Furie (roman)
Furie | |
Auteur | Salman Rushdie |
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Pays | Grande Bretagne |
Genre | Fiction |
Version originale | |
Langue | Anglais |
Titre | Fury |
Éditeur | Jonathan Cape |
Date de parution | 2001 |
ISBN | 0-224-06159-3 |
Version française | |
Éditeur | |
Date de parution | 2003 |
Nombre de pages | 259 |
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Fury, publié en 2001, est le septième roman de Salman Rushdie. Rushdie dépeint la ville de New York contemporaine comme l’épicentre de la mondialisation et de tous ses défauts tragiques[1],[2].
Résumé de l’intrigue
[modifier | modifier le code]Malik Solanka, un millionnaire formé à Cambridge et originaire de Bombay, cherche à s’évader de lui-même. Au début, il s’échappe de sa vie académique en s’immergeant dans le monde des miniatures (après être tombé amoureux des maisons miniatures exposées au Rijksmuseum d’Amsterdam), créant finalement une marionnette appelée « Little Brain » et quittant l’académie pour la télévision.
Cependant, l’insatisfaction face à la popularité croissante de « Little Brain » sert à enflammer des démons plus profonds dans la vie de Solanka, ce qui entraîne le meurtre évité de justesse de sa femme et de son enfant. Pour s’échapper, Solanka se rend à New York, dans l’espoir de se perdre et de perdre ses démons en Amérique, mais il est forcé de se confronter à lui-même.
Pour aller plus loin
[modifier | modifier le code]- Brouillette, Sarah. « La paternité comme crise dans « Furie » de Salman Rushdie », Sage Publications, (2005)
- Eder, Richard. « La bête en moi : critique de Fury par Salman Rushdie » New York Times, (2001). [1]
- Gonzalez, Madelena. « États-Unis de la banane (2011), Elizabeth Costello (2003) et Fury (2001) : portrait de l’écrivain comme le « mauvais sujet » de la mondialisation. » Études britanniques contemporaines. Revue de la Société dʼétudes anglaises contemporaines 46 (2014). [2]
- Zucker, David J. « Furie rencontre et salue le théâtre du sabbat : l’hommage de Salman Rushdie à Philip Roth. » Philip Roth Studies 9, n° 2 (2013) : 85-90.
- Zimring, Rishona. « Le cosmopolite passionné dans « Furie » de Salman Rushdie. » Revue d’écriture postcoloniale 46, n° 1 (2010) : 5-16.
Références
[modifier | modifier le code]- Madelena Gonzalez, « United States of Banana (2011), Elizabeth Costello (2003) and Fury (2001): Portrait of the Writer as the 'Bad Subject' of Globalisation », Études Britanniques Contemporaines, no 46, (DOI 10.4000/ebc.1279 , lire en ligne)
- Madelena Gonzalez, « United States of Banana (2011), Elizabeth Costello (2003) and Fury (2001): Portrait of the Writer as the 'Bad Subject' of Globalisation », d’Études Anglaises Contemporaines, vol. 46, no 46 2014, , p. 1–16 (lire en ligne, consulté le )