Équennes-Éramecourt
Équennes-Éramecourt | |||||
Sainte-Marie-Madeleine d'Équennes. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CC Somme Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
Sabine Chelle-Poiret 2020-2026 |
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Code postal | 80290 | ||||
Code commune | 80276 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Équenois | ||||
Population municipale |
284 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 44′ 03″ nord, 1° 57′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 107 m Max. 187 m |
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Superficie | 9,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Poix-de-Picardie | ||||
Législatives | 4e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Équennes-Éramecourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Elle a été formée en 1972 par la fusion des communes d'Équennes et d'Éramecourt.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Équennes-Éramecourt est une commune picarde rurale constituée de plusieurs hameaux : le chef-lieu, Équennes, sur le plateau, et Éramecourt ainsi que le Moulin de Taussacq, dans la vallée des Évoissons, séparés par une grande dénivellation de 70 m.
Elle est située dans la Somme, limitrophe du département de l'Oise, sur le tracé primitif de l'ex-route nationale 1 (actuelle RD 1001), à 30 km au sud-ouest d'Amiens, à 35 km au nord de Beauvais et à 70 km au nord-est de Rouen.
Elle compte un important larri (pelouse calcicole) au lieu-dit « les Combles »[1]
Localisation
[modifier | modifier le code]Saulchoy-sous-Poix Thieulloy-la-Ville |
Lachapelle | Poix-de-Picardie | ||
Méréaucourt | N | Poix-de-Picardie | ||
O Équennes-Éramecourt E | ||||
S | ||||
Daméraucourt Oise |
Dargies Oise |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Evoissons et le Moulin de Taussacq[2],[Carte 1].
L'Évoissons, d'une longueur de 25 km, prend sa source dans la commune de Hescamps et se jette dans la Selle à Conty, après avoir traversé douze communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[4].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Équennes-Éramecourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,7 %), forêts (26,3 %), prairies (15,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones urbanisées (3,1 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]La commune comprend les hameaux d'Éramecourt (qui fut une commune jusqu'en 1972) et le Moulin de Taussacq.
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L'ancienne mairie et l'église Saint-Firmin d'Éramecourt
-
L'église Saint-Firmin d'Éramecourt
-
Le tilleul creux d'Éramecourt, probable tilleul de Sully
-
Monument aux morts
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune est composé des noms accolés des deux anciennes communes d'Équennes et d'Éramecourt, fusionnées en 1972[16] dans le cadre des dispositions de la loi sur les fusions et regroupements de communes de 1971.
Équennes est attesté sous les formes Les Quesnes en 1148 ; Les Kaisnes en 1301 ; Eskesnes en 1337 ; Esquennes en 1381 ; Esquene en 1657 ; Esquenne en 1695 ; Equenne en 1736 ; Esquesnes en 1757 ; Esquesne en 1781 ; Equennes en 1801 ; Equesnes[17].
Le nom primitif viendrait des Quennes (chênes), de l'oïl, de préposition ès (« en les ») et du pluriel de picard kaisnes « aux chênes »[18].
Éramecourt est attesté sous les formes Erembercurt en 1118 ; Erembocurt en 115. ; Erembecourt en 1301 ; Excembecourt — Erebencourt en 1648 ; Esraucourt en 1657 ; Eraucourt en 1710 ; Eramecourt en 1733 ; Esramecourt en 1753 ; Erempcourt en 1757 ; Erampcourt entre 1826 et 1850[19].
Eramecourt exprimerait l'idée d'un bois, d'un ram essarté avec curtis[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]En 1881, au lieu-dit Les Combles d'Éramecourt, Louis Delambre effectua des fouilles archéologiques et identifia trois tumuli datés de l'âge du bronze ancien (1800-1500 av. J.C.), preuve de l'occupation humaine du site à cette époque. Un quatrième tumulus a été identifié en 1976[21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune, constituée en 1972 par la fusion d'Équennes et Éramecourt[16], se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Poix-de-Picardie[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune reste intégrée, est modifié et agrandi.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[22],[23]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [24], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[25].
La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [26].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 284 habitants[Note 4], en évolution de −5,96 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les communes d'Équennes, Guizancourt et Thieulloy-l'Abbaye ont organisé l'enseignement primaire local en regroupement pédagogique intercommunal[34].
Lahaye-Saint-Romain et Méréaucourt sont aussi concernés par le regroupement.
Équipements
[modifier | modifier le code]La commune se dote en 2018 d'une nouvelle mairie. La structure en bois du bâtiment antérieur était trop fragile pour pouvoir être rénovée. Le nouvel équipement comprend la mairie et une salle multifonction, au rez-de-chaussée, ainsi que deux logements aux étages. L'équipement est chauffé par géothermie[35].
Un terrain de longue paume est utilisé pour les manifestations du club d'Équennes-Poix (fusion des clubs d'Equennes-Eramecourt et Poix-de-Picardie).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Moulin de Taussacq (le site avait déjà un moulin au XIIe siècle).
- Église Sainte-Marie-Madeleine d'Équennes, reconstruite en brique et encadrement de fenêtres en pierre, en 1895-1896 par l'architecte Alphonse-Augustin Richardière. Dotée d'un porche néo-flamboyant, elle détient un décor exceptionnel : peintures des voûtes, décor sculpté de la façade (du sculpteur amiénois Daragon), vitraux du maître verrier Léon Avenet[36].
- Église Saint-Firmin d'Éramecourt, du XVIe siècle
- Tilleul ancien, place d'Éramecourt, sans doute un tilleul de Sully, circonférence : 5,75 m, hauteur : 18 m, arbre déjà creux en 1918.
- Chapelle Saint-Léon d'Équennes. Sa dernière reconstruction date de 1892[37].
- Camping le long des Évoissons à Taussaq, sur la route d'Éramecourt.
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L'église Sainte-Marie-Madeleine d'Équennes.
-
Stèle aux fusillés du Moulin de Taussacq.
-
Chapelle Saint-Léon d'Équennes.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- René Gicquel, 25 ans et Claude Damois, 17 ans, résistants d'Aumale, membres des Francs-Tireurs et Partisans (FTP) arrêtés le 29 août 1944 par l'occupant nazi et fusillés peu après au moulin de Taussacq, deux jours avant la libération du secteur. Une stèle y honore leur mémoire[38].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent à la feuille de chêne de sinople versée en bande[40]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | De gueules aux trois lionceaux d'argent[39]. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Abbé Delgove, Poix et ses seigneurs.
- Père Daire, Histoire ecclésiastique du doyenné de Poix.
- Georges Beaurain, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, canton de Poix.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune d'Équennes-Éramecourt 80276 », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Équennes-Éramecourt »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune.
- « Équennes-Éramecourt » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La place de la mairie porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Équennes-Éramecourt » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Un chantier pour nettoyer le larris à Équennes-Éramecourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Sandre, « le Moulin de Taussacq »
- Sandre, « l'Evoissons »
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Équennes-Éramecourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 332 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 267
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 333 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
- Ledieu, Étude sur l'étymologie de nombreuses localités : situées principalement dans l'ancienne Picardie, Amiens, , p. 13.
- Jean-Claude Blanchet, « Les tumulus des combles d'Éramecourt (Somme) dans leur contexte du Bronze Ancien et Moyen en France du Nord-Ouest », Cahiers archéologiques de Picardie, vol. 3, no 1, , p. 39-55 (DOI 10.3406/pica.1976.1228, lire en ligne, consulté le ).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d'ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Les maires de Équennes-Éramecourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Le réveil — Édition Bresle-Oise-Somme du 27 mars 2008
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les parents du RPI Thieulloy-l'Abbaye - Équennes - Guizancourt attendent un geste du rectorat : réunis devant l'école mardi, les parents espèrent que la fermeture envisagée d'une classe sera annulée », Le Courrier picard, ([https://www.courrier-picard.fr/art/169966/article/2019-03-06/les-parents-du-rpi-dequennes-guizancourt-thieulloy-labbaye-attendent-un-geste-du . lire en ligne], consulté le ).
- « Démolie et reconstruite : La commune voulait rénover l'ancienne mairie mais elle était en trop mauvais état », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3488, , p. 20.
- « L'église d'Équennes », notice no PA80000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 151-152 (ASIN B000WR15W8).
- « Le souvenir du martyre de deux résistants d'Aumale reste vivace : Un hommage a été rendu samedi aux deux jeunes Francs-Tireurs et Partisans (FTP), originaires d'Aumale, qui avaient été exécutés en août 1944 par l'occupant allemand en déroute. Leurs corps avaient été retrouvés à Taussacq », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « La banque du blason2 - Tous vos sujets en décoration ! », sur La banque du blason2 (consulté le ).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).