Scarface, ou le fantasme du paradisAvec Scarface, Brian De Palma prend le contre-pied de la production hollywoodienne des années 80. Le film est une entreprise de déconstruction hyperbolique du self-made man. De Palma a recours à un décor et une scénographie qui métaphorisent la volonté de puissance qu'engendre l'ambition de Tony Montana. Ce sont ces métaphores cinématographiques que se propose d'analyser Arnaud Labombarda dans cet ouvrage. |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
adversaires Babylon baroque Brian De Palma bureau de Lopez c’est cadre caméra cercle cinématographique codes Colombiens cubain d’abord d’ailleurs d’autre d’Elvira d’enfant d’être d’un d’une décor Elvira encercle esthétique film noir fin du film Floride Franck Lopez gangster gangsters Gina Hawks hollywoodien incarne ironique Jimmy Carter jusqu’à kitsch l’argent l’arrière-plan l’échec l’énergie l’enfant l’enfermement l’entrée l’époque l’espace l’esthétique l’histoire l’homme l’illusion l’image l’impression l’œuvre l’on l’ordre l’univers Laurent Jullier ligne brisée Little Havana Lopez et Montana malfrat Mark Robson métaphorique Miami miroir mise en abyme monde montre motif mouvement circulaire mythe n’est Oliver Stone Palma utilise patron Paul Muni paysage pègre personnage plan plan-séquence policiers politique publicitaire qu’elle qu’il qu’un réalisateur récit reflet regard représentation restaurant Little rêve américain révèle s’agit s’est s’il s’oppose salle de bain Scarface scénographie Scorsese situation snack Sosa spectateur stylistiques Suarez suite du film symbole symbolise Tony et Manny Tony Montana travelling tronçonneuse univers vision