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Compagnie parisienne de chauffage urbain

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Compagnie parisienne de chauffage urbain
illustration de Compagnie parisienne de chauffage urbain
Cheminée du Front-de-Seine

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Société d'économie mixte
Siège social ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Direction Compagnie parisienne de chauffage urbain
Activité Industries de l'énergie et de l'eau (d)[1] et production et distribution de vapeur et d'air conditionné (d)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Société mère Engie
Ville de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
SIREN 542097324Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.cpcu.frVoir et modifier les données sur Wikidata

La Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU) est une société d'économie mixte, filiale du groupe Engie (détenue à 66 % par Engie et à 33 % par la Ville de Paris[3]), chargé du chauffage urbain, principalement au moyen d'un réseau à vapeur d'eau, à Paris [4] et dans plusieurs communes environnantes (Aubervilliers, Boulogne-Billancourt, Charenton-le-Pont, Choisy-le-Roi, Clichy, Gennevilliers, Gentilly, L'Île-Saint-Denis, Issy-les-Moulineaux, Ivry-sur-Seine, Le Kremlin-Bicêtre, Levallois-Perret, Saint-Denis, Saint-Ouen et Vitry-sur-Seine)[3].

La CPCU assure deux activités principales. D'une part, elle transporte et distribue de la vapeur, grâce à un réseau long de plus de 500 km ; d'autre part, elle produit de la vapeur, dans l'un de ses 9 sites de production, le reste de la vapeur nécessaire provenant des centrales d'incinération des déchets du Syctom.

Production de chaleur

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La chaleur distribuée est récupérée pour 45 % dans trois usines de traitement de déchets du Syctom à Ivry-sur-Seine, Issy-les-Moulineaux et Saint-Ouen. Le reste provient de huit chaufferies localisées à Saint-Ouen, au Kremlin-Bicêtre, à Ivry-sur-Seine, à Vitry-sur-Seine et à Paris (Bercy, Grenelle, Vaugirard, Paris Nord-Est). Les combustibles utilisés sont notamment le gaz, le biogaz, le charbon et les granulés de bois, les biocombustibles liquides[5].

Notes et références

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  1. Pressearchiv 20. Jahrhundert (organisation), [lire en ligne], consulté le .Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. Sirene (registre national des sociétés).Voir et modifier les données sur Wikidata
  3. a et b Odile Plichon, « L'accord qui prive les Parisiens d'une baisse du prix du gaz », leparisien.fr, (consulté le ).
  4. Jusqu'en septembre 1976, la Gare de l'Est avait un branchement dérivé vers les installations de quai à voyageurs afin d'alimenter, en vapeur, les rames circulant vers Bâle et Vienne.
  5. « Comment ça marche », sur cpcu.fr (consulté le )

Lien externe

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