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Henry Spiess

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Henry Spiess
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 63 ans)
GenèveVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Parti politique
Distinction
Prix Rambert ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Henry Spiess, né le à Genève et mort le dans la même ville, est un poète suisse.

Henry est le fils aîné du médecin genevois Charles-Ami Spiess (1836-1895) et de Renée Charlotte Demole (1844-1922), qui auront deux autres garçons dont le biologiste et essayiste controversé Camille Spiess (1878-1965).

Il poursuit ses études de droit à Paris où il découvre le goût de la poésie et devient avocat. De retour à Genève, il anime la revue La Voile latine.

En 1914, il se marie une première fois avec Jeanne-Joséphine Duron.

Il obtient le Prix Rambert en 1915 pour son recueil Le Visage ambigu.

En 1926, il épouse Lucie-Gabrielle Rigacci.

Dans le milieu des années 1930, il soutient l'Union nationale et dédie à son dirigeant, Georges Oltramare, un poème intitulé Sonnet au chef[1].

  • 1905 : Cogitations neurasthéniques
  • 1916 : Attendre
  • 1920 : Saison divine

Extrait poétique

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[...] Et, quand je plonge au fond de vos yeux magnétiques,
je vois, parmi des Fleurs de Luxure et de Mort,
Salomé qui se pâme au rythme des Cantiques.
(1905)
  1. Joseph Roger, L'Union nationale, École des sciences sociales et politiques de l'Université de Lausanne & Éditions de la Baconnière, Boudry, 1975, p. 108.

Liens externes

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