Treillières
Treillières | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes d'Erdre et Gesvres | ||||
Maire Mandat |
Alain Royer 2020-2026 |
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Code postal | 44119 | ||||
Code commune | 44209 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Treilliérains | ||||
Population municipale |
10 230 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 352 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 19′ 51″ nord, 1° 37′ 27″ ouest | ||||
Altitude | Min. 9 m Max. 74 m |
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Superficie | 29,05 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Treillières (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Chapelle-sur-Erdre | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | https://www.treillieres.fr | ||||
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Treillières [tʁɛljɛʁ] est une commune de l'Ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait partie de la Bretagne historique.
Géographie
[modifier | modifier le code]- Situation
Treillières est situé dans la vallée du Gesvres, affluent de l'Erdre, à 14 km au nord de Nantes.
Les communes limitrophes sont : Nantes, Orvault, Vigneux-de-Bretagne, Notre-Dame-des-Landes, Grandchamp-des-Fontaines et La Chapelle-sur-Erdre.
Selon le classement établi par l'Insee en 2010, Treillières est une commune urbaine monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine de Nantes et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Treillières est la seule commune limitrophe de Nantes qui ne soit pas membre de Nantes Métropole, au grand dam de nombreux habitants et de certains élus qui souhaitaient que la commune modifie ses liens d'intercommunalité. Cependant, lors d'un référendum organisé en 2002, les Treilliérains se sont exprimés majoritairement en faveur du maintien au sein de la Communauté de communes d'Erdre et Gesvres[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 787 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Nort-sur-Erdre à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 760,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Treillières est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Treillières[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,8 %), terres arables (27,3 %), prairies (18,1 %), zones urbanisées (15,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), forêts (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]La localité est attestée sous sa forme latine Treliera[14] ou Trelieram dès 1123[15].
Le nom gallo de la commune est Trelièrr, en écriture ELG[16].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trelier[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]Une charte de Louis le Gros mentionne le bourg de Treillières en 1123[17].
En 1613, Guillaume Mouton, recteur de la paroisse, fit reconstruire l'église paroissiale de Treillières[18]. L'église fut démolie et remplacée par une autre en 1839, à l'exception du chœur qui fut conservé jusqu'en 1895, date de son remplacement[18].
À la fin du XVIIIe siècle, lors de la création des départements français, la population de Treillières oscillait autour de 1 200 habitants.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques
[modifier | modifier le code]La vie politique de Treillières est entièrement dominée par deux associations : Vivre à Treillières (gauche, opposition depuis 2012) et Treillières Autrement (se définissant sans étiquette, divers droite, majorité depuis 2012)[19].
Résultats des élections muicipales
[modifier | modifier le code]Municipales 2020 - Tour 1 (15 mars)
[modifier | modifier le code]Treillières en action (tête de liste : Alain Royer) - 1 835 voix (55.52%)
Nouvel r (tête de liste : Emmanuel Renoux) - 1 470 voix (44.47%)
Nombre d'inscrit sur les listes : 7 433 inscrits
Abstention : 4029 inscrits (54.20%)
Votants : 3404 inscrits (45.80%)
Votes blancs : 48 inscrit (0.65%)
Votes nuls : 51 inscrits (0.69%)
Municipales 2014 - Tour 1 (23 mars)
[modifier | modifier le code]Treillières autrement (tête de liste : Alain Royer) - 2 578 voix (59.70%)
Vivre à Treillières (tête de liste : Emmanuel Renoux) - 1 740 voix (40.29%)
Nombre d'inscrit sur les listes : 6 291 inscrits
Abstention : 1843 inscrits (29.30%)
Votants : 4448 inscrits (70.70%)
Votes blancs et nuls : 130 inscrits (2.92%)
Municipales partielle 2012 - Tour 1 (14 octobre)
[modifier | modifier le code]Treillières autrement (tête de liste : Alain Royer) - 1 631 voix (52.10%)
Vivre à Treillières (tête de liste : Emmanuel Renoux) - 1 497 voix (47.90%)
Nombre d'inscrit sur les listes : 5 923 inscrits
Abstention : 2705 inscrits (45.67%)
Votants : 3218 inscrits (54.30%)
Votes blancs et nuls : 90 inscrits (1,52%)
Municipales 2008 - Tour 1 (9 mars)
[modifier | modifier le code]Vivre à Treillières (tête de liste : Émile Savary) - 1 972 voix (56.43%)
Treillières autrement (tête de liste : Alain Royer) - 1 522 voix (43.56%)
Nombre d'inscrit sur les listes : 5 399 inscrits
Abstention : 1743 inscrits (32.28%)
Votants : 3656 inscrits (67.71%)
Votes blancs et nuls : 162 inscrit (3.00%)
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Treillières connaît actuellement une très forte croissance, d'environ +30 % tous les 10 ans, en raison de la proximité de la ville de Nantes (dont elle est la seule commune limitrophe à ne pas être membre de Nantes Métropole), et du prix presque raisonnable des terrains (comparé à ses voisines La Chapelle-sur-Erdre et Orvault).[réf. nécessaire]
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 10 230 habitants[Note 3], en évolution de +17,13 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,7 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 731 hommes pour 4 728 femmes, soit un taux de 50,02 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Treillières compte trois écoles publiques, Pauline Kergomard (maternelle), Alexandre Vincent (élémentaire) et Joseph Fraud, une école primaire privée, Sainte-Thérèse, ainsi que deux collèges, le Haut-Gesvres (public) et Helder Camara (privé)[32].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 42 664 €, ce qui plaçait Treillières au 1 424e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[33].
Culture et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine architectural
[modifier | modifier le code]Monuments civils
[modifier | modifier le code]- Villages de Garambeau et de la Ménardais (maisons en granit)
- Moulin de Launais et autres moulins restaurés.
- Le château de Gesvres (XVIIe siècle), maison seigneuriale, bâti par César de Renouard, trésorier général des États de Bretagne[34].
- Le château du Haut-Gesvres (1836)[35].
- Autres châteaux XIXe : Fayau, Champaux, La Louinière, la Rivière.
- Traces de la voie romaine Nantes à Brest à La Guitonnais.
- Fours à pain à Garambeau.
- Rives du ruisseau de Gesvres
- Points de vue des crêtes sur le bocage.
-
Château de Gesvres
-
Château de la Rivière ou du Haut-Gesvres
-
Château de la Louinière
-
Château de Champeau
Monuments religieux
[modifier | modifier le code]- La fontaine Saint-Symphorien (Ve siècle). Elle est actuellement enserrée dans un terrain privé.
- L'église Saint-Symphorien restaurée 1836 néo-classique. Clocher « en poire » rare.
- La chapelle Notre-Dame des Dons (et son if pluriséculaire), ancien lieu de pèlerinage, restaurée XVe siècle.
Cette chapelle dont l'origine remonte au XIVe siècle, fut totalement reconstruite en 1460 par le duc François II.
Avec sa femme Marguerite de Foix il vint y faire des dévotions en 1472 pour obtenir une postérité : sa fille Anne de Bretagne naquit 4 ans plus tard et y vint elle-même en février 1489, quelques jours avant de devenir duchesse de Bretagne (). Elle y revint également en novembre 1498, peu de temps avant son mariage avec Louis XII. En 1838, la chapelle fut placée par erreur dans le cadastre sur les terres du propriétaire du Château de Gesvres, Joseph Guillet de la Brosse, qui refusa néanmoins d'en assurer l'entretien, allant même jusqu'à commencer sa démolition pour en récupérer les matériaux à des fins personnels. Elle tomba alors en ruine jusqu'à ce qu'elle fut restaurée dans les années 1980 par des catholiques sédévacantistes, qui l'utilisent encore aujourd'hui[34],[36]. - La chapelle de La Louinière.
- Croix des quatre communes.
Associations sportives (au sens de l'annuaire des associations du site de la mairie)
[modifier | modifier le code]- Club de Touch rugby avec section enfant (TKT), section féminine (Trollinettes) et section mixte (TMT).
- Club de Rugby à XV Stade Treilliérain.
- Équipe de Basket-ball Treillières Basket Club.
- Équipe de Handball Handball Club de Gesvres (HBCG).
- Équipe de Football Sympho-Foot Treillières.
- Équipe de Volley-ball Sympho Volley-ball Treillières.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement : |
Logo
[modifier | modifier le code]La mairie de Treillières s'est dotée d'un logo[37].
Personnalités liées
[modifier | modifier le code]- Edmond Doré-Graslin (1820-1899), homme politique ;
- Eugène Guillet de La Brosse (1857-1939), industriel, propriétaire du château de Gesvres ;
- Gisèle Giraudeau (1923-2017), résistante et déportée de la Seconde guerre mondiale ;
- Paul Beaurepaire (2001), acteur.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Treillières. L’extension du parc d’activités de Ragon est en cours », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Treillières et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Treillières », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Treillières ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nantes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 35.
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- Histoire de Treillières, site de la mairie de Treillières
- Registres paroissiaux 1567-1801, p. 19.
- « Le nouveau conseil municipal est installé depuis vendredi », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Treillières. La Ville rend hommage à ses anciens maires », Ouest-France, (lire en ligne).
- Le Château du Haut-Gesvres
- « Treillières. André Dubigeon, maire de 1959 à 1970 », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Treillières. Raymond Civet, maire de 1970 à 1983 », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Treillières. Jean-Paul Aubin, maire de 1983 à 2001 », Ouest-France, (lire en ligne)
- « Disparition de Jean-Paul Aubin, ancien maire », Ouest-France, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Treillières (44209) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Communauté de Communes d'Erdre & Gesvres, « Établissements scolaires », sur Site Internet Treillieres (consulté le ).
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Le château de Gesvres
- Le domaine de Haut-Gesvres
- Chapelle Notre-Dame des Dons
- « Logo de Treillières », sur un site inconnu (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Treillières, un village au Pays Nantais, 1800 à 1945, Jean Bourgeon, Éditions Coiffard
- Treillières, La vie est dans le pré, Des origines à la Révolution, Jean Bourgeon, Éditions Coiffard
Internet
[modifier | modifier le code]- « Registres de 1567 à 1801 », sur Archives départementales de Loire-Atlantique
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :