La Tour (Alpes-Maritimes)
La Tour | |||||
Vue sur le village depuis la route des Granges de la Brasque. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Thierry Roux 2020-2026 |
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Code postal | 06420 | ||||
Code commune | 06144 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | panissiers | ||||
Population municipale |
539 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 56′ 52″ nord, 7° 11′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 195 m Max. 1 900 m |
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Superficie | 36,7 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nice (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vence | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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La Tour ou La Tour-sur-Tinée est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants du chef-lieu sont appelés les Tourriers et ceux du hameau de Roussillon les Roussillonais.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune située à 23 km de Saint-Martin-du-Var et 47 km de Nice[1].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]le village de La Tour est perché sur une crête du massif du Tournairet.
Le hameau de Roussillon s'est développé au XVIIIe siècle[2].
Catastrophes naturelles - Sismicité
[modifier | modifier le code]Le 2 octobre 2020, de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié la commune au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020"[4].
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]L'eau n'est arrivée à une fontaine du village qu'en 1891, et chez les particuliers en 1927.
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
- rivière la Tinée,
- vallons de ginoire, de pèlegrin, de la clapière, des fournés de bagnolar,
- ruisseaux des carbonnières, de la cardinarde, des fournés, des lignes, de gorgétta,
- le riou frei.
La Tour dispose deux stations d'épuration :
- Station de La Tour - Roussillon, d'une capacité de 700 équivalent-habitants[7],
- Station de La Tour - Village, d'une capacité de 450 équivalent-habitants[8].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 031 mm, avec 5,4 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Levens », sur la commune de Levens à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 982,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 35,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,8 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Sur la M 2205, après le hameau de La Courbaisse, sur la commune de Tournefort, franchir le pont de la Lune et prendre à droite la route métropolitaine M32 [16].
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur[17].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La , La Tour intègre la métropole Nice Côte d'Azur qui est créée le même jour[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[19]
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Tour est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[20]. Elle est située hors unité urbaine[21]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[21]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]La Tour désigne des châteaux comme La Tour-sur-Tinée[24]. La commune est parfois appelée localement La Tour-sur-Tinée.
Histoire
[modifier | modifier le code]Deux agglomérations existaient au Moyen Âge sur le territoire de La Tour[25].
Un village nommé « La Torre » est cité au XIIe siècle, agglomération fortifiée sur le site actuel du village. Un château devait se trouver sur le sommet qui domine le village au sud-ouest site actuel du cimetière.
Un second site fortifié nommé Alloche existait au-dessus de la chapelle Saint-Jean, à 3 km au nord-est du village, actuel hameau d'Alloch dit « de Saint-Jean ». La communauté de Saint-Jean-d'Alloche est citée en 1251. Elle a disparu avec la peste de 1467. La chapelle Saint-Jean devait être l'église paroissiale initiale car les curés recevaient leur investiture dans cette chapelle jusqu'au XIXe siècle.
La seigneurie de La Tour a appartenu aux Grimaldi de Bueil à partir de 1400, jusqu'à l'exécution d'Annibal Grimaldi, en 1621. Le territoire est érigé en comté au profit de la famille Della Chiesa en 1700.
Une église dédiée à saint Martin est citée en 1351, peut-être sur l'emplacement actuel. Elle est reconstruite au XVIe siècle et le village s'est développé sur le plateau, à 620 m d'altitude, sur un contrefort du mont Tournairet, à un carrefour de routes menant à Utelle, Clans et Villars, passage vers la vallée de la Tinée jusqu'au XIXe siècle.
La communauté comportait quatre chapelles en plus l'église paroissiale Saint-Martin : la chapelle des Pénitents blancs, à la sortie du village sur la route d'Utelle, la chapelle Saint-Sébastien, sur la route montant de la vallée, la chapelle Sainte-Élisabeth, sur la route d'Utelle à un col, la chapelle Saint-Jean-Baptiste d'Alloch[26].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’azur aux deux pals ondés d’or enfermant une tour du même posée sur un mont d’argent mouvant de la pointe et surmontée d’un croissant contourné aussi d’or[27]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2019
[modifier | modifier le code]En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :
- total des produits de fonctionnement : 1 050 000 €, soit 1 820 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 812 000 €, soit 1 407 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 593 000 €, soit 1 028 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 616 000 €, soit 1 068 € par habitant ;
- endettement : 995 000 €, soit 1 724 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,26 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,09 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 22,64 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 110 €[31].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Le territoire possédait des oliviers, des vignes et des céréales. Les moulins à huile et à farine montrent l'ancienne richesse de la communauté. En 1754, il y avait environ 1 300 habitants à La Tour.
- La Coopérative d’Utilisation de Matériel Agricole (CUMA) de la commune La Tour / Roussillon a été créée en 2010 par 5 agriculteurs et la municipalité.
- Exploitants Agricoles[32]
Tourisme
[modifier | modifier le code]Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerce de proximité : épicerie « Les Arcades ».
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2021, la commune comptait 539 habitants[Note 3], en évolution de −6,91 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements :
- École maternelle[39] et primaire[40].
- Collèges à Saint-sauveur-sur-tinée, Saint-Martin-du-Var[41],
- Lycée à Valdeblore.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[42] :
- Médecins à Saint-Martin-du-Var, Carros,
- Pharmacie Saint-Martin-du-Var, Carros,
- Hôpitaux à Saint-Jeannet, Vence, Nice.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Notre-Dame de la Tinée[43], Diocèse de Nice.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux :
-
L'église Saint-Martin.
-
L'église de Roussillon.
-
Chapelle Saint-Sébastien.
-
Chapelle des Pénitents blancs.
-
Décor de la chapelle des Pénitents blancs.
-
Murs latéraux : Passion du Christ.
-
Chevet : Jugement dernier : L'Enfer.
- Église Saint-Martin[44],[45],
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste[46],[47],
- Chapelle des Pénitents blancs[48],[49],
- Chapelle Saint-Sébastien[50],
- Chapelle Sainte-Élisabeth[51],
- Chapelle Saint-Jean d'Alloch[52],
- Église Saint-Barnabé de Roussillon, construite entre 1855 et 1861[53].
- Monument aux morts[54].
Autres patrimoines :
-
Place du village,avec la maison Blanqui et ses arcades[55].
-
Maison Lyons, ancien hôpital construit en 1554[56].
-
Moulin à huile.
-
Maison Olivari dite maison des Templiers
- Maison Olivari, dite des Templiers[57],[58], ancien presbytère, à côté de l'église[59],
- Ensemble artisanal du Béal, avec un moulin à farine[60], un moulin à huile[61],[62], une distillerie et un lavoir, fonctionnant grâce à l'énergie hydraulique apportée par un canal long de 15 km[63],
- Maison Lyons[64].
- Granges de la Brasque[65],[66].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Grimaldi de Beuil.
- Comte Della Chiesa, patriciens de Cuneo[67].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Localisation plan ign
- Hameau de Roussillon
- Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
- Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Description de la station LA TOUR Roussillon
- Description de la station LA TOUR TINEE Village St Sébastien
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Tour et Levens », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Levens », sur la commune de Levens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Levens », sur la commune de Levens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
- Plan d'accès
- Les réseaux de transport : Alpes-Maritimes
- Décret du 17 octobre 2011 du ministère de l’Intérieur, de l’Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration portant création de la métropole dénommée « Métropole Nice Côte d’Azur », Journal officiel de la République française, no 242 du 18 octobre 2011.
- Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Peuplement et toponymie en Provence orientale et dans le pays niçois, par Marie-Louise Gourdon, Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie Année 1997 25-2-4 pp. 151-163
- Histoire du village
- La Tour-sur-Tinée, p. 6-7, Passeurs de mémoire, Patrimoine des Alpes-Maritimes : Basse et moyenne Tinée, Conseil général des Alpes-Maritimes
- Dominique Cureau, « Nice Côte d'Azur 1 : La Tour », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- Barriquand 2012, p. 54
- La mairie, peinte par Guy Ceppa
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Entreprises et services locaux
- Auberge
- Hébergements
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- École maternelle et élémentaire
- École maternelle et primaire
- Collèges à proximité
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Notre-Dame de la Tinée
- « Eglise Saint-Martin », notice no PA00080884, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Église Saint-Martin
- « Chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00080883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste
- « Chapelle des Pénitents Blancs », notice no PA00080882, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Chapelle des Pénitents Blancs
- Chapelle Saint Sébastien
- Chapelle Sainte Elisabeth
- Chapelle Saint-Jean d'Alloch
- Église de Roussillon
- Monument aux morts : Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
- Passeurs de mémoire. Patrimoine des Alpes-Maritimes, basse et moyenne-Tinée, p. 17
- La maison a été surélevée en 1891. Au premier étage a été peint un buste de Sadi Carnot dans une niche.
- Inventaire du patrimoine archéologique de La Tour-sur-Tinée
- Les sites templiers des Alpes-Maritimes
- Maison des "Templiers"
- Notice no PM06002799, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culturemoulin à grains
- Notice no PM06001132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culturemachine à extraire des fluides (moulin à olives et son mécanisme)
- Moulin à huile
- Le cadastre napoléonien de La Tour sur Tinée. Un territoire agricole oublié
- Maison Lyons
- Pointe de Siruol, Granges de la Brasque, Vésubie
- Itinéraire
- Inféodations dans le Comté de Nice suivant le dictionnaire de Casalis
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Clip vidéo sur le village, réalisé par HTI-3D
- Nicolas Barriquand, « Interview de Thierry Roux : « Il faut construire de l'habitat collectif » », L'Express, no 3184,
- Luc Thévenon, L'art du Moyen Âge dans les Alpes méridionales, p. 48-50, Éditions Serre (collection patrimoines), Nice, 1983 (ISBN 2-86410-047-9) ; p. 94
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Tende : p. 983-986 : La Tour
- Tour sur Tinée (La) : datations gothiques gravées; inscriptions de la Tour et Tournefort; inscriptions pathétiques; inscriptions de la route la Tour la brasque; le Comté de Nice en 1850; Sites militaires des vallées Tinée Vésubie; Murs et linteaux
- La Tour sur Tinée : histoire
- Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)Vallée de la Tinée : La Tour, Peintures murales de la chapelle des Pénitents blancs, pp. 69 à 71
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Tour (La), p. 77
- Association Saint Jean le Vieux, Peintures murales décors peints, Vallée de la Tinée, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.*La Tour-sur-Tiné; *Clans; *Valdeblore Saint-Dalmas; *Roure; *Roubion; *Saint-Étienne-de-Tinée; *Quelques saints représentés dans les vallées de la Tinée; *Les chapelles peintes de la Vallée de la Tinée
- Dr Michel Bourrier, Villages de montagne à l'heure de la grande guerre, Le canton de Villars-sur-Var, Nice, Lou Savel, , 280 p. (ISBN 2-9510630-1-6)Chapitre XI : La Tour-sur-Tinée, pp. 163 à 178
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- La Tour sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes