Kinuyo Tanaka
Kinuyo Tanaka (
Naissance |
Shimonoseki (Japon) |
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Nationalité | Japonaise |
Décès |
(à 67 ans) Tokyo (Japon) |
Profession |
Actrice réalisatrice |
Films notables |
Mon amie et mon épouse Miss Oyu La Vie d'O'Haru femme galante L'Intendant Sansho La Ballade de Narayama Sandakan N° 8 |
Considérée comme l'une des plus grandes actrices japonaises, Kinuyo Tanaka apparaît dans plus de 250 films et sa carrière court sur un demi-siècle. Elle fait ses débuts d'actrice à la Shōchiku en 1924 à l'âge de quatorze ans et devient rapidement une vedette du cinéma muet. En 1931, elle se retrouve à l'affiche de Mon amie et mon épouse (マダムと
Elle tourne avec certains des plus grands cinéastes japonais de son temps : Yasujirō Ozu, Mikio Naruse, Heinosuke Gosho, Hiroshi Shimizu ou encore Keisuke Kinoshita. Sa collaboration riche de quinze films en particulier avec Kenji Mizoguchi, qui lui confie des rôles de femmes engagées à la personnalité complexe, lui vaut une reconnaissance internationale dans les années 1950. À partir des années 1960, sa carrière déclinant, elle se tourne principalement vers la télévision et ne fait plus que des apparitions dans des seconds rôles au cinéma, jusqu'à un retour triomphal en 1974 dans Sandakan no 8 (サンダカン
Seconde femme japonaise à passer derrière la caméra avec Lettre d'amour (
En 1985, moins de huit ans après sa mort, le prix Kinuyo Tanaka, qui récompense chaque année une actrice pour l'ensemble de sa carrière, est créé dans le cadre des prix du film Mainichi et un musée consacré à l'actrice-réalisatrice ouvre ses portes dans sa ville natale de Shimonoseki en 2010.
Biographie
modifierL'enfance et les débuts au cinéma
modifierKinuyo Tanaka naît en 1909 à Shimonoseki au sud-ouest du Japon dans la préfecture de Yamaguchi, au sein d'une riche famille de négociants[1],[2]. Elle est la plus jeune d'une fratrie de huit enfants[3],[4]. Son père meurt de maladie en [3],[5]. Cinq ans plus tard, les affaires familiales ayant fait faillite, sa mère prend la décision de quitter Shimonoseki avec cinq de ses enfants pour s'installer à Osaka chez son frère, l'oncle de Kinuyo[1],[2]. C'est là qu'elle apprend le biwa alors qu'elle est encore à l'école primaire[1]. À dix ans, elle est surprise en train de lire une partition pendant les cours. Son instituteur la punit en la forçant à rester debout sous la pluie, elle est la risée de ses camarades. Profondément vexée, elle refuse de retourner en classe et quitte l'école avant d'avoir obtenu son certificat de fin d'études primaires[1],[4].
En 1920, elle rejoint la troupe de son professeur de biwa et se produit sur la scène du Rakutenchi (
La période du muet
modifierDès lors, rien n'arrête la jeune comédienne qui, pendant une décennie, tourne dans plus de dix films par an, du milieu des années 1920 jusqu'au milieu des années 1930[8]. Outre Hiroshi Shimizu, qu'elle épouse en 1927[3] — leur mariage ne durera qu'un peu plus d'un an — et avec lequel elle tourne dix-huit films[9], deux autres réalisateurs sauront diriger comme personne la nouvelle égérie de la Shōchiku, il s'agit de Kiyohiko Ushihara et de Yasujirō Ozu[6].
Le premier s'est rendu aux États-Unis en 1926 pour étudier les méthodes de réalisation d'Hollywood et a travaillé sous la direction de Charlie Chaplin[10],[11],[12]. De retour au Japon, il installe Kinuyo Tanaka en partenaire de la star Denmei Suzuki dans des comédies sentimentales urbaines à succès telles que L'Âge de l'émotion (
Le second, Yasujirō Ozu, n'est pas encore le réalisateur internationalement estimé comme celui qui a le mieux dépeint le style de vie traditionnel du Japon[15]. Il est, de ses débuts jusqu'au milieu des années 1930, plutôt reconnu comme un cinéaste à la sensibilité très américanisée, admirateur de réalisateurs américains tels qu'Ernst Lubitsch, King Vidor et William A. Wellman[15]. Yasujirō Ozu fantasme Kinuyo Tanaka en réponse japonaise aux femmes fatales hollywoodiennes[6]. Il tourne avec elle sept films muets, de J'ai été diplômé, mais... (
En 1929, Kinuyo Tanaka atteint le statut de kanbu (actrice principale dans des petites productions)[16], elle est alors âgée de dix-neuf ans, puis celui de daikanbu, le plus haut rang qu'une actrice puisse atteindre dans l'industrie du cinéma, à l'âge de vingt-cinq ans[17]. Elle est alors envisagée en jeune femme moderne et émancipée, figure régulière des gendaigeki des années 1920 et 1930[18].
La transition vers le parlant
modifierLa rencontre avec Heinosuke Gosho est décisive, leur collaboration a commencé sur le film Les Gens du quartier (
En 1931, Heinosuke Gosho réalise Mon amie et mon épouse (マダムと
Kinuyo Tanaka tourne dans un autre film parlant réalisé par Heinosuke Gosho où la voix joue un rôle primordial, Les Rêves de la jeune fille mariée (
Notons deux autres films d'importance de cette période charnière : La Danseuse d'Izu (
Avec la généralisation du parlant, la Shōchiku quitte ses studios de Kamata à Tokyo en 1936 pour s'installer à Ōfuna (ja) dans la préfecture de Kanagawa, car il faut des studios plus grands et plus calmes pour les prises de son[26]. Les principales stars féminines de la Shōchiku sont alors Kinoyo Tanaka, Hiroko Kawasaki, Michiko Oikawa, Michiko Kuwano, Kuniko Miyake, Mieko Takamine et Michiyo Kogure[26].
Kinuyo Tanaka quant à elle déménage à Kamakura dans une maison proche des nouveaux studios. Elle héberge la toute jeune actrice Hideko Takamine, alors âgée de douze ans, pendant la durée du tournage du film en deux parties dont elles partagent l'affiche : Le Nouveau Chemin : Akemi (
Les années de guerre : 1937-1945
modifierAu cours des années 1930, l'actrice est si populaire que son prénom figure sur plusieurs titres de films : L'Histoire de Kinoyo (
En 1938, elle interprète, dans La Mère et l'enfant (
En 1937 a commencé la seconde guerre sino-japonaise et le est mise en application au Japon la loi sur le cinéma qui vise à placer toute la création cinématographique sous le contrôle du gouvernement[29]. Kinuyo Tanaka n'échappe pas au cinéma de propagande et la voilà propulsée dans différents haha-mono (litt. « films de mamans »), destinés à consoler les mères qui voient leurs fils enrôlés dans l'armée impériale et partir au front[18]. La scène cruciale dans L'Armée (
L'année 1940 marque la date de la première collaboration entre Kinuyo Tanaka et Kenji Mizoguchi[35],[36], arrivé à la Shōchiku l'année précédente[37], dans La Femme de Naniwa (
L'après-guerre
modifierDès 1945, l'armée d'occupation américaine entreprend la démocratisation des médias et de l'industrie cinématographique du Japon[38],[39]. Un bureau spécial est créé, la Section d'information et d'éducation civiques (Civil Information and Education Section ou CI&E) qui compte au nombre de ses tâches l'examen des scénarios nouveaux et le compte rendu des produits achevés[40].
Dans ce contexte, Kinuyo Tanaka interprète le rôle d'une avocate qui défend une mère infanticide dans La Victoire des femmes (
Le , Kinuyo Tanaka part pour un voyage aux États-Unis en ambassadrice de bonne volonté[7],[18],[42],[43]. Elle y rencontre Bette Davis, Joan Crawford, Elizabeth Taylor, John Wayne ou encore Nancy et Ronald Reagan[44]. Cette visite est très commentée au Japon et à sa grande surprise, son séjour américain est très mal perçu par la presse du Japon occupé, d'autant que l'actrice en revient habillée à l'occidentale et gratifie les journalistes d'un « hello » à sa descente d'avion le [44]. Elle se voit affubler du sobriquet de ameshon joyū[note 2] et subit les foudres de l'opinion publique au point, confiera-t-elle, de penser au suicide[44],[45],[27].
Elle décide alors de quitter la Shōchiku, la société de production avec laquelle elle est sous contrat depuis ses débuts en 1924 et avec laquelle elle a tourné dans près de 200 films, pour travailler désormais en indépendante et ainsi avoir la possibilité de choisir les réalisateurs avec qui elle souhaite collaborer[7],[8]. Nous sommes à l'aube des années 1950, la période la plus prospère et la plus glorieuse du cinéma japonais, celle qui marque un nouvel âge d'or de son histoire[41].
L'âge d'or du cinéma japonais des années 1950
modifierDésormais libre de choisir avec qui elle travaille, Kinuyo Tanaka entame, pour la Daiei et la Shintōhō, une impressionnante série de grands films où se conjuguent les talents d'un grand scénariste (Yoshikata Yoda), d'un chef opérateur de génie (Kazuo Miyagawa), d'un immense cinéaste (Kenji Mizoguchi) et de son actrice, avec Miss Oyu (お
L'actrice travaille avec les plus grands réalisateurs de cette période : elle retrouve Yasujirō Ozu dans Les Sœurs Munakata (
En 1958, Keisuke Kinoshita lui offre l'un de ses plus beaux rôles dans La Ballade de Narayama (
Durant les années 1950, la filmographie de Kinuyo Tanaka est vertigineuse tant elle compte d’œuvres majeures du cinéma japonais classique[52].
Le passage à la réalisation
modifierAu début des années 1950, Kinuyo Tanaka envisage de passer de l'autre côté de la caméra. En 1952, elle demande à Mikio Naruse de l'engager comme assistante sur le film Frère aîné, sœur cadette (あにいもうと, Ani imōto ), afin de se perfectionner dans son nouveau métier[52],[56].
En 1953, de retour d'un voyage à Paris, Kenji Mizoguchi refuse à Kinuyo Tanaka de signer une lettre de recommandation d'usage pour qu'elle fasse ses débuts de cinéaste malgré une collaboration riche de quinze films, marquant ainsi la brouille entre Kinuyo et le réalisateur[44]. Mais à l'exception de Kenji Mizoguchi, la plupart des grands réalisateurs apportent leur plein concours à cette nouvelle orientation de carrière[57].
Lorsqu'elle réalise finalement son premier film, Lettre d'amour (
Kinuyo Tanaka est sans aucun doute la première réalisatrice à avoir une carrière commerciale, elle est aussi la seule femme cinéaste active durant l'âge d'or du cinéma japonais des années 1950[28]. Son statut de star donne de la visibilité à ses films et lui permet de travailler, pour cinq d'entre eux, avec les grands studios japonais que sont la Shintōhō, la Nikkatsu, la Daiei et la Tōhō[61]. Seul son dernier film est produit par une société de production indépendante : le Ninjin Club, fondée par les actrices Keiko Kishi, Yoshiko Kuga et Ineko Arima, qui vise à garantir la liberté de travail des acteurs face aux contraintes des grands studios[62],[28].
Pour les six longs métrages qu'elle réalise entre 1953 et 1962, Kinuyo Tanaka s'entoure des plus grands : Keisuke Kinoshita, Yasujirō Ozu ou Natto Wada au scénario, Yoshiko Kuga ou Machiko Kyō dans la distribution[52]. Son cinéma est résolument un cinéma « au féminin », faisant la part belle aux actrices et aux grands sujets[52]. Lettre d'amour (
La fin de carrière
modifierÀ partir des années 1960, la carrière de Kinuyo Tanaka est déclinante. Elle se tourne principalement vers la télévision et ne fait plus que quelques apparitions dans des seconds rôles chez Mikio Naruse dans Chronique de mon vagabondage (
C'est en 1974 qu'elle fait un retour fracassant sur les écrans dans Sandakan N° 8 (サンダカン
La même année, elle joue dans Trois Vieilles Dames (
En 1975 elle fait partie des personnes interviewées dans le documentaire Kenji Mizoguchi ou la vie d'un artiste (ある
Elle apparaît une dernière fois au cinéma dans La Berceuse de la grande terre (
Considérée comme l'une des plus grandes actrices japonaises[75], elle est apparue dans plus de 250 films entre 1924, année de ses débuts, et 1976[8]. Seconde femme cinéaste au Japon, elle a réalisé six films, sortis entre 1953 et 1962[8]. Sa carrière, dont la portée non seulement cinématographique mais aussi culturelle, est encore peu reconnue en Occident et n'a peut-être pas encore été pleinement explorée au Japon[43].
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J'ai été diplômé, mais... (1929).
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L'Histoire de Kinuyo (1930).
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Mon amie et mon épouse (1931).
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La Danseuse d'Izu (1933).
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Okoto et Sasuke (1935).
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Le Nouveau Chemin (1936).
Filmographie
modifierLa filmographie de Kinuyo Tanaka est établie à partir de deux sources, la base de données JMDb[8] d'une part et sa filmographie sur le site du musée Kinuyo Tanaka Bunkakan[76] d'autre part.
Pour les films qui n'apparaissent que sur une seule de ces deux sources, une note a été ajoutée.
Comme actrice au cinéma
modifierAnnées 1920
modifier- 1924 : La Femme de l'ère Genroku (
元禄 女 , Genroku onna ) de Hōtei Nomura - 1924 : Le Pâturage du village (
村 の牧場 , Mura no bokujo ) de Hiroshi Shimizu : Oharu - 1925 : Les Petits Artistes ambulants (
小 さき旅芸人 , Chiisaki tabi geinin ) de Hiroshi Shimizu - 1925 : Le Cri du torrent (
激流 の叫 び, Gekiryū no sakebi ) de Hiroshi Shimizu - 1925 : Un amour intrépide (
勇敢 なる恋 , Yūkan naru koi ) de Yasujirō Shimazu - 1925 : La nature juge (
自然 は裁 く, Shizen wa sabaku ) de Yasujirō Shimazu - 1925 : Cent hommes qui se battent d'un même cœur (
一心寺 の百 人 斬 , Isshin-ji no hyakuningiri ) de Hiroshi Shimizu - 1925 : Le Guerrier tombé (
落武者 , Ochimusha ) de Hiroshi Shimizu - 1925 : Les Liens de l'amour (
恋 の捕縄 , Koi no honawa ) de Hiroshi Shimizu - 1925 : Goiken gomuyō (
御 意見 御 無用 ) de Yoshinobu Ikeda - 1926 : Une époque languissante (
悩 ましき頃 , Nayamashiki koro ) de Hiroshi Shimizu - 1926 : Les Gens du quartier (
街 の人々 , Machi no hitobito ) de Heinosuke Gosho - 1926 : Ara ! Nonki dane (あら!
呑気 だね ) de Yoshinobu Ikeda - 1926 : Un Blanc-bec (お
坊 ちゃん, Obotchan ) de Yasujirō Shimazu - 1926 : Torrent (
奔流 , Honryū ) de Heinosuke Gosho - 1926 : L'Homme trahi (
裏切 られ者 , Uragiraremono ) de Hiroshi Shimizu - 1926 : Koi to ikichi (
恋 と意気地 ) de Takeo Tsutami - 1926 : L'Épée monstrueuse (
妖刀 , Yōtō ) de Hiroshi Shimizu - 1926 : Kara botan (カラボタン ) de Hōtei Nomura
- 1926 : Shimizu no Jirochō (
清水次郎長 全 伝 ) de Jirō Yoshino (ja) - 1926 : Elle (
彼女 , Kanojo ) de Heinosuke Gosho - 1926 : Hiramekuha (
閃 く刃 ) de Tadamoto Ōkubo - 1926 : Umoretaru seishun (
埋 れたる青春 ) de Yoshinobu Ikeda - 1927 : Antō (
暗闘 ) de Torajirō Saitō - 1927 : Chikashitsu (
地下 室 ) de Takeo Tsutami - 1927 : Yatsu no shō man (
奴 の小 万 ) de Tsutomu Shigemune - 1927 : Tennōji no harakiri (
天王寺 の腹切 り ) de Shirō Nakagawa (ja) - 1927 : Takada no baba (
高田 の馬場 ) de Torajirō Saitō - 1927 : Un rêve honteux (
恥 しい夢 , Hazukashii yume ) de Heinosuke Gosho - 1927 : Madō (
魔道 ) de Torajirō Saitō - 1927 : Kokkyō no uta (
国境 の唄 ) de Takeo Tsutami - 1927 : Shinju fujin (
真珠 夫人 ) de Yoshinobu Ikeda - 1927 : Byakkotai (
白虎隊 ) de Hōtei Nomura[note 5] - 1927 : Higan sen-nin zan (
悲願 千 人 斬 ) de Jirō Yoshino (ja) - 1927 : Musasabi no Sankichi (むさゝびの
三吉 ) de Tsutomu Shigemune - 1927 : Yoru no kyōsha (
夜 の強者 ) de Takeo Tsutami - 1927 : Kiso shinchū (
木曾 心中 ) de Jirō Yoshino (ja) - 1928 : Kindai musha shugyō (
近代 武者 修行 ) de Kiyohiko Ushihara - 1928 : Chronique d'un pays marin (
海国 記 , Kaikokuki ) de Teinosuke Kinugasa : Oaki - 1928 : Elle est bien jeune (
若 しも彼女 が, Moshimo kanojo ga ) de Yasujirō Shimazu - 1928 : La Fiancée du village (
村 の花嫁 , Mura no hanayome ) de Heinosuke Gosho : Okinu - 1928 : L'Âge de l'émotion (
感激 時代 , Kangeki jidai ) de Kiyohiko Ushihara - 1928 : Fumetsu no ai (
不滅 の愛 ) de Tsutomu Shigemune - 1928 : Yamato, le bûcheron (
永遠 の心 , Eien no kokoro ) de Keisuke Sasaki - 1928 : Tetsu no shojo (
鉄 の処女 ) de Tadamoto Ōkubo - 1928 : Appare bi danshi (
天 晴 れ美 男子 ) de Torajirō Saitō - 1928 : Une silhouette dans la nuit (
人 の世 の姿 , Hito no yo no sugata ) de Heinosuke Gosho - 1928 : Lui et la campagne (
彼 と田園 , Kare to den'en ) de Kiyohiko Ushihara[note 5] - 1928 : Saikun haigyō (
妻君 廃業 ) de Tadamoto Ōkubo - 1928 : Gokurō-sama (
御 苦労 様 ) de Tadamoto Ōkubo - 1928 : Le Roi de la Terre (
陸 の王者 , Riku no ōja ) de Kiyohiko Ushihara - 1928 : Des années de Showa étincelantes (
輝 く昭和 , Kagayaku Shōwa ) de Yasujirō Shimazu - 1928 : Seishun kōkyōgaku (
青春 交響楽 ) de Hōtei Nomura - 1928 : Mère, ne salis pas ton nom ! (
母 よ君 の名 を汚 す勿れ, Haha-yo kimi no na o kegasu nakare ) de Heinosuke Gosho[note 6] - 1929 : Le Forgeron de la forêt (
森 の鍛冶屋 , Mori no kajiya ) de Hiroshi Shimizu : Omitsu - 1929 : Lions d’Echigo (
越後獅子 , Echigo jishi ) de Yasujirō Shimazu - 1929 : Lui et la vie (
彼 と人生 , Kare to jinsei ) de Kiyohiko Ushihara - 1929 : Une chanson gaie (
陽気 な唄 , Yōkina uta ) de Hiroshi Shimizu[note 6] - 1929 : Hibari naku sato (
雲雀 なく里 ) de Hōtei Nomura[note 5] - 1929 : Daitokai: Rōdō-hen (
大 都会 ・労働 篇 ) de Kiyohiko Ushihara - 1929 : Le Bottin des filles modernes (
新 女性 鑑 , Shin joseikan ) de Heinosuke Gosho - 1929 : Une chanson gaie (
陽気 な唄 , Yōkina uta ) de Hiroshi Shimizu - 1929 : J'ai été diplômé, mais... (
大学 は出 たけれど, Daigaku wa deta keredo ) de Yasujirō Ozu : Machiko Nomoto - 1929 : Yama no gaika (
山 の凱歌 ) de Kiyohiko Ushihara - 1929 : Un père et son fils (
親父 とその子 , Oyaji to sono ko ) de Heinosuke Gosho[note 6]
Années 1930
modifier- 1930 : Tekken seisai (
鉄拳 制裁 ) de Hiromasa Nomura - 1930 : L'armée avance (
進軍 , Shingun ) de Kiyohiko Ushihara : Toshiko Yamamoto - 1930 : Seishun fu (
青春 譜 ) de Yoshinobu Ikeda - 1930 : J'ai été recalé, mais... (
落第 はしたけれど, Rakudai wa shita keredo ) de Yasujirō Ozu - 1930 : Onna wa doko e iku (
女 は何処 へ行 く ) de Tadao Ikeda - 1930 : Une vie souriante (
微笑 む人生 , Hohoemu jinsei ) de Heinosuke Gosho - 1930 : La Grande Forêt (
大森 林 , Dai shinrin ) de Heinosuke Gosho[note 5] - 1930 : Daitokai: Bakuhatsu-hen (
大 都会 ・爆発 篇 ) de Kiyohiko Ushihara - 1930 : Les Gros Bateaux (
巨船 , Kyosen ) de Yasujirō Shimazu - 1930 : L'Histoire de Kinoyo (
絹 代 物語 , Kinuyo monogatari ) de Heinosuke Gosho - 1930 : Journal des passions (
愛慾 の記 , Aiyoku no ki ) de Heinosuke Gosho - 1930 : Wakamono yo naze naku ka (
若者 よなぜ泣 くか ) de Kiyohiko Ushihara - 1930 : Mademoiselle (お
嬢 さん, Ojosan ) de Yasujirō Ozu : Kinuko - 1931 : Amour, sois avec l’humanité (ja) I - II (
愛 よ人類 と共 にあれ, Ai yo jinrui to tomo ni are I - II ) de Yasujirō Shimazu - 1931 : Hogaraka ni nake (
朗 かに泣 け ) de Keisuke Sasaki - 1931 : Shimai (
姉妹 ・前後 篇 ) de Yoshinobu Ikeda - 1931 : Mon amie et mon épouse (マダムと
女房 , Madamu to nyōbō ) de Heinosuke Gosho : la femme du dramaturge - 1931 : Runpen to sono musume (ルンペンとその
娘 ) de Shirō Kido - 1931 : Une affaire de nu (
島 の裸体 事件 , Shima no ratai jiken ) de Heinosuke Gosho[note 5] - 1931 : La Ligne de la vie ABC I - II (
生活 線 ABC, Seikatsu-sen ABC I - II ) de Yasujirō Shimazu : Fujie - 1931 : Junan no onna (
受難 の女 ) de Hōtei Nomura[note 6] - 1932 : Le Démon de l'or (
金色 夜叉 , Konjiki yasha ) de Hōtei Nomura : Kamosawa Miya - 1932 : L’Issue du combat (
勝敗 , Shōhai ) de Yasujirō Shimazu - 1932 : Mon idiot de frère (
兄 さんの馬鹿 , Niisan no baka ) de Heinosuke Gosho : la sœur - 1932 : Les Saules du quartier de Ginza (
銀座 の柳 , Ginza no yanagi ) de Heinosuke Gosho - 1932 : Taiyō wa higashiyori (
太陽 は東 より ) de Sessue Hayakawa - 1932 : Romance de studio - guide de l'amour (
撮影 所 ロマンス・恋愛 案内 , Satsueijo romansu, ren'ai annai ) de Heinosuke Gosho - 1932 : Kagayake Nippon josei (
輝 け日本 女性 ) de Hiromasa Nomura - 1932 : Le Tokyo des amours (
恋 の東京 , Koi no Tōkyō ) de Heinosuke Gosho - 1932 : Où sont les rêves de jeunesse ? (
青春 の夢 いまいづこ, Sheishun no yume imaizuko ) de Yasujirō Ozu : Shigeko - 1932 : Zone de tempête (
暴風 帯 , Bōfūtai ) de Hiroshi Shimizu[note 6] - 1932 : Les 47 Rōnin (ja) (
忠臣蔵 ・前後 篇 , Chūshingura ) de Teinosuke Kinugasa - 1933 : Les Rêves de la jeune fille mariée (
花嫁 の寝言 , Hanayome no negoto ) de Heinosuke Gosho : Haruko, la jeune mariée - 1933 : La Danseuse d'Izu (
恋 の花 咲 く伊豆 の踊子 , Koi no hana saku Izu no odoriko ) de Heinosuke Gosho : Kaoru, la danseuse - 1933 : Une femme de Tokyo (
東京 の女 , Tokyo no onna ) de Yasujirō Ozu : Harue - 1933 : Ōendanchō no koi (
応援 団長 の恋 ) de Hiromasa Nomura - 1933 : Femmes et Voyous (
非常 線 の女 , Hijosen no onna ) de Yasujirō Ozu : Tokiko - 1933 : Seidon (
晴 曇 ) de Hōtei Nomura - 1933 : Kekkon kaidō (
結婚 街道 ) de Tsutomu Shigemune - 1933 : Yomeiri mae (
嫁入 り前 ) de Hiromasa Nomura - 1933 : Chinchōge (
沈丁花 ) de Hōtei Nomura - 1933 : Deux prunelles (
双眸 , Sōbō ) de Mikio Naruse : Yoshiko Hinoto - 1934 : Une mère orientale (
東洋 の母 , Tōyō no haha ) de Hiroshi Shimizu - 1934 : Onna keizu (
婦 系図 ) de Hōtei Nomura : Otsuta - 1934 : Au rythme du printemps (さくら
音頭 , Sakura ondo ) de Heinosuke Gosho - 1934 : Chijō no seiza: Chijō hen (
地上 の星座 前 篇 地上 篇 ) de Hōtei Nomura - 1934 : Chijō no seiza: Seiza hen (
地上 の星座 後 篇 星座 篇 ) de Hōtei Nomura - 1934 : Shinkon ryokō (
新婚 旅行 ) de Hiromasa Nomura - 1934 : Machi no bōfū (
街 の暴風 ) de Hōtei Nomura - 1934 : Osayo amoureuse (お
小夜 恋 姿 , Osayo koi sugata ) de Yasujirō Shimazu : Osayo - 1934 : Sono yoru no onna (その
夜 の女 ) de Yasujirō Shimazu - 1934 : Mon frère aîné (
私 の兄 さん, Watashi no niisan ) de Yasujirō Shimazu : Sumako - 1935 : Une jeune fille pure (
箱 入 娘 , Hakoiri musume ) de Yasujirō Ozu : Oshige - 1935 : Haha no ai (
母 の愛 愛児 編 ・苦闘 編 ) de Yoshinobu Ikeda[note 5] - 1935 : Okoto et Sasuke (
春琴 抄 お琴 と佐助 , Shunkinsho: Okoto to Sasuke ) de Yasujirō Shimazu : Okoto Moyuza/ Shunkin - 1935 : Yume utsuno (
夢 うつゝ ) de Hiromasa Nomura - 1935 : Eikyū no ai (
永久 の愛 ・前後 篇 ) de Yoshinobu Ikeda - 1935 : Au moins ce soir (せめて
今宵 を, Semete koyoi ) de Yasujirō Shimazu - 1935 : Le Fardeau de la vie (
人生 のお荷物 , Jinsei no onimotsu ) de Heinosuke Gosho : Itsuko Kuriyama - 1935 : Comparaison de belles-filles (
花嫁 くらべ, Hanayome kurabe ) de Yasujirō Shimazu - 1936 : Onatsu Seijūrō (お
夏 清 十郎 ) de Minoru Inuzuka - 1936 : Hommes contre femmes (
男性 対 女性 , Dansei tai josei ) de Yasujirō Shimazu : Tokiko - 1936 : Le Nouveau Chemin : Akemi (
新道 ・朱実 の巻 , Shindo: Akemi no maki ) de Heinosuke Gosho : Akemi Munekata - 1936 : Le Nouveau Chemin : Ryota (
新道 ・良太 の巻 , Shindo: Ryota no maki ) de Heinosuke Gosho : Akemi Munekata - 1936 : Waga haha no sho (わが
母 の書 ) de Yoshinobu Ikeda - 1937 : La Chanson du panier à fleur (
花 籠 の歌 , Hanakago no uta ) de Heinosuke Gosho : Yoko Mori - 1937 : Docteur Kinuyo (
女医 絹 代 先生 , Joi Kinuyo sensei ) de Hiromasa Nomura : Kinuyo Yamaoka - 1937 : Otoko no tsugunai (
男 の償 ひ前 篇 ・後 篇 ) de Hiromasa Nomura - 1937 : Banchō sarayashiki (
番 町 皿 屋敷 ) de Taizō Fuyushima (ja) - 1937 : Akatsuki wa tōkere do (
暁 は遠 けれど ) de Yasushi Sasaki - 1938 : La jeune fille qui fredonne (
鼻唄 お嬢 さん, Hanauta ojōsan ) de Minoru Shibuya - 1938 : Départ (
出発 , Shuppatsu ) de Hiroshi Shimizu - 1938 : La Mère et l'Enfant (
母 と子 , Haha to ko ) de Minoru Shibuya : Chieko Kudo - 1938 : Katsura, l'arbre de l'amour (
愛染 かつら・前後 篇 , Aizen katsura ) de Hiromasa Nomura : Katsue Takaishi - 1938 : Haha no uta (
母 の歌 ・前後 篇 ) de Yasushi Sasaki - 1938 : Shinshaku Tōnin Okichi (
新釈 ・唐人 お吉 焚身篇 ) de Minoru Inuzuka - 1939 : La Détermination d’Okayo (お
加 代 の覚悟 , Okayo no kakugo ) de Yasujirō Shimazu : Okayo - 1939 : Vent du sud (
南風 , Minamikaze ) de Minoru Shibuya : Kikuko Daisai - 1939 : Shunrai (
春雷 ・前後 篇 ) de Keisuke Sasaki - 1939 : Zoku aizen katsura (
続 ・愛染 かつら ) de Hiromasa Nomura : Katsue Takaishi - 1939 : Des mauvaises herbes avec des fleurs (
花 のある雑草 , Hana no aru zassō ) de Hiroshi Shimizu - 1939 : Les fruits du mûrier sont écarlates (
桑 の実 は紅 い, Kuwa no mi wa akai ) de Hiroshi Shimizu - 1939 : Aizen katsura: Kanketsu-hen (
愛染 かつら完結 篇 ) de Hiromasa Nomura : Katsue Takaishi
Années 1940
modifier-
Pour une épingle à cheveux (1941)
-
Cinq Femmes autour d'Utamaro (1946)
-
L'Amour de l'actrice Sumako (1947)
-
Femmes de la nuit (1948)
-
Le Fard de Ginza (1951)
- 1940 : Aizome Tsubaki (
愛染 椿 ) de Yasushi Sasaki - 1940 : J'ai un mari (
私 には夫 がある, Watashi ni wa otto ga aru ) de Hiroshi Shimizu - 1940 : Kinuyo no hatsukoi (
絹 代 の初恋 ) de Hiromasa Nomura : Kinuyo Miyoshi - 1940 : Akatsuki ni inoru (
暁 に祈 る ) de Yasushi Sasaki - 1940 : La Résolution de la femme I (
女性 の覚悟 第 一部 純情 の花 , Josei no kakugo: Junjō no hana ) de Minoru Shibuya et Kenkichi Hara - 1940 : La Résolution de la femme II (
女性 の覚悟 第 二 部 犠牲 の歌 , Josei no kakugo: Gisei no uta ) de Minoru Shibuya et Kenkichi Hara - 1940 : La Femme de Naniwa (
浪花 女 , Naniwa onna ) de Kenji Mizoguchi : Ochika - 1940 : Butai sugata (
舞台 姿 ) de Hiromasa Nomura - 1940 : Okinu to bantō (お
絹 と番頭 ) de Hiromasa Nomura - 1941 : Dix jours dans une vie (
十 日間 の人生 , Tōkakan no jinsei ) de Minoru Shibuya - 1941 : Genki de ikōyo (
元気 で行 かうよ ) de Hiromasa Nomura - 1941 : Fleurs (
花 ・前後 篇 , Hana ) de Kōzaburō Yoshimura - 1941 : Pour une épingle à cheveux (
簪 , Kanzashi ) de Hiroshi Shimizu : Emi - 1941 : Journal d'une femme médecin (
女医 の記録 , Joi no kiroku ) de Hiroshi Shimizu : l'infirmière Natsuki - 1942 : La Famille (
家族 , Kazoku ) de Minoru Shibuya - 1942 : Nippon no haha (
日本 の母 ) de Kenkichi Hara - 1942 : Une femme (
或 る女 , Aru onna ) de Minoru Shibuya : Oshige - 1943 : Nuit de veille avant le début de la guerre (
開戦 の前夜 , Kaisen no zenya ) de Kōzaburō Yoshimura - 1943 : Bombardements d'avions ennemis (
敵 機 空襲 , Tekki kūshū ) de Minoru Shibuya, Hiromasa Nomura et Kōzaburō Yoshimura - 1943 : Le blanc-bec entre en scène (
坊 ちゃん土俵入 り, Bōchan dohyōiri ) de Masahiro Makino Kyōtarō Namiki et Torahiko Ise - 1944 : Trois Générations de Danjurō (
団 十郎 三 代 , Danjurō sandai ) de Kenji Mizoguchi : Okano - 1944 : Kaette kita otoko (
還 って来 た男 ) de Yūzō Kawashima : Hatsue Kotani - 1944 : L'Armée (
陸軍 , Rikugun ) de Keisuke Kinoshita - 1944 : L'Histoire de Musashi Miyamoto (
宮本 武蔵 , Miyamoto Musashi ) de Kenji Mizoguchi : Shinobu Nonomiya - 1945 : Le Chant de la victoire (
必勝 歌 , Hisshō ka ) de Kenji Mizoguchi, Masahiro Makino, Hiroshi Shimizu et Tomotaka Tasaka - 1945 : Histoire de l'arc au temple de Sanjusangendo (
三 十 三 間 堂 通 し矢 物語 , Sanjūsangendō tōshiya monogatari ) de Mikio Naruse : Okinu - 1946 : Nikoniko taikai uta no hanakago (ニコニコ
大会 歌 の花 籠 第 一 篇 ) de Hideo Ōba - 1946 : Kanojo no hatsugen (
彼女 の発言 ) de Hiromasa Nomura - 1946 : La Victoire des femmes (
女性 の勝利 , Josei no shōri ) de Kenji Mizoguchi : Hiroko Hosokawa - 1946 : Cinq Femmes autour d'Utamaro (
歌麿 をめぐる五 人 の女 , Utamaro o meguru gonin no onna ) de Kenji Mizoguchi : Okita - 1947 : Le Mariage (
結婚 , Kekkon ) de Keisuke Kinoshita : Fumie Matsukawa - 1947 : L'Amour de l'actrice Sumako (
女優 須磨子 の恋 , Joyū Sumako no koi ) de Kenji Mizoguchi : Sumako Matsui - 1947 : Le Phénix (
不死鳥 , Fushichō ) de Keisuke Kinoshita : Sayoko Aihara - 1948 : Femmes de la nuit (
夜 の女 たち, Yoru no onnatachi ) de Kenji Mizoguchi : Fusako Owada - 1948 : Une poule dans le vent (
風 の中 の牝鶏 , Kaze no naka no mendori ) de Yasujirō Ozu : Tokiko Amamiya - 1949 : Flamme de mon amour (
我 が恋 は燃 えぬ, Waga koi wa moenu ) de Kenji Mizoguchi : Eiko Hirayama - 1949 : Le Fantôme de Yotsuya (
新釈 四谷 怪談 前 篇 , Shinshaku Yotsuya kaidan: Zenpen ) de Keisuke Kinoshita : Oiwa/ Osode - 1949 : Le Fantôme de Yotsuya II (
新釈 四谷 怪談 後 篇 , Shinshaku Yotsuya kaidan: Kōhen ) de Keisuke Kinoshita : Oiwa/ Osode - 1949 : Danse dans l'après-midi (
真昼 の円舞曲 , Mahiru no embukyoku ) de Kōzaburō Yoshimura : Tsuruyo Amemiya
Années 1950
modifier- 1950 : L'Anneau de fiançailles (ja) (
婚約 指 環 , Konyaku yubiwa ) de Keisuke Kinoshita : Noriko Kuki - 1950 : Les Sœurs Munakata (
宗方 姉妹 , Munakata kyōdai ) de Yasujirō Ozu : Setsuko Munekata - 1950 : Okusama ni goyōjin (
奥様 に御 用心 ) de Noboru Nakamura - 1951 : Le Palanquin mystérieux (おぼろ
駕 籠 , Oborokago ) de Daisuke Itō - 1951 : Le Fard de Ginza (
銀座 化粧 , Ginza keshō ) de Mikio Naruse : Yukiko Tsuji - 1951 : Miss Oyu (お
遊 さま, Oyū-sama ) de Kenji Mizoguchi : Oyū Kayukawa - 1951 : Yoru no mibōjin (
夜 の未亡人 ) de Kōji Shima - 1951 : La Dame de Musashino (
武蔵野 夫人 , Musashino fujin ) de Kenji Mizoguchi : Michiko Akiyama - 1951 : Aizen-kyō (
愛染橋 ) d'Akira Nobuchi - 1951 : Les Cahiers Inazuma (
稲妻 草紙 , Inazuma sōshi ) de Hiroshi Inagaki : Oyuki - 1952 : La Vie d'O'Haru femme galante (
西鶴 一 代 女 , Saikaku ichidai onna ) de Kenji Mizoguchi : O'Haru - 1952 : Les Sœurs de Nishijin (
西陣 の姉妹 , Nishijin no shimai ) de Kōzaburō Yoshimura : Someka - 1952 : Atakake no hitobito (
安宅 家 の人々 ) de Seiji Hisamatsu - 1952 : La Mère (おかあさん, Okaasan ) de Mikio Naruse : Masako Fukuhara, la mère
- 1952 : Himitsu (
秘密 ) de Seiji Hisamatsu - 1953 : Le Cœur sincère (まごころ, Magokoro ) de Masaki Kobayashi : Kuniko Ariga
- 1953 : Là d'où l'on voit les cheminées (
煙突 の見 える場所 , Entotsu no mieru basho ) de Heinosuke Gosho : Hiroko Ogata - 1953 : Les Contes de la lune vague après la pluie (
雨月物語 , Ugetsu monogatari ) de Kenji Mizoguchi : Miyagi - 1953 : Shinsho Taikōki (
新書 太閤 記 ・流転 日 吉丸 ) de Ryō Hagiwara - 1953 : Le Trône du maître de nô (
獅子 の座 , Shishi no za ) de Daisuke Itō : Hisa Hōshō - 1953 : Lettre d'amour (
恋文 , Koibumi ) de Kinuyo Tanaka : une cliente de Naoto Yamaji - 1954 : L'Intendant Sansho (
山椒 大夫 , Sanshō dayū ) de Kenji Mizoguchi : Tamaki - 1954 : Calendrier de femmes (
女 の暦 , Onna no koyomi ) de Seiji Hisamatsu - 1954 : Une femme dont on parle (
噂 の女 , Uwasa no onna ) de Kenji Mizoguchi : Hatsuko Mabuchi - 1955 : La lune s'est levée (
月 は上 りぬ, Tsuki wa noborinu ) de Kinuyo Tanaka : Yoneya - 1955 : Wataridori itsu kaeru (
渡 り鳥 いつ帰 る ) de Seiji Hisamatsu - 1955 : Shōnen shikeishū (
少年 死刑 囚 ) de Ren Yoshimura - 1955 : Tsukiyo no kasa (
月夜 の傘 ) de Seiji Hisamatsu - 1955 : Le Maître d'échecs (ja) (
王将 一 代 , Osho ichidai ) de Daisuke Itō : Koharu Sakata - 1955 : Maternité éternelle (
乳房 よ永遠 なれ, Chibusa yo eien nare ) de Kinuyo Tanaka : la femme du voisin - 1956 : Confession amoureuse (
色 ざんげ, Iro zange ) de Yutaka Abe : Oyae - 1956 : Zakkyo kazoku (
雑居 家族 ) de Seiji Hisamatsu - 1956 : Aya ni ai shiki (あやに
愛 しき ) de Jūkichi Uno - 1956 : Jōshū to tomo ni (
女囚 と共 に ) de Seiji Hisamatsu : Takehara - 1956 : Arachi (
嵐 ) de Hiroshi Inagaki : Otoku - 1956 : Au gré du courant (
流 れる, Nagareru ) de Mikio Naruse : Rika Yamanaka/ Oharu - 1957 : Le Corbeau jaune (
黄色 いからす, Kiiroi karasu ) de Heinosuke Gosho : Yukiko Matsumoto - 1957 : Les Demi-frères (
異母 兄弟 , Ibo kyōdai ) de Miyoji Ieki : Rie - 1957 : La Geisha du vieux quartier (
太夫 さんより女体 は哀 しく, Kottai-san yori: Nyotai wa kanashiku ) de Hiroshi Inagaki : Oei - 1957 : Sur la terre (
地上 , Chijo ) de Kōzaburō Yoshimura : Omitsu - 1958 : La tristesse est aux femmes (
悲 しみは女 だけに, Kanashimi wa onna dakeni ) de Kaneto Shindō : Hideyo - 1958 : La Ballade de Narayama (
楢山節考 , Narayama bushiko ) de Keisuke Kinoshita : Orin - 1958 : Fleurs d'équinoxe (
彼岸花 , Higanbana ) de Yasujirō Ozu : Kiyoko Hirayama - 1958 : L'Arc-en-ciel éternel (この
天 の虹 , Kono ten no niji ) de Keisuke Kinoshita : Fumi Kageyama - 1959 : Hahakogusa (
母子草 ) de Sō Yamamura : Shige Ozawa - 1959 : Subarashiki musumetachi (
素晴 らしき娘 たち ) de Miyoji Ieki - 1959 : Taiyō ni somuku mono (
太陽 に背 く者 ) de Tatsuo Sakai - 1959 : Une histoire d'amour de Naniwa (
浪花 の恋 の物語 , Naniwa no koi no monogatari ) de Tomu Uchida : Myokan Kameya - 1959 : La Naissance du Japon (
日本 誕生 , Nippon tanjō ) de Hiroshi Inagaki : la princesse Yamato
Années 1960
modifier- 1960 : Tendre et folle adolescence (おとうと, Otōto ) de Kon Ichikawa : la mère
- 1961 : Wakarete ikiru toki mo (
別 れて生 きるときも ) de Hiromichi Horikawa : la mère de Michi - 1962 : Chronique de mon vagabondage (
放浪 記 , Hōrōki ) de Mikio Naruse : Kishi, la mère de Fumiko - 1962 : Tateshi Danpei (
殺陣師 段平 ) de Shunkai Mizuho (ja) - 1962 : Kā-chan nagaiki shitene (かあちゃん
長生 きしてね ) de Yoshirō Kawazu - 1963 : Kekkonshiki kekkonshiki (
結婚式 ・結婚式 ) de Noboru Nakamura : Masa - 1963 : La Légende du combat à mort (ja) (
死闘 の伝説 , Shitō no densetsu ) de Keisuke Kinoshita : Shizuko Sonobe - 1963 : Seul sur l'océan Pacifique (
太平洋 ひとりぼっち, Taiheiyō hitori-botchi ) de Kon Ichikawa - 1963 : La Mer étincelante (
光 る海 , Hikaru umi ) de Kō Nakahira : Nobuko Yazaki - 1964 : Le Parfum de l'encens (
香華 , Kōge ) de Keisuke Kinoshita : Tsuna[note 5] - 1964 : Kono sora no aru kagiri (この
空 のある限 り ) de Hideo Sakurai - 1965 : Haha no saigetsu (
母 の歳月 ) de Junzō Mizukawa[note 5] - 1965 : Barberousse (
赤 ひげ, Akahige ) d'Akira Kurosawa : Madame Yasumoto, la mère de Noboru
Années 1970
modifier- 1972 : C'est dur d'être un homme : Rêve éveillé (
男 はつらいよ寅次郎 夢枕 , Otoko wa tsurai yo: Torajirō yumemakura ) de Yōji Yamada : la dame de bonne famille - 1974 : Trois Vieilles Dames (
三 婆 , Sanbaba ) de Noboru Nakamura : Taki Takeichi - 1974 : Sandakan N° 8 (サンダカン
八 番 娼館望郷 , Sandakan hachibanshōkan bōkyō ) de Kei Kumai : Osaki Yamakawa âgée - 1975 : Ore no iku michi (おれの
行 く道 ) de Shigeyuki Yamane : Kiku Sasaki - 1975 : Kenji Mizoguchi ou la vie d'un artiste (ある
映画 監督 の生涯 溝口 健二 の記録 , Aru eiga-kantoku no shōgai Mizoguchi Kenji no kiroku ) de Kaneto Shindō (documentaire) : elle-même - 1976 : Le Cap du nord (
北 の岬 , Kita no misaki ) de Kei Kumai : une nonne - 1976 : La Berceuse de la grande terre (
大地 の子守 唄 , Daichi no komoriuta ) de Yasuzō Masumura : la femme qui offre du riz
Comme actrice à la télévision
modifierLa filmographie de Kinuyo Tanaka à la télévision est établie à partir de sa filmographie sur le site du musée Kinuyo Tanaka Bunkakan[76].
- 1965-1966 : Futari no hoshi (
桃太郎 侍 ) (série télévisée de 26 épisodes) - 1967-1968 : Momotarō-zamurai (
桃太郎 侍 ) (série télévisée de 26 épisodes) - 1970 : Momi no ki wa nokotta (
樅ノ木 は残 った ) (série télévisée de 52 épisodes) - 1970 : Asu no shiawase (
明日 のしあわせ ) (série télévisée) - 1971 : Nyonin Heike (
女人 平家 ) - 1973 : Tatta hitori no hanran (たった
一人 の反乱 ) - 1974 : Jāne (じゃあね )
- 1974 : Rin rin to (りんりんと )
- 1975-1977 : Zenryaku ofukurosama (
前略 おふくろ様 ) : la mère de Sabu[77] (série télévisée) - 1975 : Sanjū nen-me no joya no kane (
三 十 年 目 の除夜 の鐘 ) - 1976 : Maboroshi no machi (
幻 の町 ) - 1976 : Sekishun no uta (
惜春 の歌 ) - 1976 : Kumo no jūtan (
雲 のじゅうたん ) : narratrice
Comme réalisatrice
modifier- 1953 : Lettre d'amour (
恋文 , Koibumi ) - 1955 : La lune s'est levée (
月 は昇 りぬ, Tsuki wa noborinu )[note 7] - 1955 : Maternité éternelle (
乳房 よ永遠 なれ, Chibusa yo eien nare )[note 8] - 1960 : La Princesse errante (
流転 の王妃 , Ruten no ōhi ) - 1961 : La Nuit des femmes (
女 ばかりの夜 , Onna bakari no yoru )[note 9] - 1962 : Mademoiselle Ogin (お
吟 さま, Ogin-sama )[note 10]
Distinctions
modifierSauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
Décorations
modifier- Récipiendaire de la médaille au ruban pourpre en 1970
- Récipiendaire à titre posthume de l'ordre du Trésor sacré en 1977[74]
Récompenses
modifier- Berlinale 1975 : Ours d'argent de la meilleure actrice, pour Sandakan N° 8[68]
- Prix du film Mainichi de la meilleure actrice :
- en 1948, pour Le Mariage, L'Amour de l'actrice Sumako et Le Phénix[78]
- en 1949, pour Femmes de la nuit et Une poule dans le vent[79]
- en 1975, pour Sandakan N° 8 et Trois Vieilles Dames[69]
- Prix du film Mainichi du meilleur second rôle féminin :
- en 1958, pour Les Demi-frères, Sur la terre et La Geisha du vieux quartier[80]
- en 1961, pour Tendre et folle adolescence[81]
- Prix Kinema Junpō de la meilleure actrice :
- en 1959, pour La Ballade de Narayama[82]
- en 1975, pour Sandakan N° 8[83]
Sélection
modifier- Festival de Cannes 1954 : en compétition officielle pour Lettre d'amour[84]
Postérité
modifierPrix Kinuyo Tanaka
modifierEn 1985, moins de huit ans après la mort de l'actrice-réalisatrice, un prix Kinuyo Tanaka est créé, dans le cadre des prix du film Mainichi, sur l'initiative du réalisateur Masaki Kobayashi[85],[note 11]. Il récompense chaque année une actrice pour l'ensemble de sa carrière[52],[72]. Sayuri Yoshinaga est la première à recevoir ce prix en 1986, un an avant d'interpréter le rôle de Kinuyo Tanaka dans le film L'Actrice, le biopic que Kon Ichikawa lui consacre. Parmi les récipiendaires du prix « Kinuyo Tanaka » on trouve notamment Chieko Baishō (1987), Shima Iwashita (1989), Keiko Kishi (1991), Yoshiko Kuga (1995), Chikage Awashima (1998), Keiko Awaji (2005), Ayako Wakao (2006), Mitsuko Kusabue (2007) ou encore Mariko Kaga (2013)[85].
Musées et rétrospectives
modifierEn 1971, le National Film Center consacre une exposition à Kinuyo Tanaka, peu après son ouverture[86].
Une rétrospective « Hommage à Kinuyo Tanaka » est organisée à la Cinémathèque française, avec le concours de la Fondation du Japon et du Kawakita Memorial Film Institute de mars à comprenant cinquante films[87].
En 2009, le National Film Center, alors rattaché au Musée national d'Art moderne de Tokyo[note 12], organise, en commémoration du centenaire de la naissance de Kinuyo Tanaka, une vaste rétrospective consacrée à l'actrice du au , incluant les films qu'elle a réalisés ainsi que des films muets dans lesquels elle apparaît[88]. En parallèle, le musée lui consacre une exposition du au [86].
En 2010, un musée consacré à Kinuyo Tanaka ouvre ses portes dans sa ville natale de Shimonoseki, le Kinuyo Tanaka Bunkakan (
Le Festival international du film de Leeds (en) organise du au une rétrospective consacrée à Kinuyo Tanaka au cinéma Hyde Park Picture House de Leeds, et l'Université de Leeds propose en parallèle, le , une série de conférences autour de l'actrice et réalisatrice[90],[91].
La 73e édition du festival international du film de Locarno devant se dérouler du 5 au prévoyait dans sa programmation la présentation intégrale de la filmographie de Kinuyo Tanaka en tant que réalisatrice et une sélection de films dans lesquels elle apparaît comme actrice. Selon Lili Hinstin, directrice artistique du festival international du film de Locarno : « C’est la première fois que le festival consacre sa rétrospective à l’œuvre d’une cinéaste et cela en 73 ans[92]. » Pour cause de pandémie de Covid-19, cette édition du festival n'a pas physiquement lieu[93].
Cette rétrospective des six films de la réalisatrice se déroule finalement lors du Festival Lumière de Lyon, dans le cadre du cycle « Histoire permanente des femmes cinéastes », du au , en collaboration avec Carlotta Films et Lili Hinstin[94]. La rétrospective est suivie par une sortie cinéma des six films en par Carlotta Films[95].
Cinéma
modifierEn 1986 Yōji Yamada réalise pour la Shōchiku Prise finale (キネマの
En 1987, le cinéaste Kon Ichikawa réalise L'Actrice (
Documentaires
modifierEn 2009, Koko Kajiyama réalise The Travels of Kinuyo Tanaka, un documentaire composé d'images d'archive consacré au voyage de trois mois que l'actrice a effectué aux États-Unis du au en tant qu'ambassadrice de bonne volonté[101],[102],[103].
En 2022, à l'occasion de la restauration et de la sortie en salles des films de la réalisatrice, Pascal-Alex Vincent réalise le documentaire Kinuyo Tanaka, une femme dont on parle, produit par Carlotta Films[104].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Dix-huit minutes de ce film ont survécu.
- Si joyū signifie « actrice », Ameshon est un néologisme composé des premières lettres du mot amerika (Amérique) et de celles du terme argotique shonben (pisser), voulant dire « pisser en Amérique ». Ce terme péjoratif désigne une personne japonaise qui a séjourné un court moment aux États-Unis (juste assez pour « pisser ») et qui en revient en prétendant tout connaître de ce pays. Source : (en) Dennis Washburn, Carole Cavanaugh, Word and Image in Japanese Cinema, Cambridge University Press, , 388 p. (ISBN 9780521771825), p. 291.
- Dans son documentaire Kenji Mizoguchi ou la vie d'un artiste de 1975, Kaneto Shindō interroge longuement Kinuyo Tanaka sur le fait qu'il est convaincu que Kenji Mizoguchi était amoureux d'elle, ce à quoi elle réplique qu'ils étaient « mariés à l'écran » et que le cinéaste était amoureux de ses personnages, Oharu et Ochika, mais pas d'elle (source : DVD de la 131e à la 141e minute).
- La citation en anglais est :
« Now that there are women Diet members in Japan as well, I thought it would be good if there was at least one woman film director. »
- Ce film apparaît dans la filmographie de Kinuyo Tanaka sur le site du musée Kinuyo Tanaka Bunkakan mais pas dans sa filmographie sur la base de données JMDb.
- Ce film apparaît dans la filmographie de Kinuyo Tanaka sur la base de données JMDb mais pas dans sa filmographie sur le site du musée Kinuyo Tanaka Bunkakan.
- La lune s'est levée est le titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 141.
- Maternité éternelle est le titre français du film lors de la rétrospective « La Nikkatsu où la modernité toujours recommencée » du 2 octobre au 27 octobre 2007 à la MCJP.
- La Nuit des femmes est le titre français du film lors de la rétrospective « Tōhō, le rêve américain » du 21 février au 31 mars 2011 à la MCJP.
- Mademoiselle Ogin est le titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 141.
- Le père de Masaki Kobayashi était cousin de Kinuyo Tanaka. Source : Biographie de Masaki Kobayashi sur cinemaclassics.jp.
- Depuis le , le National Film Center (NFC) est devenu indépendant du Musée national d'Art moderne de Tokyo et a pris le nom de National Film Archive of Japan (NFAJ).
Références
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- (ja) «
絹 代 の生涯 【1909年 〜1932年 】 », sur kinuyo.info, (consulté le ). - Irene Gonzalez-Lopez, p. 4.
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- Max Tessier, p. 27.
- Tadao Satō, t. I, p. 98.
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- Donald Richie, p. 58.
- (en) Peter Rist, « The 29th edition of the Giornate del Cinema Muto », Offscreen.com, vol. 14, no 10, (lire en ligne).
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Voir aussi
modifierBibliographie
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小說 田中 絹代 [« Shōsetsu Tanaka Kinuyo »] (biographie), Tokyo, Bungei Shunjū (文芸春秋 ), , 392 p. (ISBN 9784167415013). - Yola Le Caïnec, « Ida Lupino et Kinuyo Tanaka, deux sœurs de cinéma », Positif no 677-678, Institut Lumière-Actes Sud, Paris, , p. 150-153 (ISSN 0048-4911).
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- [Max Tessier] Max Tessier, Le Cinéma japonais, Armand Colin, , 128 p. (ISBN 2-200-34162-8).
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- [Carlotta] Tomuya Endo et Pascal-Alex Vincent, Dictionnaire des acteurs et actrices japonais, Carlotta en collaboration avec GM Éditions, , 269 p. (ISBN 978-23-77970-48-3).
Ouvrages sur des personnalités du cinéma
modifier- [Arthur Nolleti] (en) Arthur Nolletti, The Cinema Of Gosho Heinosuke: Laughter Through Tears, Indiana University Press, , 331 p. (ISBN 0-253-34484-0).
- [Noël Simsolo] Noël Simsolo, Kenji Mizoguchi, Cahiers du cinéma, coll. « Grands Cinéastes », , 95 p. (ISBN 978-2-86642-497-8).
Articles
modifier- Ariane Mnouchkine, « Six entretiens autour de Mizoguchi - Kinuyo Tanaka », Cahiers du cinéma, no 158, , p. 14-17.
- Simon Daniellou, « L'actrice Kinuyo Tanaka vue et revue par des cinéastes masculins : Collaboration émancipatrice ou domination patriarcale ? », dans Jouer l'actrice : De Katherine Hepburn à Juliette Binoche, Editions Rue d'Ulm, (ISBN 9782728809752, DOI https://doi.org/10.4000/books.editionsulm.4810), p. 57-65.
- Andrea Grunert, « Tanaka, Kinuyo (1909-1977) », Jeune Cinéma, nos 408-409, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Eugène, « Kinuyo Tanaka, la part du calcul dans la grâce », Cahiers du cinéma, no 784, , p. 86-87.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- (ja) Kinuyo Tanaka sur la Japanese Movie Database
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :