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Giffaumont-Champaubert

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Giffaumont-Champaubert
Giffaumont-Champaubert
La station nautique de Giffaumont.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Vitry-le-François
Intercommunalité Communauté de communes Perthois-Bocage et Der
Maire
Mandat
Jean-Pierre Calabrese
2020-2026
Code postal 51290
Code commune 51269
Démographie
Gentilé Giffaumontais, Giffaumontaises
Population
municipale
284 hab. (2021 en évolution de +6,37 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 20″ nord, 4° 45′ 13″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 160 m
Superficie 28,16 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Dizier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sermaize-les-Bains
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Giffaumont-Champaubert
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Giffaumont-Champaubert

Giffaumont-Champaubert est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Géographie

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Giffaumont-Champaubert se situe au sud-est du département de la Marne, près de la Haute-Marne, dans la région du Perthois, à 17 km de Saint-Dizier et 22 km de Vitry-le-François, les deux principales villes à proximité et à 180 km de Paris. Le village est entouré de collines, en bordure de la rivière Droye[1]. Il se trouve aujourd'hui en contrebas de la digue du lac du Der-Chantecoq. La commune en dehors du bourg ancien possède des bases de loisirs nautiques et des plages.

Le lac de Der-Chantecoq s'étend sur 4 800 hectares. Il est apprécié des pêcheurs mais aussi et surtout des ornithologues puisqu'il accueille une grande diversité d'espèces d'oiseaux notamment une qui fait la réputation de la région : la grue cendrée. Au cours de leur migration, entre 60 000 et 140 000 spécimens font escale au Lac du Der. La grue cendrée, plus grand oiseau sauvage visible en France, peut être observée de la mi-octobre à la mi-mars sur les digues du lac[2].

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Droye, le canal d'Amenée du Barrage Réservoir Marne, le canal de Restitution, le Fossé 09 de la commune d'Eclaron-Braucourt-Sainte-Livière, la Droye, le cours d'eau 01 des Basses Terres et le Fossé 02 des Basses Terres[3],[Carte 1].

La Droye, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Héronne à Rives Dervoises, après avoir traversé deux communes[4].

Le canal d'amenée du Barrage-réservoir Marne est un canal, chenal et un cours d'eau naturel non navigable de 19 km reliant Saint-Dizier à Giffaumont-Champaubert où il se jette dans le canal de restitution[5].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Giffaumont-Champaubert[Note 1].

Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le lac du Der-Chantecoq, d'une superficie totale de 4 166,5 ha (1 552,3 ha sur la commune) et l'étang Chevalier, d'une superficie totale de 205,6 ha (103,4 ha sur la commune)[Carte 1],[6].

Soir d'orage au-dessus de Giffaumont-Champaubert.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 822 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Dizier », sur la commune de Saint-Dizier à 17 km à vol d'oiseau[9], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 794,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −22,5 °C, atteinte le [Note 2],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Giffaumont-Champaubert est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dizier, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Der-Chantecoq, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (24,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (29 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : eaux continentales[Note 4] (58,1 %), prairies (16,1 %), forêts (10,3 %), terres arables (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones urbanisées (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), zones humides intérieures (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Giffaumont est attesté sous les formes Girfacmont (1179) ; Girfacmunt (1187) ; Girfaumont (1239) ; Gifaumont (1271) ; Giffaumont, Giffaudimons (1284) ; Giffaumons (1335) ; Giffodimons (1405) ; Giffaulmont (1515) ; Gifaulmont (1542) ; Giffaulmond (1543) ; Chiffaulmont (1561)[22].

Champaubert est attesté sous les formes Campus Auberti (1218) ; Champaubert (vers 1252) ; Champ-Aubert (vers 1300)[23].

En 1968, la commune de Giffaumont a absorbé celle de Chantecoq, puis trois ans plus tard, a fusionné avec celle de Champaubert-aux-Bois[24] pour devenir Giffaumont-Champaubert[25]. Chantecoq et Champaubert ont disparu, détruites puis englouties avec le village de Nuisement-aux-Bois, lors de la mise en eau du lac du Der-Chantecoq, inauguré le pour réguler les crues de la Marne et de la Seine[26].

Politique et administration

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Intercommunalité

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La commune, antérieurement membre de la communauté de communes du Bocage champenois, est membre, depuis le , de la communauté de communes Perthois-Bocage et Der.

En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du [27], trois petites communautés de communes préexistantes :
- la communauté de communes du Bocage Champenois ;
- la communauté de communes Marne et Orconte ;
- la communauté de communes du Perthois ;
ont fusionné pour créer la nouvelle communauté de communes Perthois-Bocage et Der, à laquelle se sont également jointes une commune détachée de la communauté de communes de Val de Bruxenelle (Favresse) et la commune isolée de Gigny-Bussy[28].

Liste des maires

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Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919
...
Armand Champenois    
1950 1965 Lidéa Eugène Lavefve    
Les données manquantes sont à compléter.
...
1989 Claude Nicolas    
1989 2008 Bernard Goujaud    
2008[32] 2014
-
Fanny Beaudoin    
2014[33] 2026 Jean-Pierre Calabrese    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Le monument aux morts de Giffaucourt.

La commune était peuplée de 518 habitants en 1773[1]. Tout au long du XIXe siècle, sa population oscilla entre les 550 et 600, mais à partir des années 1880, elle commença à décroître. Le nombre de Giffaumontais diminua de 100 en trente ans et encore de 100 les vingt années suivantes.

Malgré la fusion avec Chantecoq avant le recensement de 1968, la population du village continua de baisser jusqu'à atteindre son plus faible niveau en 1975, l'année suivant l'inauguration du lac du Der, avec 174 habitants. Depuis cette date, la population commence à repartir légèrement à la hausse. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 284 habitants[Note 5], en évolution de +6,37 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
538571560557575571596580592
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
602570601593558530526512472
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
448425427345347316320339299
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
289273174215227234254256261
2014 2019 2021 - - - - - -
263274284------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 48,2 % la même année, alors qu'il est de 25,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 147 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 53,85 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,4 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,8 
9,5 
75-89 ans
10,3 
38,5 
60-74 ans
37,3 
16,2 
45-59 ans
15,9 
12,2 
30-44 ans
17,5 
7,4 
15-29 ans
8,7 
16,2 
0-14 ans
9,5 
Pyramide des âges du département de la Marne en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
6,5 
75-89 ans
9,2 
16,5 
60-74 ans
17,8 
19,7 
45-59 ans
19,1 
18,6 
30-44 ans
17,5 
19,9 
15-29 ans
18,2 
18,2 
0-14 ans
16,6 

Lieux et monuments

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Église de Champaubert.
  • Église Saint-Laurent, ancienne église paroissiale de Champaubert-aux-Bois.
  • Château d'eau panoramique, haut de 20 mètres il offre une vue panoramique sur le lac et son arrière-pays.

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique de Giffaumont-Champaubert » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).

Références

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  1. a et b Philippe Michel, « Giffaumont avant le grand lac », sur p.michelcornu.free.fr (consulté le ).
  2. « Le Lac du Der : le rendez-vous des grues cendrées », sur lacduder.com.
  3. « Fiche communale de Giffaumont-Champaubert », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  4. Sandre, « la Droye »
  5. Sandre, « le canal d'amenée du Barrage-réservoir Marne »
  6. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Giffaumont-Champaubert et Saint-Dizier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saint-Dizier », sur la commune de Saint-Dizier - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Dizier », sur la commune de Saint-Dizier - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Giffaumont-Champaubert ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dizier », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 116.
  23. Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de la Marne, Paris, (lire en ligne), p. 49.
  24. Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’AuvergneCommunes et paroisses d’Auvergne
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. http://p.michelcornu.free.fr/pagechante.htm
  27. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
  28. « Arrêté préfectoral du 17 avril 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes du Bocage Champenois, de la Communauté de communes du Perthois et de la Communauté de communes de Marne et Orconté en y incluant les communes de Favresse et de Gigny-Bussy », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 5,‎ , p. 25-30 (lire en ligne [PDF]).
  29. « Les maires de Giffaumont-Champaubert », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. Almanach historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, 1876, p191.
  31. Almanach historique, administratif & commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, 1877, p159.
  32. Liste des maires de la Marne au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  33. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Giffaumont-Champaubert (51269) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Marne (51) », (consulté le ).
  39. Pascale Krémer, « Au casino du Lac du Der, on passe le temps, on trompe l’ennui, on « claque » des euros », sur lemonde.fr, (consulté le ).