Épécamps
Épécamps | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CC du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Dimitry Cahon 2023-2026 |
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Code postal | 80370 | ||||
Code commune | 80270 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
6 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 3,8 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 06′ 48″ nord, 2° 09′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 75 m Max. 146 m |
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Superficie | 1,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Doullens | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Épécamps est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Avec ses six habitants et ses quatre maisons, le village est considéré comme la plus petite commune des Hauts-de-France et l'une des quinze plus petites de France[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Épécamps est un village picard du Ponthieu situé à 2,3 km au sud de Bernaville[2], à 4,7 km au nord-est de Domart-en-Ponthieu[3], à 14,2 km au sud-ouest de Doullens[4], à 22,8 km à l'est d'Abbeville[5], à 26,3 km au nord-ouest d'Amiens[6] et à 48,6 km au sud-ouest d'Arras[7] à vol d'oiseau.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le sol est pratiquement plat, le village étant situé sur un plateau élevé. Les terres communales sont argileuses, peu filtrantes. Une épaisse couche de marne se trouve sous la terre végétale. La surface du territoire communal est de 1,6 km2.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Épécamps[Carte 1].
(texte à fusionner) En 1899, aucun cours d'eau ni aucun marais n'étant sur la localité, l'unique puits communal procure une eau venant du dessous de la couche marneuse. L'eau destinée aux animaux provient alors d'une mare centrale[8]. |
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 2 km à vol d'oiseau[12], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,3 | 4,9 | 8,1 | 10,8 | 12,7 | 13 | 10,6 | 7,9 | 4,5 | 1,9 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 3,7 | 4,1 | 6,8 | 9,4 | 12,6 | 15,4 | 17,6 | 17,8 | 14,9 | 11,2 | 7,1 | 4,2 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 6 | 6,9 | 10,3 | 13,9 | 17,1 | 20 | 22,4 | 22,6 | 19,3 | 14,6 | 9,7 | 6,4 | 14,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 16.01.13 |
−13,5 07.02.1991 |
−11,3 04.03.05 |
−4,1 02.04.1996 |
−0,7 07.05.1997 |
1,4 05.06.1991 |
5,2 04.07.1990 |
5 08.08.1990 |
2 24.09.03 |
−4,5 24.10.03 |
−8 23.11.1998 |
−13 18.12.10 |
−13,5 1991 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 09.01.15 |
17,6 26.02.19 |
22,6 31.03.21 |
24,9 28.04.07 |
28,7 13.05.1998 |
33,9 27.06.11 |
40,8 25.07.19 |
37,2 10.08.03 |
32,1 09.09.23 |
28,9 01.10.11 |
19,5 07.11.15 |
15,7 07.12.00 |
40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 72,9 | 63,6 | 66,6 | 53,8 | 64,5 | 61,2 | 72,9 | 79 | 66 | 82,5 | 91,8 | 102,5 | 877,3 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Épécamps est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54 %), forêts (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]Le nombre de logements est identique en 2009, 2014 et 2019, soit 4 habitations[I 2].
Parmi ces logements, 75 % étaient des résidences principales, et 25 % des logements vacants. Ces logements étaient en totalité des maisons individuelles[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Épécamps en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi l'absence de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,7 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Épécamps[I 2] | Somme[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 75 | 83,2 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 0 | 8,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 25 | 8,5 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par la route départementale 118.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Spissus campus en 1137[8] ; Espeschamp en 1160 ; Vespere campi en 1164 ; Especamp en 1201 ; Pissus campus en 1301 ; Especamp en 1567 ; Pécamp en 1646 ; Espécamp en 1673 ; Epécamp en 1675 ; Pécamps en 1720 ; Epé-Camps en 1750 ; Epécamps en 1757[20] ; Epecamps en 1793 et Epécamps puis Épécamps depuis 1801[21].
La formation Spissus campus signifie « champ épais, dense »[réf. nécessaire] en latin. Ernest Nègre, quant à lui, voit dans le nom d'Épécamps l'anthroponyme germanique Eppo suivi du bas latin campos « champs », le tout donnant les « champs d'Eppo »[22].
Épécamp en picard.
Histoire
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Dès 1137 est attestée la présence d'un prieuré des chanoines de saint Augustin, fondé en 718[8],[23]. En 1178, ruiné par les guerres, le prieuré et ses dépendances sont donnés à l'abbaye Saint-Martin-aux-Jumeaux par l'évêque d'Amiens, Thibault d'Heilly[24].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]En 1597, le prieuré ainsi qu'une partie du village sont dévastés par les Espagnols lors du siège d'Amiens[23].
La cure est séparée du prieuré en 1645 à la demande des habitants[25]. En 1698, le village compte 40 habitants et, en 1724, 8 feux[25]. La seigneurie appartient au prieur du lieu[25].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relève du doyenné de Saint-Riquier, archidiocèse du Ponthieu, diocèse d'Amiens, et, dans l'ordre civil, de la prévôté de Beauquesne, bailliage d'Amiens, de l'élection de Doullens, de l'intendance de Picardie et du grenier à sel de Doullens[25].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Le prieuré est vendu en 1791 lors de la Révolution française comme bien national. Les derniers vestiges de la chapelle et de tourelles ont disparu en 1895[8].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bernaville[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Doullens
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Épécamps était membre de la communauté de communes du Bernavillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]La commune a reçu la Marianne du civisme en 2017, la totalité des 10 électeurs inscrits ayant voté lors des quatre scrutins de 2017. En 2019, aux élections européennes, les votants, désormais au nombre de 7 sur 12 inscrits, ont accordé tous leurs suffrages à la liste menée par Jordan Bardella[30].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 6 habitants[Note 3], en évolution de +20 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
C'est la plus petite commune de Picardie[34]. Afin d'éviter sa disparition par son intégration dans une autre commune, la municipalité demande à pouvoir rendre constructible des terrains afin d'accueillir de nouveaux habitants[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame-de-la-Nativité, avec son cimetière, près d'une ferme. Cette chapelle existait au XIIe siècle avec son prieuré. Tout en brique, elle sert de grange depuis sa désaffectation[36].
-
L'église.
-
Côté Nord de l'église.
-
Le chevet de l'église.
-
Calvaire en sortie de village.
-
Cimetière.
-
Château d'eau.
-
La mare.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune d'Épécamps (80270) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
- « Épécamps » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Épécamps » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Épécamps » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Épécamps - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Épécamps - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Olivier Bacquet, « 3e maire en 3 ans, à Epécamps, petit village de... 7 habitants : Epécamps est le plus petit village des Hauts-de-France. Il a un nouveau maire, le troisième depuis 2020. Et pour la première fois depuis 1954, ce n'est pas un Deramecourt », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
- « Orthodromie entre Épécamps et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Épécamps et Domart-en-Ponthieu », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Épécamps et Doullens », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Épécamps et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Épécamps et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Épécamps et Arras », sur fr.distance.to (consulté le )
- Mlle Petit, Notice historique et géographique sur la commune d'Épécamps, Paris, G. Delarue, , 4 p. (lire en ligne).
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Épécamps et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, t. 1, Amiens, impr. Lemer aîné, , 528 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 327.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 962.
- Hyacinthe Dusevel, Lettres sur le département de la Somme, Amiens, imp. R. Machart, , 203 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 63-64.
- François-Irénée Darsy, Bénéfices de l'église d'Amiens, ou État général des biens, revenus et charges du clergé du diocèse d'Amiens en 1730 : avec des notes indiquant l'origine des biens la réparation des dimes, etc, t. 2, Amiens, E. Caillaux, (lire en ligne sur Gallica), p. 262.
- Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, , 719 p. (lire en ligne sur Gallica), p. 10.
- Olivier Bacquet, « Près de Bernaville. Mort du maire : retour aux urnes dans le plus petit village de Picardie : Avec cinq habitants, Epécamps est le plus petit village de Picardie. Après la mort de Jean Deramecourt, son maire depuis quatre décennies, les électeurs sont appelés aux urnes », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Maire du village depuis près de quarante ans, Jean Deramecourt est décédé mi-mars, tout juste un après avoir été réélu pour un septième mandat municipal. Il avait 89 ans (...) Jean Deramecourt racontait qu'il avait connu le village avec 33 habitants. Épécamps a même dépassé les 70 habitants au milieu du 19e siècle, avant de devenir un symbole de l'exode rural ».
- Olivier Bacquet, « 5 habitants, 7 élus… A 89, le maire rempile dans le plus petit village de Picardie : Sans candidats, le plus petit village de Picardie menaçait de disparaître. Ce n'est pas ce que voulait Jean Deramecourt. À 89 ans, l'homme brigue un 7e mandat de maire d'Epecamps », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « Son maire, Jean Deramecourt, a 89 ans. Il est candidat pour un 7e mandat, à la tête d'une liste qui compte 7 noms ».
- « Mairie d'Epecamps : Emilie Deramecourt succède à son grand-père dans le plus petit village de Picardie : Le plus petit village de Picardie a un nouveau maire. Trois mois après le décès de Jean Deramecourt, c'est sa petite-fille qui est élue à Epecamps, 5 habitants », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
- Emilie Da Cruz, « Épécamps, le plus petit village de Picardie, a son nouveau maire : L'écharpe de maire ne quittera pas la famille Deramécourt. C'est Émilie Deramecourt la petite-fille de Jean Deramécourt, décédé en mars, qui a été élue vendredi 4 juin », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Elle perpétue ainsi une sorte de tradition familiale, puisque le père de son grand-père, Léon Deramecourt, était déjà lui-même maire de la commune ».
- Olivier Bacquet, « 100% Rassemblement national à Épécamps, commune la plus civique de France en 2017 : Après avoir obtenu la Marianne du Civisme en 2017, le petit village d'Épécamps s'illustre encore, avec un vote sans appel dimanche dernier : 100% pour la liste de Jordan Bardella », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 29 novembre 2017, p. 2.
- « Épécamps : les villageois craignent la disparition de leur commune : La plus petite commune de Picardie ne compte que 7 habitants. Craignant de disparaître avec la nouvelle organisation territoriale qui prévoit d'ici 2020 la fusion des petites communes, ses habitants espèrent obtenir l'autorisation de construire pour doubler la population et se faire entendre. », France 3 Hauts-de-France, 12/08/2017 mis à jour le 12/06/2020 (lire en ligne, consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 128 (ASIN B000WR15W8).