(Translated by https://www.hiragana.jp/)
Laperrière-sur-Saône — Wikipédia Aller au contenu

Laperrière-sur-Saône

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Laperrière-sur-Saône
Laperrière-sur-Saône
Église Sainte-Marie-Madeleine.
Blason de Laperrière-sur-Saône
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté de communes Rives de Saône
Maire
Mandat
Jean-Luc Soller
2020-2026
Code postal 21170
Code commune 21342
Démographie
Population
municipale
426 hab. (2021 en évolution de +0,24 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 45″ nord, 5° 20′ 32″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 201 m
Superficie 11,17 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brazey-en-Plaine
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Laperrière-sur-Saône
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Laperrière-sur-Saône
Géolocalisation sur la carte : Côte-d'Or
Voir sur la carte topographique de la Côte-d'Or
Laperrière-sur-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Laperrière-sur-Saône
Liens
Site web laperrieresursaone.fr

Laperrière-sur-Saône est une commune française située dans le canton de Brazey-en-Plaine du département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune se trouve à mi-chemin entre Saint-Jean-de-Losne, chef-lieu du canton, et Auxonne, capitale du Val de Saône (11 km). Elle se situe aussi à 13 km de Dole, sous-préfecture du Jura, à 48 km de Beaune, sous-préfecture de la Côte-d'Or, et à 46 km de Dijon, préfecture de la région Bourgogne-Franche-Comté.

Rose des vents Les Maillys Rose des vents
Saint-Symphorien-sur-Saône N Saint-Seine-en-Bâche
O    Laperrière-sur-Saône    E
S
Samerey

Géologie, relief et hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune appartient à la plaine alluviale du Val de Saône, aux sols constitués de cailloutis, de calcaires, et d'argiles bien aérés, boisés et comptant de nombreux biefs. Les principaux cours d'eau qui la traverse sont la Saône, la Noue et l'Orfenot. Le canal du Rhône au Rhin longe la commune sur sa limite sud-ouest.

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 907 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 868,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

La commune est traversée par les routes D 24 (Maison-Dieu-Labergement-Foigney) et D 110C (Laperrière-sur-Saône-Abergement-la-Ronce), ainsi que par l'A36 (Beaune-Mulhouse-Ouest), dont le plus proche échangeur est Seurre-Saint-Jean-de-Losne à Pagny-le-Château, à 17 km.

Les gares ferroviaires les plus proches sont celles de Saint-Jean-de-Losne (Dijon-Bourg-en-Bresse), à 9,7 km, celle d'Auxonne (ligne de Dijon à Vallorbe), située à 12,5 km et celle de Dole (Dijon-Besançon), située à 13,5 km.

Enfin la commune est accessible par la Saône, bordant sa frontière nord-ouest, et le canal du Rhône au Rhin, bordant sa frontière ouest.

Au , Laperrière-sur-Saône est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8] et hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,8 %), prairies (25,6 %), terres arables (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), eaux continentales[Note 1] (4,3 %), zones urbanisées (3,9 %), zones humides intérieures (0,4 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

De fondation romaine, Laperrière devient, entre le milieu du XIIIe siècle et la fin du XVe siècle, le siège d'une châtellenie ducale, englobant les villages voisins, puis un marquisat jusqu'à sa dislocation à la fin du XVIIIe siècle. Elle constitue une commune depuis 1790.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1800 M. Jean Lapostolle    
1800 1821 M. Jean Fleury    
1821 1821 M. Pierre Gueritée    
1821 1835 M. Pierre Moreaux    
1835 1839 M. Pierre Pain    
1839 1846 M. Pierre Moreaux    
1846 1847 M. Bon Bretin    
1847 1848 M. Étienne Lapostolle    
1848 1849 M. Étienne Roquelet    
1849 1855 M. Étienne Lapostolle    
1855 1870 M. Pierre Moreaux    
1870 1871 M. Jean Jovignot    
1871 1876 M. Étienne Seron    
1876 1880 M. Jean Metier    
1880 1896 M. Étienne Goillot    
1896 1904 M. Étienne Buguet    
1904 1907 M. Michel Pain    
1907 1912 M. Jules Fleuret    
1912 1941 M. Alphonse Faivre    
1941 1944 M. Camille Pertuy    
1944 1947 M. Virgile Chambelland    
1947 1965 M. Gabriel Ravier    
1965 1979 M. Paul Leboeuf    
1979 1989 M. Gaston Charraut PS  
1989 2001 M. Paul Vachet-Leboeuf    
2001 en cours M. Jean-Luc Soller DVG Ingénieur
Président de la Communauté de Communes

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 426 habitants[Note 2], en évolution de +0,24 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
490522575542588626649630566
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
568596548524525502451445423
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
378340274294289267268296303
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
267239273325301387412419442
2021 - - - - - - - -
426--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'économie de la commune repose essentiellement sur l'artisanat, l'agriculture et l'hôtellerie.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux

[modifier | modifier le code]
  • Église Sainte-Marie-Madeleine, contenant un ensemble du XVIIIe siècle comprenant : un maître-autel en bois polychrome, un tabernacle à ailes et une exposition, un retable et un décor de drapé, un tableau de Sainte-Marie-Madeleine, et des boiseries sculptées polychromes du chœur, classés monument historique au titre objet depuis le [44]; ainsi que trois canons d’autel classés depuis 2003[45].

Patrimoine civil

[modifier | modifier le code]
  • Vestiges d'une voie romaine.
  • Substruction et plate-forme du château médiéval.
  • Demeures des XVIIIe et XIXe siècles.
  • Mairie (XIXe siècle).
  • Monuments aux morts (XXe siècle).

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Ducs de Bourgogne, d’Hugues IV (1218) à Charles le Téméraire (1477), seigneurs de Laperrière.
  • Philippe de Bourgogne, fils du duc Eudes IV, sa mère, la duchesse de Bourgogne Jeanne de France, et sa tante, la comtesse de Flandres Marguerite de France, séjournent quelques jours, en 1345, au château de Laperrière[46].
  • Jeanne de Boulogne, comtesse d’Auvergne et de Boulogne, comtesse d’Artois par son mariage avec Philippe « Monsieur » de Bourgogne, mère du duc Philippe Ier de Bourgogne, régente de Bourgogne (1349-1353), et reine de France (1350-1360) par son mariage avec le roi Jean II le Bon, est propriétaire de la châtellenie de Laperrière le temps de sa régence[46].
  • Jean de France, duc de Normandie, comte d'Anjou, du Maine et de Poitiers, seigneur des conquêtes de Languedoc et de Saintonge, roi de France (1350-1364), et régent de Bourgogne (1353-1361), est propriétaire de la châtellenie de Laperrière, le temps de sa régence[23].
  • Guy III de Pontailler, chevalier, seigneur de Talmay et de Mantoche, maréchal de Bourgogne, et capitaine du château de Laperrière (1364)[47].
  • Henri du Risoir et Suzanne de Brabant, enfants naturels du duc Philippe II de Bourgogne, dit « le Hardi » et de sa maîtresse Marie d'Auberchicourt, dame du Risoir et de Bernissart, qui résident quelques jours, en 1388, au château de Laperrière[48].
  • Pierre de Masière dit Jobin, capitaine de Laperrière (v. 1414) et écuyer-tranchant de la duchesse de Bourgogne[49].
  • Antoine de Toulongeon (1385-1432) : seigneur de Buxy, La Bastie, Montrichard et Traves, chevalier, conseiller, chambellan du duc de Bourgogne (v. 1418), maréchal de Bourgogne, et gouverneur des pays de Bourgogne et de Charolais (1427).

Il est également temporairement capitaine et garde de Troyes, Champagne et Brie (1418), ambassadeur du duc de Bourgogne en Angleterre et en France (1420), gouverneur de la maréchaussée de Bourgogne (v. 1423), et capitaine de Laperrière (v.1430). Il est enfin l’un des grands chefs militaires bourguignons de la guerre de Cent Ans, et fait partie des premiers chevaliers décoré de l'Ordre de la Toison d'or (1431)[50].

  • Jean Sans Peur, duc de Bourgogne, séjourne quelques jours au château de Laperrière, en 1415[17].
  • Marguerite de Bavière, (1363-1423), duchesse de Bourgogne, veuve de Jean Sans Peur, reçoit de son fils Philippe le Bon, la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1420 et 1423[51].
  • Isabelle de Portugal, duchesse de Bourgogne, reçoit de son époux Philippe le Bon, la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1430 et 1471[52].
  • Jean Fraignot : conseiller, receveur général de toutes les finances du duc de Bourgogne, incarcéré au château de Laperrière en 1432, pour des prélèvements malhonnêtes[46].
  • Jean de Poitiers, seigneur d’Arcy, chevalier, conseiller du duc de Bourgogne, et capitaine de Laperrière (v.1433)[50].
  • Marguerite d'York, duchesse de Bourgogne, veuve de Charles le Téméraire, reçoit de sa belle-fille, Marie de Bourgogne, héritière des terres germaniques de l’ « État bourguignon », la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1477 et 1502[17].
  • Marguerite d'Autriche,(1480-1530), archiduchesse d'Autriche, successivement princesse de Bourgogne, fille de France, infante d'Espagne, duchesse de Savoie, et gouvernante des Pays-Bas ; fille de Marie de Bourgogne, jouit de la châtellenie de Laperrière entre 1507 et 1516[17].
  • Jeanne de Hochberg, vicomtesse d’Abberville, comtesse de Neuchâtel, comtesse de Montgommery, comtesse de Tancarville, marquise de Rothelin, duchesse de Longueville, et princesse du Châlet-Aillon; jouit du marquisat de Laperrière entre 1516 à 1543.
  • Charlotte d’Orléans, comtesse de Genève, duchesse de Nemours; jouit du marquisat de Laperrière entre 1543 et 1549.
  • Jacques de Savoie-Nemours, duc de Nemours; jouit du marquisat de Laperrière v 1550.
  • Jeanne de Savoie-Nemours, comtesse de Vaudémont, duchesse de Lorraine et de Bar; jouit du marquisat de Laperrière v. 1555.
  • Philippe-Emmanuel de Lorraine, baron d’Anceny, marquis de Nomeny, duc de Mercœur et de Penthièvre, pair de France, prince du Saint-Empire et de Martigues; jouit du marquisat de Laperrière entre 1565 et 1602.
  • Françoise de Lorraine, duchesse de Vandôme, d’Étampes et de Beaufort; jouit du marquisat de Laperrière entre 1602 et 1620.
  • Roger II de Saint-Lary, baron de Termes, marquis de Versoy, duc de Bellegarde, et gouverneur de Bourgogne, grand écuyer de France, et pair de France; jouit du marquisat de Laperrière entre 1620 et 1646.
  • Henri II de Bourbon-Condé, comte de Sancerre, duc de Montmorency, duc d'Albret, duc d'Enghien, duc de Bellegarde, prince de Condé, et gouverneur de Bourgogne, pair de France, grand veneur de France, grand louvetier de France, et premier prince du sang; jouit du marquisat de Laperrière en 1646.
  • Louis II de Bourbon-Condé, comte de Sancerre et de Charolais, duc de Bourbon, Montmorency, d’Enghien, de Châteauroux, de Fronsac et de Bellegarde, prince de Condé, pair de France et premier prince du sang; jouit du marquisat de Laperrière entre 1646 et 1661.
  • Nicolas René de Goureault du Mont, jouit du marquisat entre 1661 et 1681.
  • Catherine de Hautoy, jouit de la moitié du marquisat entre 1681 et 1691.
  • Louis de Goureault du Mont, son fils, jouit de la moitié du marquisat entre 1681 et 1691.
  • Anne-Antoinette de Goureault du Mont, sœur du précédent, et François de Bonenfant, seigneur de Magny-le-Freule, de la Brette, de la Morinière, de Hauville, d’Ouésy, de Biéville, de Quétiéville, et en partie de Mesnil-Villers, jouissent du marquisat jusqu'en 1714.
  • Edme Lamy, procureur à la Chambre des comptes de Dijon, receveur des épices, receveur général du taillon de Bourgogne, et secrétaire du roi, jouit du marquisat entre 1714 et 1734.
  • Claude Lamy, jouit du marquisat entre 1734 et 1752
  • Philiberte Lamy, jouit de Laperrière et Saint-Symphorien jusqu'en 1757
  • Jean Armand Barbin de Broyes, baron d’Autry et comte de Broyes, achète les terres de Philiberte Lamy en 1757, et sa famille en jouit jusqu'à la Révolution.
  • Louis IV de Bourbon-Condé, comte de Sancerre, duc de Bourbon, d'Enghien, de Bellegarde, et de Guise, prince de Condé, et pair de France; est venu inaugurer la portion bourguignonne du canal du Rhône au Rhin en 1734[53].
  • Pierre Coste, riche bourgeois et maire de Saint-Jean-de-Losne. Achète le château de Laperrière en 1796.
  • Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française, est venu à l'écluse, le , pour parler du projet du Grand canal[34].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Laperrière-sur-Saône Blason
D'azur à trois lézards d'argent deux et un, au chef parti, au I d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules, au II bandé d'or et d'azur de six pièces à la bordure de gueules.
Détails
Il mêle aux armes des ducs de Bourgogne, celles de la famille Lamy, marquis de Laperrière, dans la première moitié du XVIIIe siècle.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Laperrière-sur-Saône et Tavaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Tavaux Sa », sur la commune de Tavaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Feuvrier Jean, Les voies romaines de la région de Dole, Bulletin archéologique du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, Paris, 1920
  13. Simonnet Jules, Foisset Paul, Voies romaines du département de la Côte-d'Or et répertoire archéologique des arrondissements de Dijon et de Beaune, commission des Antiquités du département de la Côte-d'Or, Lamarche, Dijon, 1872
  14. a et b Baldou Maurice, Perriere sur Saône : histoire du village, l’église, le marquisat, la paroisse, sa dépendance de Besançon…, Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Dijon, 1959.
  15. Cîteaux H 486
  16. Roserot Alphonse, Dictionnaire topographique de la Côte-d'Or, Imprimerie nationale, Paris, 1924
  17. a b c d e et f Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I (origines-1623), imprimerie de la coopérative ouvrière, Dijon, 1982
  18. a et b Courtépée Claude, Description du duché de Bourgogne, tome 2, Causse, Dijon, 1777 (1re édition)
  19. Billioud J., Les États de Bourgogne aux XIVe et XVe siècles, Académie de Dijon, Dijon, 1922.
  20. Richard Jean, Les États de Bourgogne, Extrait des Études suisses d'Histoire générale, vol. 20, 1962-1963
  21. « Accueil - Diocèse de Dijon », sur cef.fr via Wikiwix (consulté le ).
  22. Archives départementales de la Côte-d'Or (ADCO) B 5051; B 5052
  23. a et b ADCO B 5053
  24. ADCO B 995; B 996
  25. Peincedé Jean-Baptiste, Inventaire de la Chambre des comptes de Bourgogne, vol. XXVII, f°3
  26. Beck Corinne, Les eaux et forêts en Bourgogne ducale v.1350-v. 1480, l'Harmattan, Paris, 2008
  27. ADCO B 1778
  28. ADCO B 1781
  29. ADCO B 1783
  30. Camp Pierre, Auxonne au Moyen Âge, Association bourguignonne des sociétés savantes, Dijon, 1960
  31. Bibliothèque municipale de Dijon (BMD), Ms 1358 (tome XXVIII)
  32. a b c d et e Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I
  33. Perrinet P., Au château de Laperrière. Un trésor volé, la revue bourguignonne (vol.3), Dijon, 1913
  34. a b c d e f g h i j k l et m Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre II
  35. Héritier Annie., Genèse de la notion juridique de patrimoine culturel (1750-1816), l’Harmattan, Paris, 2003,
  36. ADCO, Q 449, 8 Perrière (La)
  37. Malet Albert, Isaac Jules, Malet & Isaac, Hachette, Paris, 1929
  38. Garnier Joseph, Nomenclature historique des communes, hameaux, écarts, lieux détruits, cours d'eau et montagnes du département de la Côte-d'Or, imprimerie Eugène Jobard, Dijon, 1869
  39. a b et c Ravier Gabriel, Laperrière-sur-Saône. Vie administrative. État Civil 1900-1979, Laperrière, 1991
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Notice no PM21003048, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. Notice no PM21003060, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  46. a b et c ADCO B 5052
  47. ADCO B 1417
  48. ADCO B 1473
  49. ADCO B 11869
  50. a et b Somme Monique, Isabelle de Portugal, duchesse de Bourgogne. Une femme de pouvoir au XVe siècle. Presses universitaires du Septentrion, Lille, 1998
  51. ADCO B 304
  52. ADCO B 1643; ADCO B 5058
  53. Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :