Guoshi
Le guoshi (chinois simplifié :
Histoire
[modifier | modifier le code]Il est question pour la première fois du titre de guoshi dans le Fozu tongji (zh) (
Royaume tangoute
[modifier | modifier le code]Tsangpopa Konchok Sengge, enseignant religieux sous l'empereur tangoute Xia Renzong (règne 1139 — 1193) prend également ce titre. Il est traduit en anglais par « précepteur national » par Ronalt M. Davidson. À partir de la dynastie Yuan apparaît un titre proche, celui de dishi[2].
L'Indien Jayānanda (chinois : ?也阿
Mongols sous les Ming
[modifier | modifier le code]À 25 ans, le Mongol qoshot Güshi Khan (qui devient plus tard roi du Tibet) réconcilie les Kalmucs de Khalkha avec les Œleuts qui se querellaient à propos de la précédence de Gahdan et Ston skor Sabs-drung nommé Jetsundampa (Zanabazar ?)[pas clair], et évite ainsi une guerre sanglante. Il est décoré par l'empereur de Chine (Ming Shenzong), en 1605, de l'ordre sacré du Tā Kausri (
Annexes
[modifier | modifier le code]notes et références
[modifier | modifier le code]- (zh) « 《
佛祖 統 紀 》CBETA電子 版 », sur buddhism.lib.ntu.edu.tw «或 為 儒林之 宗 國師 道士 。 » - (en) Ronald M. Davidson, Tibetan Renaissance, p. 334
- (en) Leonard W. J. van der Kuijp, « Jayānanda. A Twelfth Century Guoshi from Kashmir Among the Tangut », Central Asiatic Journal, Harrassowitz Verlag, vol. 37, nos 3/4, , p. 188-19 (lire en ligne)
- (Dāsa 1905, p. 153)
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- (en) Sarat Chandra Dāsa, « Tibet, a Dependency of Mongolia », Journal of the Asiatic Society of Bengal, vol. I, , p. 153–54 (lire en ligne)