Langon (Ille-et-Vilaine)
Langon | |||||
Le clocher de l'église Saint-Pierre de Langon. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Redon | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Jean-Yves Colléaux 2020-2026 |
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Code postal | 35660 | ||||
Code commune | 35145 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Langonnais, Langonnaises | ||||
Population municipale |
1 361 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 43′ 13″ nord, 1° 50′ 48″ ouest | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 97 m |
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Superficie | 36,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Redon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Redon | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.langon35.bzh | ||||
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Langon est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
La commune est détentrice du Label « Communes du Patrimoine Rural de Bretagne » pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Langon s'est développée à 1,5 km à l'est de la Vilaine sur une rupture du plateau à environ 50 m d'altitude. Au sud du bourg, la vallée de la Vilaine s'élargit et l'altitude ne dépasse pas 5 m à 6 m et annonce les marais de Redon[2].
Localisation
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Saint-Ganton, La Chapelle-de-Brain, Guipry, Mernel, Renac, Sainte-Anne-sur-Vilaine, Saint-Just, Guémené-Penfao, Massérac, Pierric, Messac et Guipry-Messac.
Transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par la gare de Fougeray - Langon située sur la ligne de Rennes à Redon.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Noë-Blanche à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Langon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,7 %), terres arables (27,8 %), forêts (15,9 %), prairies (6,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones urbanisées (2,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Formes écrites anciennes de Langon : Landegon en 797, 801 et 850[15], Lant Degon en 834, Landegun en 862, Lancon en 882, Langon en 1387 et 1516[16].
Albert Dauzat qui ne connaissait pas de forme ancienne évoque un possible anthroponyme gaulois Lingo[17]. Cependant, cette explication est incompatible avec la nature des formes anciennes du type Landegon, Landegun mentionnées régulièrement au ixe siècle. Peut-être un type toponymique roman en Lande- avec un nom de personne, comme de très nombreux lieux de ce type dans l'ouest de la France (cf. Landigou, Orne; Landavran, Ille-et-Vilaine; etc.) ou breton en Lan- (cf. Landéhen, Côte-d'Armor; Landéan, Ille-et-Vilaine).
La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Landegon[16].
Homonymie possible avec Landigon (Seine-Maritime, hameau à Brémontier-Merval, Landigon 1414)[Quoi ?]
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Les plus anciennes traces d'occupation humaines retrouvées sur le territoire de la commune datent du Mésolithique[2]. Selon le recensement de P. Bézier, la commune comptait en 1883, 34 monuments mégalithiques dont 2 dolmens, 7 menhirs, 11 tumuli et 9 cromlechs. Au XIXe siècle et début XXe siècle, beaucoup de ces édifices furent détruits, les éléments étant récupérées pour l'empierrement des chemins vicinaux[2]. Le remembrement de 1964-1965 et l'urbanisation anarchique de la Lande du Moulin ont aussi contribué à la destruction partielle de plusieurs sites[2], dont celui des Demoiselles de Langon, qui ne sera classé au titre des monuments historiques qu'en 1976[18].
Le musée de Bretagne conserve dans ses collections 3 haches polies et 1 hache-marteau découvertes dans le secteur de Langon sans mention plus précise du lieu des découvertes[2].
Antiquité
[modifier | modifier le code]Une importante agglomération rurale était dispersée sur la commune de Lagon, en témoigne la voie romaine, et les nombreuses découvertes archéologiques faites sur la commune dont la plus connue; celle des thermes d'une ancienne villa gallo-romaine du bourg transformée en chapelle au haut Moyen Âge.
À la fin du Ve siècle, l'arrivée des premières communautés chrétiennes entraîne la transformation des thermes romains et l'édification de la chapelle Sainte-Agathe[2].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Au IXe siècle, dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Sauveur de Redon, le nom de Langon apparaît pour la première fois sous diverses orthographes en bas latin (Landego, Landecon, Lanco, Lancon). Par la donation de Louis le Pieux, la paroisse de Langon est alors rattachée à cette abbaye, tutelle qu'elle conservera jusqu’à la Révolution française[2].
Le XIXe siècle
[modifier | modifier le code]La gare de Fougeray - Langon est mise en service en [19], par la compagnie des chemins de fer de l'Ouest, soit deux ans après l'inauguration de la ligne. La station est établie[20] sur la rive droite de la Vilaine à proximité du Pont-de-la-Fosse. Elle porte le nom du chef-lieu de canton, Fougeray dit aussi Grand-Fougeray (6 264 habitants) situé à environ 12 km, et de la commune de Langon (1 698 habitants) dont le bourg est à environ 1 km.
Le XXe siècle
[modifier | modifier le code]La Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Marie-Luce Moquet[21], organisa dès octobre 1940 l'évasion de 13 soldats prisonniers des Allemands qui étaient parvenus à leur échapper ; les années suivantes elle hébergait des évadés, des réfractaires au Service du travail obligatoire, des résistants, etc.. Elle contribua à l'organisation de deux groupes de résistants FTPF, l'un dirigé par Marcel Philippe, l'autre sous les ordres de Joseph Guérin ; un troisième groupe de résistants était commandé par André Métayer. Ces groupes participèrent à des parachutage d'armes, organisèrent des sabotages de voies ferrées, notamment au tunnel de la Corbinière et le groupe de Marcel Philippe pris part aux combats de Saint-Marcel. Lors de l'arrivée des troupes américaines ils empêchèrent les Allemands de faire sauter le pont de Port-de-Roche sur la Vilaine, faisant une vingtaine de prisonniers dans leurs rangs, qui furent remis aux troupes américaines. Le résistant Francis Boursier fut tué le à Pipriac et un autre, Armand Jolivel, fut fusillé par les Allemands le au Grand-Fougeray[22].
Dans la nuit du 6 au , 6 maquisards furent surpris par des soldats allemands au pont de Port-de-Roche et fusillés[23].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2021, la commune comptait 1 361 habitants[Note 3], en évolution de −6,97 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune possède un patrimoine important, dont trois bâtiments monuments historiques. De plus, 405 monuments sont inventoriés (dont une voie romaine[29] et deux aqueducs[30]) ainsi que 160 objets :
- l’église Saint-Pierre, inscrite monument historique par arrêté du [31] ; elle abrite cinq objets eux-mêmes monuments historiques : un calice de 1653[32], un retable[33] et un maître-autel d’époque Louis XIV[34], une peinture du XIVe siècle[35] et des fonts baptismaux et leur baldaquin[36]
- la chapelle Sainte-Agathe :
- l'ensemble mégalithique dit des Les Demoiselles de Langon classé monument historique par arrêté du [37],[38];
- les tertres mégalithiques dits "les Pillons Garougnaux", situés près du hameau de la Gaudinais ;
- Le plus long tunnel ferroviaire de Bretagne (635 mètres), édifié entre 1860 et 1862, en prolongement du Viaduc de Corbinières, traverse la commune de Langon.
- Le Château des Corbinières[39],[40],[41] est dû à deux architectes majeurs du département d'Ille-et-Vilaine à la fin du 19e siècle, Arthur Regnault et Frédéric Jobbé-Duval. La propriété appartenait alors à la famille du Halgouët, branche de la Famille de Poulpiquet.
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La voie romaine (l'une des rares voies romaine encore pavée en Bretagne et en France)
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Le manoir de la Chaussée à Port-de-Roche.
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Détails architecturaux des anciennes thermes de Langon.
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Le menhir dit « La Pierre Daniel ».
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La Chapelle Sainte-Agathe, la Mairie et l'église de Langon.
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Vénus au bain - détail de la fresque gallo-romaine de l'actuelle chapelle Sainte-Agathe de Langon.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Du point de vue de la richesse de la flore, Langon est à la treizième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 600 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1 373 taxons (118 familles). On compte notamment 44 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 17 taxons protégés et 33 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237)[42].
Le site de Corbinières s'étend sur la commune de Langon.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Fils d'Isidore Renouard
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Les Balades du patrimoine » (consulté le ).
- Onnée et al. 2004, op. cit..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Langon et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Langon ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Redon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Librairie Droz, , 704 p., p. 139.
- « Résultats concernant « Langon » », sur la base KerOfis, Office public de la langue bretonne (consulté le ).
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 385a.
- « Les Demoiselles de Langon », notice no PA00090612, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jean-Pierre Nennig, « 421+568 - Gare de Fougeray-Langon », dans Le Chemin de fer de Bretagne Sud, JPN éditions, 2008 (ISBN 2-9519898-5-7), p. 66
- Adolphe Laurent Joanne, « De Rennes à Nantes », dans Itinéraire général de la France : Bretagne, L. Hachette, 1867, pp. 362-363 intégral en ligne (consulté le 30 novembre 2010).
- Marie-Luce Moquet, née le à Langon, demeurant à la Chaussée en Langon.
- http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/moquet.htm et Alain Lefort et Bernard Lucas, Les Hauts Lieux de la Résistance en Bretagne, éditions Ouest-France, 1991
- http://memoiredeguerre.free.fr/fusilles/tues-combat.htm
- « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534, , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no IA35012096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35012253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090614, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000978, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000291, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PM35000288, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090612, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35012028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Merimee - Château de Corbinières - Langon ».
- « Inventaire-Patrimoine.Région-Bretagne - Château des Corbinières ».
- « Théodore Ridouël, bâtisseur du Château des Corbinières ».
- Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, carte p. 170.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Yvan Onnée, Cyrille Chaigneau, Jean-Luc Javré et Bernard Monnier, « Étude sur le groupe mégalithique de Langon, Renac, Sainte-Marie et Sixt-sur-Aff », Les Dossiers du Ce.R.A.A, no 32, , p. 17-38 (lire en ligne)