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Han Gaozu

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Liu Bang

Han Gaozu
Image illustrative de l’article Han Gaozu
Portait de Han Gaozu

Naissance ou
Pei
Décès (à 61 ans)
Changan
Nom de famille Liu (刘)
Prénom Bang (くに)
Dates 1er règne
Dynastie Dynastie Han
Nom du temple Taizu (ふとし), ou Gaozu (高祖こうそ)
Nom posthume
(complet)
Gao Huangdi (こう皇帝こうてい)

L’empereur Gaozu des Han (chinois traditionnel : 高祖こうそ ; pinyin : gāozǔ ; Wade : Kao Tsu ; EFEO : Kao-Tsou) (vie : -256 ou -247 ~  ; règne : -202 ~ ), fondateur de la dynastie, également connu sous le nom de Liu Bang (刘邦 / 劉邦りゅうほう, Liú Bāng, Wade : Liu² Pang¹) , est avec Zhu Yuanzhang, fondateur des Ming, l’un des rares empereurs issus de la classe populaire. Il s’est élevé jusqu’au pouvoir suprême en participant à la rébellion contre la dynastie Qin. Avant de devenir empereur, il fut duc de Pei (沛公), marquis de Wu’an (武安たけやすこう), puis prince de Hanzhong (かんちゅうおう). Son titre de Gaozu (haut ancêtre) semble être une création de Sima Qian qui sera reprise par les historiens ultérieurs. Son nom posthume était en effet Gaodi ou Gao Huangdi (こう皇帝こうてい) (haut empereur), et son nom de temple Taizu (ふとし, ancêtre suprême), changé ultérieurement en Gaozu, qui pourrait être une combinaison des deux[1].

Les débuts

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Liu Bang est né dans une famille paysanne du bourg de Zhongyang (中陽ちゅうようさと), actuel Fengyi (ゆたか), comté de Pei, province du Jiangsu. Son père se nommait Liu Zhijia (りゅうよしみ) et sa mère Wang Hanshi (おう含始). Troisième fils de la famille, son prénom (ou surnom) d’origine, Ji (), reflétait son ordre de naissance. Il le changera contre Bang, pays, après être devenu prince de Han ou empereur. Sa biographie la mieux connue et la plus haute en couleur est celle contée par Sima Qian dans le Shiji.

Jeune, il était peu attiré par le travail de la terre et désespérait son père en traînant, buvant et participant à des bagarres. Il trouva un poste de chef de patrouille, en poste le long de la rivière Si (泗水しすい). On raconte que dans le cadre de ses fonctions il eut l’occasion de se rendre à Xianyang (咸陽), la capitale, où il vit passer le cortège de Qin Shi Huang. Il se serait alors écrié : « C’est donc à ça que ressemble un homme puissant ! ». Il eut l’occasion de se faire apprécier d’un magistrat, Lü Shuping (りょ叔平), qui lui donna sa fille Lü Zhi (りょ) en mariage. Elle restera dans l’histoire comme le premier exemple d’impératrice douairière tyrannique et cruelle.

La rébellion

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Promu chef de la sécurité pour tout le comté de Pei, il fut un jour chargé d’escorter un convoi de forçats au mont Li dans le Shaanxi. Après une halte où il s’était endormi ivre, il découvrit à son réveil que des prisonniers en avaient profité pour s’échapper. Évaluant les conséquences probables de sa faute, il jugea que le plus sage était encore de libérer les restants et de prendre le large avec eux. Ils se seraient ensuite joints à une bande de brigands dans laquelle Liu Bang fit la preuve de ses dons de commandement.

En -209, tout comme Liu Bang, l’officier Chen Sheng (ちんまさる) ayant échoué dans une mission choisit de se rebeller contre les Qin plutôt que de subir la peine de mort qui l’attendait. Il prit la tête d’une armée de paysans et se proclama roi de Zhangchu (ちょうすわえ), territoire qu’il occupait dans le pays de Chu, non loin de Pei. Le magistrat du comté de Pei, envisageant de se joindre à la rébellion, en discuta avec Xiao He (しょうなに) et Cao Can (曹參), futurs aides de Gaozu, qui étaient alors ses subordonnés. Ils lui conseillèrent d’engager Liu Bang et son armée. Fan Ceng (樊噌), beau-frère du futur empereur, fut chargé de lui transmettre l’invitation. Mais peu avant l’arrivée de la troupe, le magistrat, ayant changé d’avis, avait fait fermer les portes de la ville et se préparait à faire exécuter Xiao He et Cao Can. Ils s’échappèrent en sautant des murs et rejoignirent la troupe de Liu Bang, puis envoyèrent des messages enroulés sur des flèches aux édiles, les conjurant d’ouvrir la ville. Ceux-ci acceptèrent et tuèrent le magistrat. Liu Bang devint duc de Pei.

En -208, Zhangchu fut absorbé par Xiang Liang (こうはり), meneur de la rébellion de Chu et chef de l’ensemble du soulèvement contre les Qin qui s'était étendu à Zhao, Wei, Qi et Yan ; Liu Bang devint donc son subordonné. La rébellion se poursuivit, encouragée par une légende à but de propagande rapportée par Sima Qian : le futur Gaozu ayant tué un serpent blanc, il aurait vu en rêve une femme se lamenter que son fils l’empereur blanc avait été tué par l’empereur rouge.

Xiang Liang mourut peu après. Le roi Huai de Chu (すわえふところおう) prit la tête de la rébellion ; il nomma Xiang Yu (項羽こうう), neveu de Xiang Liang, marquis de Chang’an (長安ながやすこう) et Liu Bang marquis de Wu'an (武安たけやすこう). Le prince avait promis Guanzhong (せきあたる), berceau de Qin dans la plaine du Shaanxi, au premier qui y pénétrerait. Il offrit cette occasion à Liu Bang tandis que Xiang Yu se battait contre le gros des troupes Qin. En -207 Ziying (嬰), dernier des Qin, se rendit. Liu Bang et ses troupes entrèrent dans la capitale, mais Xiang Yu, alors le général le plus puissant des troupes rebelles, l’obligea à la lui céder. Liu Bang s’avérait un rival assez inquiétant pour que les conseillers de Xiang Yu organisent un complot pour s’en débarrasser lors d’un banquet (festin de Hongmen) (おおとりもんえん). Xiang Yu ne put s’y résoudre. Arrogant pour les historiens, il est représenté dans la tradition littéraire et théâtrale comme un personnage noble face au rustre et rusé Liu Bang, et son hésitation est vue comme le signe d’une trop grande magnanimité, d'une « compassion féminine » (婦人ふじんひとし) inadéquate dans sa situation.

La guerre entre Chu et Han

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Après la disparition des Qin, Xiang Yu divisa le territoire en 19 principautés. Il se débarrassa du prince Huai de Chu et n’honora pas sa promesse : il partagea Guanzhong entre trois généraux Qin qui l’avaient rejoint, Zhang Han (あきら邯), Sima Xin (司馬しば欣) et Dong Yi (ただしかげ). Liu Bang fut nommé prince de Han (Sichuan, Chongqing, au sud du Shaanxi), avec pour capitale Hanzhong. Mais les distributions de terre de Xiang Yu étaient mal acceptées et entraînèrent des soulèvements. Alors qu’il luttait contre les rebelles, Liu Bang revint à Xianyang et occupa Pengcheng (彭城), territoire de son rival.

La guerre entre eux dura cinq ans (-206 ~ -202). Avec Xiao He, Zhang Liang (ちょうりょう) et Han Xin (かんしん) pour principaux aides, Liu Bang prit peu à peu l’avantage sur son adversaire, avec lequel il négocia un accord : à lui les territoires à l’ouest de la rivière Honggou (おおとりみぞ), à Xiang Yu l’est. Plus tard, il analysera lui-même la raison de sa victoire, disant qu’il avait su reconnaître chez les autres des talents supérieurs aux siens et les utiliser, mais Xiang Yu, trop confiant en lui, n’avait pas su faire cas de ses subordonnés. Néanmoins, sa supériorité résidait aussi dans un réalisme ne s’embarrassant pas de scrupules : il obtint la victoire finale par une ruse. Il n’avait en effet jamais eu l’intention de respecter l’accord et attaqua Xiang Yu alors que celui-ci ne s’y attendait pas. Le vaincu se suicida ainsi que sa concubine Yu Ji (cette histoire a inspiré une pièce de théâtre célèbre, elle-même en toile de fond du film Adieu ma concubine de Chen Kaige) et l’empire appartint à Liu Bang. De même, il se débarrassera sans scrupules d’anciens compagnons à qui il devait son succès, dont Han Xin, à qui le Shiji prête ce commentaire désabusé : « Le lapin pris, on cuit le chien ; les oiseaux disparus, l’arc est mis au rebut »[2].

Liu Bang proclama la dynastie Han le premier mois de -202. Il établit sa capitale tout d'abord à Luoyang, puis à Chang'an. Il fit commencer son règne en -208, annulant rétrospectivement la période de lutte contre Xiang Yu.

Gouvernement

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Il conçut un empire centralisé à la façon de celui des Qin, mais remplaça progressivement les princes/rois vassaux par des membres du clan Liu, consolidant ainsi son pouvoir. Cette mesure se révélera néanmoins une source de problèmes pour ses successeurs, car ces princes/rois, proches parents de l’empereur, manifesteront de fortes tendances à l’indépendance sous Huidi, Wendi et Jingdi. Parmi eux, le commanditaire du Huainanzi et son père.

Conscient de la nécessité de restaurer les forces de la population après une décennie de troubles, Liu Bang réduisit les taxes et les corvées et encouragea l’agriculture. Il ordonna que soient libérés du servage ceux qui s’étaient vendus pour survivre, et exempta les anciens soldats de corvée. Peut-être en réaction contre les puissants marchands et entrepreneurs associés à la dynastie Qin, il imposa de lourdes taxes commerciales et l’activité des commerçants fut restreinte.

Gaozu n’avait pas lui-même un grand respect pour les lettrés, mais les fit néanmoins revenir dans l’administration sous l’influence de conseillers tels que Lu Jia (りく賈), qui lui rappela que « si l’empire se conquiert à cheval, il est impossible de le gouverner à cheval »[3]. Il le chargea avec Jia Yi (賈誼) de remplacer le système administratif employé sous la dynastie Qin par un nouveau basé sur les principes confucéens. Le lettré Shu Suntong (叔孫どおり) détermina le protocole des entrevues matinales entre l’empereur et ses ministres. Néanmoins, le confucianisme restait concurrencé par d’autres philosophies politiques, en particulier le courant Huanglao, essentiellement légiste et taoïste. Il faudra attendre le règne de Wudi pour voir la doctrine de Confucius choisie comme principe privilégié de gouvernement.

Liu Bang chargea Xiao He de réformer le code des lois Qin, conservant ce qui semblait valable. Le résultat fut le Code des Han en neuf articles (かんりつきゅうしょう). Il rassembla et ordonna avec Zhang Liang un corpus de textes de 182 auteurs différents traitant de l’art militaire.

Politique extérieure

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Depuis la fin des Qin, les Xiongnu vivant au nord de la Chine constituaient une menace. Liu Bang entreprit de nombreuses campagnes contre eux et réussit à les encercler partiellement. Néanmoins, il apparut rapidement que les réduire totalement par la voie militaire serait difficile. Ainsi, en -201, le prince de Han dut capituler devant eux. Gaozu lui-même se retrouva en -200 encerclé à Baideng (はくのぼる) au Shanxi par le chanyu (chef) Modu (おかせひたすらたん于) et 300 000 cavaliers. C’est alors que le stratège Shenping (陳平ちんぺい) lui suggéra la politique d’alliance matrimoniale qui sera poursuivie pendant le reste de la dynastie. Les chanyu, épousant des princesses chinoises, devinrent « gendres impériaux ». Cette politique sera aussi appliquée aux Wusun (がらすまご), autre peuple frontalier en lutte contre les Xiongnu.

Ces jeunes femmes étaient le plus souvent des filles de nobles ou même parfois des roturières promues princesses, dont l'histoire inspirera la littérature et le théâtre. La plus connue est Wang Zhaojun (王昭君おうしょうくん), héroïne en particulier d’une pièce de Ma Zhiyuan qui deviendra un classique de l'Opéra de Pékin. Entrée comme concubine dans le gynécée de Yuandi (r. -49 ~ -33), elle fut choisie par le chanyu Hu Hanxie parmi cinq femmes sélectionnées sur portrait par l’empereur lui-même, qui ne s’était pas encore donné la peine de les rencontrer. Yuandi n’avait probablement pas grande considération pour les Xiongnu et avait dû choisir des beautés médiocres. Lorsqu’il la vit en chair et en os le jour de son départ officiel, il eut le coup de foudre, mais il était trop tard.

On attribue à Liu Xijun (りゅう細君さいくん), mariée à un roi de Wusun, des poèmes exprimant la tristesse d’avoir quitté sans espoir de retour son pays natal.

Succession et fin de règne

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Sur la fin de sa vie, Liu Bang était très épris d’une favorite nommée Qi (戚). Il tenta à plusieurs reprises de retirer à Lü Zhi son titre d’impératrice, et à leur fils Liu Ying (りゅうみつる) celui de prince héritier pour l’attribuer à Ruyi (如意にょい), Prince Yin de Zhao, fils de Dame Qi, mais il n’obtint jamais le soutien des ministres et ce projet échoua. L’impératrice fera tuer Ruyi et sa mère après la mort de l’empereur.

En -195, il fut blessé par une flèche lors d’une bataille contre Ying Bu (えいぬの), prince de Huainan, ancien allié dans la guerre contre Chu avec Han Xin et Peng Yue, qui s'était rebellé en protestation contre leur assassinat. Gaozu mourut des suites de sa blessure le quatrième mois de sa douzième année de règne dans son palais de Changle (長樂ながらみや).

Peu avant sa fatale blessure, alors qu’il poursuivait l’armée rebelle, il avait eu l’occasion de passer par Pei, son comté natal. À l’occasion du banquet offert à ses anciens compatriotes, il improvisa un court poème exprimant sa réussite, la Chanson du grand vent :

« Un grand vent se lève, les nuages s’envolent
Maitre [de l’empire] entre les mers, me voilà de retour chez moi
Où trouverais-je les braves qui garderont les quatre orients ?
(《大風おおかぜ》:「大風おおかぜおこり兮雲飛揚ひようたけしうみ內兮故鄉こきょうやすもう兮守四方しほう!」) »

Il fut enterré à Han Changling (かんちょうりょう) près de l’actuelle Xianyang au Shaanxi. Liu Ying, fils de l’impératrice Lü, lui succéda sous le nom de Huidi.

  • Père:
    • Liu Zhijia (りゅうよしみ) (d. -197)
  • Mère:
    • Wang Hanshi (おう含始)
  • Epouses:
  • Principales concubines:
    • Dame Cao (曹夫じん), mère du prince Fei
    • Dame Qi (戚夫じん) (d. -194), mère du prince Ruyi
    • Dame Bo, (d. -155), nommée impératrice douairière Bo (うすきさき) à la mort de l’impératrice Lü, mère de l’empereur Wendi
    • Dame Zhao (ちょう夫人ふじん), mère du prince Chang
    • Dame Guan (かん夫人ふじん)
    • Concubine Zhao [Zier] (ちょう)
  • Enfants par ordre de naissance
    • Liu Fei (りゅうこえ) (-221~-189), fils de dame Cao ; prince Daohui de Qi (ひとし悼惠おう) à partir de -202.
    • Liu Ying (りゅうみつる) (-210~-188), fils de l’impératrice Lü ; prince impérial de -202 à -195, empereur Huidi de -195 à -188.
    • Liu Ruyi (りゅう如意にょい) (-208~-194), fils de dame Qi ; prince Yin de Zhao (ちょうかくれおう) à partir de -198, assassiné en -194 sur ordre de l’impératrice Lü.
    • Princesse Luyuan (魯元公主こうしゅ), fille de l’impératrice Lü ; épouse le prince de Zhao Zhang Ao (ちょう敖) ; son mari, accusé de rébellion, perd son fief mais est nommé marquis de Xuanping (せんたいらこう) ; sa fille Zhang Yan (ちょう嫣) sera impératrice, femme de l’empereur Huidi.
    • Liu Heng (りゅうひさし) (-202~-157), fils de dame Bo ; prince de Dai (だいおう) de -196 à -180, empereur Wendi de à -180 à -157.
    • Liu Hui (りゅうめぐみ) (?~-180), mère inconnue ; prince de Liang (はりおう) de -196 à -180, prince Gong de Zhao (ちょうきょうおう) en remplacement de Liu You de -180 à -179 où il se suicide ; l’impératrice Lü confisque son fief ; l’empereur Wendi rendra la principauté de Zhao à Sui (とげ), fils de Liu You.
    • Liu You (?~-180), mère inconnue ; prince de Huaiyang (淮陽おう) de -196 à -194, prince You de Zhao (ちょうかそけおう) de -194 à -180 en remplacement de son beau-frère Zhang Ao accusé de trahison ; Liu You sera emprisonné et affamé sur ordre de l’impératrice Lü ; l’empereur Wendi rendra la principauté de Zhao à son fils Sui (とげ).
    • Liu Chang (りゅうちょう) (-198~-174), fils de dame Zhao ; prince Li de Huainan (淮南ワイナン厲王) à partir de -196 à la suite de Ying Bu condamné pour trahison ; il perd son fief en -174 après une tentative de révolte et meurt en exil dans les montagnes du Sichuan ; l'un de ses fils fera rédiger le Huainanzi.
    • Liu Jian (りゅうけん) (?~-181), mère inconnue ; prince Ling de Yan (つばめれいおう) à partir de -195 ; son fils sera assassiné sur ordre de l’impératrice Lü.
  • Petits-enfants
    • Liu Xiang (りゅうじょう), prince Ai de Qi (ひとしあいおう) (d. -179), fils de Liu Fei
    • Liu Zhang (りゅうあきら), prince Jing de Chengyang (城陽じょうようけいおう) (d. -177), fils de Liu Fei (りゅうこえ)
    • Liu Xingju (りゅうきょうきょ), marquis de Dongmou (d. -177), fils de Liu Fei
    • Liu Qi (りゅうあきら) (-188~-141), fils de l’empereur Wendi, prince héritier en -179, empereur Jingdi en -157
    • Liu An, prince de Huainan (淮南ワイナンおう), commanditaire du Huainanzi
    • Zhang Yan (ちょう嫣) (-202~-163), fille de la princesse Luyuan, épouse de l’empereur Huidi et devient impératrice en
    • Zhang Yan (ちょう偃), fils de la princesse Luyuan, prince de Luyuan (鲁元おう) puis marquis de Nangong (みなみ宫侯)

Notes et références

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  1. (zh) Ban Gu, « こうみかど » [« Livre des Han »], Hanshu, guoxue.com
  2. jiaotu si lianggou peng ; gaoniao jin lianggong cang ずるうさぎ りょういぬ烹;だかとりつき ゆみぞう
  3. mashang dezhi, ning keyi mashang zhi hu 馬上まけとくやすし以馬上治うえじ乎?, Shiji

Articles connexes

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Liens externes

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