Taras
Apparence
Taras peut faire référence à:
Toponymie
[modifier | modifier le code]Taras est un nom de lieu notamment porté par :
- Taraš (en serbe cyrillique : Тараш ; en hongrois : Tiszatarrós) est une localité de Serbie située dans la province autonome de Voïvodine et sur le territoire de la Ville de Zrenjanin, district du Banat central.
- Taras, un village de la voïvodie de Łódź en Pologne
- Taras est une localité près de Téhéran (Iran).
- Táras est la transcription de Τάρας nom en grec ancien de la ville de Tarente, actuel chef-lieu de la province du même nom dans les Pouilles (Italie) ; Tarentum en latin et Tarde en tarentin.
Patronyme
[modifier | modifier le code]Taras est un nom de famille notamment porté par :
- John Taras (New York, - ) est un danseur, chorégraphe et maître de ballet américain.
- Marty Taras (1914-1994) : dessinateur de comics et animateur de dessin animé
- Pour l'ensemble des articles sur les personnes portant ce prénom, consulter :
- la liste des articles dont le titre commence par ce prénom
- les listes produites par Wikidata : Liste des personnes de prénom « Taras » — même liste en incluant les éventuels prénoms composés qui contiennent « Taras ».
Taras est un prénom slave (Тарас en alphababet cyrillique) aussi transcrit Tarass[1] en français. Exemple de porteur de ce prénom :
- Tarass Boulba, héros éponyme de Tarass Boulba, nouvelle historique de Nicolas Gogol publiée dans sa première version en .
- Taras Chevtchenko ou Tarass Chevtchenko : Taras Hryhorovytch Chevtchenko (en ukrainien : Тарас Григорович Шевченко) est un poète, peintre et humaniste ukrainien, né à Moryntsi (oblast de Tcherkassy) dans la région de Kiev le et mort à Saint-Pétersbourg le .
- Taras Stepanenko, footballeur ukrainien, né le .
Mythologie
[modifier | modifier le code]- Taras, fils de Poséidon.
Liens internes
[modifier | modifier le code]Sources, Liens externes, Notes et références
[modifier | modifier le code]- wikt:taras : entrée « taras » du Wiktionnaire.
- Serge Aslanoff, Manuel typographique du russiste, Institut d’études slaves, Paris, 1986, 255 pages (ISBN 2-7204-0225-7), § 111 et page 32 : « c Le plus souvent transcrit entre voyelles par -ss-, pour éviter la prononciation sonore en français : dessiatine, Denissovitch, Moussorgski, Ossip...
Par extension, la même adaptation se trouve en finale (alors que dans cette position le doublement de l’s n’est pas toujours nécessaire en français : haras, vas, mais Arras, Assas, Duras) : kvass, Tarass. »