement la méthode du gouvernement au sujet de la réforme des retraites et vote la motion de censure déposée par le groupe LIOT, contrairement à la ligne officielle de son parti.

Frédérique Meunier réintègre la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation et devient l'une des secrétaires de cette commission. Elle fait partie des rares députés des Républicains à demander une loi sur la fin de vie et en mars 2024 Frédérique Meunier présente sa proposition de loi contre les déserts médicaux, elle entend donner une deuxième chance aux étudiants qui ont raté de peu le concours de deuxième année en médecine, contre un engagement de leur part à travailler 10 ans en milieu rural.

Élections européennes[modifier | modifier le code]

Lors des élections européennes de 2024, le Rassemblement national est en tête dans le département avec 32,58 % des voix pour la liste conduite par Jordan Bardella. Il est suivi par la liste du Parti socialiste, conduite par Raphaël Glucksmann avec 15,23 % puis la liste de la majorité présidentielle Ensemble, conduite par Valérie Hayer avec 12,25 % et enfin par la liste des Républicains de François-Xavier Bellamy avec 8,28 %. La liste de La France insoumise, conduite par Manon Aubry, arrive en cinquième position avec 5,99 % des suffrages.

Européennes de 2024 par circonscription[modifier | modifier le code]

Résultats des principales listes aux élections européennes par circonscription[3]
Circonscription RN PS - PP ENS LR LFI
1re 31,64 % 15,76 % 11,21 % 8,11 % 6,12 %
2e 33,54 % 14,67 % 13,32 % 8,47 % 5,85 %

Système électoral[modifier | modifier le code]

Les élections législatives ont lieu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours dans des circonscriptions uninominales[4].

Est élu au premier tour le candidat qui réunit la majorité absolue des suffrages exprimés et un nombre de voix au moins égal au quart des électeurs inscrits dans la circonscription, soit 25 %. Si aucun des candidats ne satisfait ces conditions, un second tour est organisé entre les candidats ayant réuni un nombre de voix au moins égal à un huitième des inscrits, soit 12,5 %. Les deux candidats arrivés en tête du 1er tour se maintiennent néanmoins par défaut si un seul ou aucun d'entre eux n'a atteint ce seuil. Au second tour, le candidat arrivé en tête est déclaré élu[5],[6].

Le seuil de qualification basé sur un pourcentage du total des inscrits et non des suffrages exprimés rend plus difficile l'accès au second tour lorsque l'abstention est élevée. Le système permet en revanche l'accès au second tour de plus de deux candidats si plusieurs d'entre eux franchissent le seuil de 12,5 % des inscrits. Les candidats en lice au second tour peuvent ainsi être trois, un cas de figure appelé « triangulaire ». Les second tours où s'affrontent quatre candidats, appelés « quadrangulaire » sont également possibles, mais beaucoup plus rares[4],[7].

Partis et nuances[modifier | modifier le code]

Les résultats des élections sont publiés en France par le ministère de l'Intérieur, qui classe les partis en leur attribuant des nuances politiques. Ces dernières sont décidées par les préfets, qui les attribuent indifféremment de l'étiquette politique déclarée par les candidats, qui peut être celle d'un parti ou une candidature sans étiquette[8].

Seuls le Parti communiste français (COM), La France insoumise (FI), le Parti socialiste (SOC), le Parti radical de gauche (RDG), Les Écologistes (VEC), Renaissance (RE), le Mouvement démocrate (MDM), Horizons (HOR), l'Union des démocrates et indépendants (UDI), Les Républicains (LR), le Rassemblement national (RN) et Reconquête (REC) se voient attribuer en 2024 des nuances propres. Les coalitions Ensemble et Nouveau front populaire, ainsi que les candidats de l'alliance LR-Ciotti-RN, en bénéficient également indirectement, les nuances Ensemble ! (Majorité présidentielle) (ENS), Union de la gauche (UG) et Union de l'extrême-droite (UXD) étant attribuables aux candidats bénéficiant respectivement du soutien de deux partis du centre, de deux partis de gauche ou de deux partis d'extrême-droite[9],[10].

Tous les autres partis se voient attribuer l'une ou l'autre des nuances suivantes : EXG (extrême gauche), DVG (divers gauche), ECO (écologiste), REG (régionaliste), DVC (divers centre), DVD (divers droite), DSV (droite souverainiste) et EXD (extrême droite). Des partis comme Debout la France ou Lutte ouvrière ne disposent ainsi pas de nuances propres, et leurs résultats nationaux ne sont pas publiés séparément par le ministère, car mélangés avec d'autres partis (respectivement dans les nuances DSV et EXG)[11].

Dates[modifier | modifier le code]

Selon les dispositions de la Constitution, les élections en cas de dissolution doivent se tenir dans les vingt à quarante jours après la signature du décret de dissolution et l'expiration des pouvoirs de l'Assemblée nationale. L'Assemblée doit ensuite se réunir le deuxième jeudi qui suit son élection. Les élections législatives sont fixées par le gouvernement aux et [12],[13],[14],[15].

Le décret de convocation des électeurs du président de la République — qui suit le décret de dissolution également pris par celui-ci — ayant fixé les élections trois semaines après sa signature, le délai de dépôt des candidatures pour le premier tour prévu par le code électoral, fixé au quatrième vendredi précédant le jour du scrutin[16], n'est pas applicable à ces élections législatives. Conformément à la jurisprudence du Conseil constitutionnel, la date limite de dépôt de candidature pour le premier tour est donc édictée par ce décret[17], qui la fixe au dimanche 16 juin à 18 heures[14].

Les déclarations de candidature doivent être déposées à la préfecture à Tulle. Le dépôt doit avoir lieu entre le et le à 18 heures pour le premier tour[18],[19]. À la clôture du dépôt, un tirage au sort a lieu pour chaque circonscription afin de déterminer l'ordre de présentation des candidats. Le préfet publie ensuite un arrêté donnant la liste des candidats pour le premier tour.

Pour le second tour, les déclarations de candidature doivent être déposées du au à 18 heures[14],[19]. L'ordre de présentation des candidats est déterminé par les résultats du premier tour.

Campagne et positionnement des partis[modifier | modifier le code]

Majorité présidentielle : Ensemble[modifier | modifier le code]

Peu après la dissolution, la majorité présidentielle en Corrèze annonce, par la voix d'Isabelle Celle (présidente de Renaissance dans le département), qu'elle investira certainement aucun candidat. Le parti présidentiel considère que les deux députés LR sortants sont dans "l'arc républicain" invoqué par Emmanuel Macron[20].

Le 16 juin, la majorité présidentielle annonce officiellement qu'ils ne présenteront aucun candidat dans les deux circonscriptions corréziennes : « C’est une décision qui nous frustre, qui nous attriste, mais qui est courageuse. Nos militants et nos électeurs doivent également se sentir frustrés, mais j’espère qu’ils comprendront ce choix fait avec gravité et raison ». Les instances locales de la majorité présidentielle appellent à voter pour Frédérique Meunier dans la deuxième circonscription mais ne donnent pas de consigne de vote pour la première circonscription. Les raisons avancées : un député sortant, Francis Dubois qui a pris « des positions radicales et pas acceptables vis-à-vis de la majorité. Et une candidature de François Hollande qui ne fait pas l’unanimité. »[21] Cependant, le Premier ministre Gabriel Attal annonce le lendemain sur RTL qu'il soutiendra le député de droite sortant[22].

À droite[modifier | modifier le code]

Peu après l'annonce de la dissolution par Emmanuel Macron, les deux députés sortant LR, Frédérique Meunier et Francis Dubois, annoncent qu'ils repartent en campagne[23],[24]. Le 11 juin, Éric Ciotti annonce par surprise vouloir faire alliance avec le Rassemblement national, les deux députés corréziens critiquent la position du président de leur parti et menace de le quitter ou de rejoindre le groupe LIOT s'ils sont élus[25],[26].

Francis Dubois, critique très lourdement le choix d'Éric Ciotti : « je resterai fidèle à mes valeurs, même si cela doit me coûter mon poste de député, mais je préfère revenir à Lapleau plutôt que je bafoue mes valeurs. »[27] Il annonce dans la foulée qu'il quitte le parti Républicains et rejoint le micro-parti de Xavier Bertrand, Nous France et celui d'Aurélien Pradié, Du courage[28].

À l'extrême droite[modifier | modifier le code]

Le 11 juin, le Rassemblement national a donné l'investiture, dans la deuxième circonscription de la Corrèze, à son délégué départemental et conseiller régional Valéry Élophe[24]. Dans la première circonscription, il s'agira de Maïtey Pouget, déjà candidate en 2022[29].

Dès le , des discussions entre Rassemblement national et Reconquête s'amorcent dans le cadre d'une « union des droites » mais le RN refuse le un accord avec le parti d'Éric Zemmour. À la suite de ce rejet, des dissensions internes éclatent avec l'exclusion de quatre eurodéputés du parti dont Marion Maréchal ayant appelé à soutenir les candidats de cette coalition des droites[30]. Le , Éric Zemmour annonce finalement l'investiture de candidat dans 330 circonscriptions.

En Corrèze, le parti a décidé de ne pas présenter de candidat dans la 2e circonscription face au RN Valéry Élophe.

Gilles Oguinena, déjà candidat en 2022, est investit par Reconquête dans la 1re circonscription.

Union de la gauche : Nouveau Front populaire[modifier | modifier le code]

Au lendemain des élections européennes, des discussions entre les forces de gauche ont lieu pour former une coalition avec une candidature unique dans chaque circonscription[31]. Elles aboutissent à la création d'une coalition appelée « Nouveau Front populaire (NFP) » dans la soirée[31].

Le , La France insoumise, le Parti socialiste, Les Écologistes et le Parti communiste français trouvent un accord pour une répartition des différents circonscriptions entre eux et leurs alliés - en prenant en compte à la fois les députés sortants ainsi que les résultats des européennes[32]. Le au soir, les partis du « Nouveau Front populaire » officialisent leur accord sur la campagne, le programme et la répartition des circonscription[33],[34]. Selon l'accord national du Nouveau Front populaire, dans la Corrèze, la 1re circonscription est réservé à un candidat du Parti socialiste. Les Écologistes obtient la 2e circonscription[34],[35].

Dans la première circonscription, alors que Bernard Combes, maire de Tulle, ou Philippe Brugère, maire de Meymac, étaient pressentis[36], c'est finalement l'ancien président de la République François Hollande qui est le candidat de cette union[37]. Si, dans un premier temps, il ne reçoit pas l’investiture du NFP au niveau national (n'ayant été proposé que par la fédération locale du PS), celle-ci est validée officiellement plus tard dans la journée. Hollande déclare au sujet de sa candidature « C’est une décision inédite pour un ancien président de la République. Je l’ai prise parce que j’ai estimé que la situation était grave. Jamais l’extrême droite n’a été aussi proche du pouvoir depuis la Libération. Comment rester indifférent ? »[38].

Pour la deuxième circonscription, il s'agit de l'écologiste et conseillère régionale Amandine Dewaele[39].

Candidats et suppléants[modifier | modifier le code]

Résultats[modifier | modifier le code]

Élus[modifier | modifier le code]

Circonscription Député sortant Parti Groupe Député élu ou réélu Parti Groupe
1re Francis Dubois LR LR
2e Frédérique Meunier LR LR

Taux de participation[modifier | modifier le code]

Taux de participation à l'élection législative française
(pour le département de la Corrèze)
Taux
de participation
1er tour 2d tour Différence entre
les deux tours
En 2022 En 2024 Différence En 2022 En 2024 Différence
À midi 24,62 %[43] 32,23 %[44] en augmentation 7,61 28,50 %[45]
À 17 heures 46,91 %[46] 65,09 %[47] en augmentation 18,18 45,87 %[48]
Final 56,09 % 73,12 % en augmentation 17,03 54,58 %

Résultats à l'échelle du département[modifier | modifier le code]

Résultats par coalition[modifier | modifier le code]

Parti Premier tour Second tour Total
Sièges
+/-
Voix % Sièges Voix % Sièges
Rassemblement national (RN) 43 547 33,56 0
Parti socialiste (PS) 24 720 19,05 0
Les Écologistes (LÉ) 17 063 13,15 0 0 en stagnation
Total Nouveau Front populaire (NFP) 41 783 32,20 0
Les Républicains (LR) 22 456 17,30 0
Nous France (NF) - Du courage (DC) 18 816 14,50 0
Total Les Républicains (LR) 41 272 31,80 0
Lutte ouvrière (LO) 2 612 2,01 0 0 en stagnation
Reconquête (REC) 563 0,43 0 0 en stagnation
Suffrages exprimés 129 777 95,93
Votes blancs 3 051 2,26
Votes nuls 2 448 1,81
Total 135 276 100 0 100 2 2 en stagnation
Abstention 49 721 26,88
Inscrits/Participation 184 997 73,12

Résultats par nuance[modifier | modifier le code]

Parti Premier tour Second tour Total
Sièges
+/-
Voix % Sièges Voix % Sièges
Rassemblement national RN 43 547 33,55 0
Union de la gauche UG 41 783 32,20 0
Les Républicains LR 41 272 31,80 0
Extrême gauche[a] EXG 2 612 2,01 0 0 en stagnation
Reconquête REC 563 0,43 0 0 en stagnation
Suffrages exprimés 129 777 95,93
Votes blancs 3 051 2,26
Votes nuls 2 448 1,81
Total 135 276 100 0 100 2 2 en stagnation
Abstention 49 721 26,88
Inscrits/Participation 184 997 73,12

Résultats par circonscription[modifier | modifier le code]

Première circonscription[modifier | modifier le code]

Député sortant : Francis Dubois (Nous France et Du courage, après avoir quitté Les Républicains le 12 juin[49],[50],[51],[52]).

Résultats dans la 1re circonscription[53]
Candidat Parti et
coalition
Nuance Premier tour Second tour
Voix % Voix %
François Hollande PS (NFP) UG 24 720 37,63
Maïtey Pouget RN RN 20 297 30,89
Francis Dubois NF - DC (UDC)[b] LR 18 816 28,64
Marie-Thérèse Coinaud LO EXG 1 303 1,98
Gilles Oguinena REC REC 563 0,86
Votes valides 65 699 95,90
Votes blancs 1 563 2,28
Votes nuls 1 243 1,81
Total 68 505 100 100
Abstention 23 227 25,32
Inscrits / participation 91 732 74,68

Deuxième circonscription[modifier | modifier le code]

Député sortant : Frédérique Meunier (Les Républicains).

Résultats dans la 2e circonscription[54]
Candidat Parti et
coalition
Nuance Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Valéry Élophe RN RN 23 250 36,28
Frédérique Meunier LR (UDC)[c] LR 22 456 35,04
Amandine Dewaele (NFP) UG 17 063 26,63 Retrait[56]
Sylvie Sicard LO EXG 1 309 2,04
Votes valides 64 078 95,97
Votes blancs 1 488 2,23
Votes nuls 1 205 1,80
Total 66 771 100 100
Abstention 26 494 28,41
Inscrits / participation 93 265 71,59

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Nouveau Parti anticapitaliste, Lutte ouvrière, le Parti ouvrier indépendant, autres partis ou candidats d'extrême gauche sans affiliation partisane
  2. Soutenu par Ensemble
  3. Soutenu par Ensemble[55]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Décret du 9 juin 2024 portant dissolution de l'Assemblée nationale, publié au JORF no 134 du .
  2. « DIRECT. Résultats élections européennes 2024 : Emmanuel Macron annonce la dissolution de l'Assemblée nationale », sur BFMTV (consulté le )
  3. « En cartes : les résultats des européennes projetés dans les 577 circonscriptions législatives en France », sur lemonde.fr, .
  4. a et b « Législatives 2024 : l'essentiel en questions-réponses », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  5. Articles L126 et L162 du code électoral
  6. « Législatives 2024 : dates, mode de scrutin, enjeux… tout savoir sur l'élection des députés », La Provence,‎ (lire en ligne Accès libre)
  7. Camille Kress, « Triangulaire, quadrangulaire : Pourquoi certaines circonscriptions auront à choisir entre plus de deux candidats dimanche ? », sur Les Surligneurs, (consulté le )
  8. « Législatives 2024 : 4011 candidats au premier tour », sur vie-publique.fr (consulté le ).
  9. « Rappel nuances - Elections Législatives 2024 - Publication des résultats des élections en France », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  10. Circulaire IOMA2415691J
  11. « Législatives 2022 : DVD, DSV, REG... que signifient les nuances politiques attribuées aux candidats ? », sur www.rtl.fr (consulté le ).
  12. « Dissolution de l'Assemblée nationale (article 12 de la Constitution) », sur Assemblée nationale (consulté le )
  13. Cécile Vassas, « Dissolution de l'Assemblée : les députés virés, les réformes arrêtées », L'Internaute,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  14. a b et c Décret no 2024-527 du 9 juin 2024 portant convocation des électeurs pour l'élection des députés à l'Assemblée nationale, publié au JORF no 134 du .
  15. « Vote, procuration, candidats… Le guide de la campagne des législatives anticipées », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  16. « Article L157 du code électoral », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  17. « Dissolution de l'Assemblée nationale : premier tour des législatives le 30 juin », sur Vie publique, (consulté le )
  18. « Candidatures aux élections législatives 2024 », sur aisne.gouv.fr] (consulté le ).
  19. a et b Préfecture de l'Aisne, « Arrêté DCL-BRGE-2024/347 fixant les dates et lieu de dépôt des déclarations de candidature pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet 2024 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ).
  20. « ICI 19/20 - Pays de Corrèze les replays et vidéos en streaming Nouvelle-Aquitaine », sur france3-regions.francetvinfo.fr (consulté le )
  21. Centre France, « Législatives - Pas de candidats de la majorité présidentielle en Corrèze », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  22. « Législatives : le camp présidentiel soutiendra un candidat de droite face à François Hollande, affirme Gabriel Attal », sur Le Figaro, (consulté le )
  23. Centre France, « Politique - Députée LR de la Corrèze, Frédérique Meunier prête à repartir après l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  24. a b et c Centre France, « Politique - "Je serai un député qui s'intéresse aux Corréziens" : le Rassemblement national dévoile son candidat à Brive pour les législatives », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  25. Centre France, « Politique - Appel d'Eric Ciotti : que prévoient de faire les deux députés LR de la Corrèze ? », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  26. « Alliance RN/LR : "Le baiser de la mort" dénoncent les héritiers de la Chiraquie en Corrèze - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  27. « Eric Ciotti exclu de LR : le député sortant de Corrèze Francis Dubois s'en félicite et espère qu'il démissionnera - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  28. Centre France, « Législatives - Face à François Hollande et au RN, Francis Dubois (DVD) veut porter "la droite républicaine et indépendante" en Corrèze », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  29. a et b Centre France, « Législatives - En Corrèze, la candidate RN se représente avec des "ambitions certaines" sur Tulle-Ussel », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  30. Julien Bouille, « Législatives 2024 : démissions et main tendue chez Reconquête! dans la Marne, les Ardennes et l'Aisne » Accès libre, sur lunion.fr, (consulté le ).
  31. a et b « Législatives 2024 : les partis de gauche d’accord pour des « candidatures uniques » dans chaque circonscription » Accès libre, sur lunion.fr, (consulté le ).
  32. Julie Carriat et Sandrine Cassini, « Législatives 2024 : les partis de gauche actent une première répartition des circonscriptions dans le cadre du « front populaire » » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  33. Ariel Guez, « Elections législatives : le "nouveau Front populaire" annonce avoir "scellé" un "programme de gouvernement" » Accès libre, sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  34. a et b Pierre Breteau, « Elections législatives 2024 : la carte des investitures Nouveau Front populaire (et ce qui a changé depuis la Nupes de 2022) » Accès libre, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  35. « LÉGISLATIVES 2024. Les candidats et les enjeux dans les deux circonscriptions de Corrèze », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
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  37. a et b Centre France, « Législatives 2024 - L'ancien président de la République François Hollande candidat dans la première circonscription de Corrèze », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  38. Lisa Douard, « « Ici, c’est la hollandie » : François Hollande candidat PS à Tulle, la surprise de l’ex-chef », sur Libération (consulté le )
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  41. Centre France, « Législatives - Candidate de la droite et du centre, la députée sortante de Brive veut élargir son couloir au centre gauche », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
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  45. Préfecture de la Corrèze, « Taux de participation à 12 heures du second tour des élections législatives de 2022 », sur https://twitter.com, (consulté le ).
  46. Préfecture de la Corrèze, « Taux de participation à 17 heures du premier tour des élections législatives de 2022 », sur https://twitter.com, (consulté le ).
  47. Préfecture de la Corrèze, « Taux de participation à 17 heures du premier tour des élections législatives de 2024 », sur https://x.com, (consulté le ).
  48. Préfecture de la Corrèze, « Taux de participation à 17 heures du second tour des élections législatives de 2022 », sur https://twitter.com, (consulté le ).
  49. « Eric Ciotti exclu de LR : le député sortant de Corrèze Francis Dubois s'en félicite et espère qu'il démissionnera - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  50. « Législatives : le camp présidentiel soutiendra un candidat de droite face à François Hollande, affirme Gabriel Attal », sur Le Figaro, (consulté le )
  51. Centre France, « Législatives - Corrèze : le candidat LR Francis Dubois harcelé sur les réseaux sociaux pour se désister », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  52. Centre France, « Législatives - Face à François Hollande et au RN, Francis Dubois (DVD) veut porter "la droite républicaine et indépendante" en Corrèze », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  53. « 1re circonscription (1901) - Elections Législatives 2024 - Publication des résultats des élections en France », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  54. « 2e circonscription (1902) - Elections Législatives 2024 - Publication des résultats des élections en France », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  55. « Eric Ciotti exclu de LR : le député sortant de Corrèze Francis Dubois s'en félicite et espère qu'il démissionnera - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le )
  56. Centre France, « Législatives - "On a cinq jours pour gagner" : ambiance au QG du Rassemblement national à Brive », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]