Ô stylographe à la plume de platine, que ta course rapide et sans heurt trace sur le papier au dos satiné les glyphes alphabétiques qui transmettront aux hommes aux lunettes étincelantes le récit narcissique d’une double rencontre à la cause autobusilistique.— (Raymond Queneau, « Apostrophe » dans Exercices de style, 1947)
Qui voudra se charger de nous prouver que les règles posées par Champollion pour déchiffrer les glyphes égyptiens sont immuables ?— (Louis Alphonse Bertrand, Mémoires d’un mormon, E. Dentu, Paris, 1802, page 217)
Un glyphe maya est composé d’un élément principal et de un ou plusieurs affixes.— (Michel Davoust, « Déchiffrement de l’écriture maya et ethnolinguistique », dans Jacqueline M. C. Thomas (éditeur), Linguistique, ethnologie, ethnolinguistique (la pratique de l’anthropologie aujourd’hui) : Actes du colloque internationale du CNRS organisé par l’Association française des anthropologues, Sèvres, 19-21 novembre 1981, SELAF, Paris, 1985, page 128)
Pour donner un exemple récent, dans le glyphe utilisé pour le Ƴ (Y majuscule avec un crochet, utilisé pour le son y éjectif en peul et en haoussa), le crochet a été mis de l’autre côté pour refléter l’usage local en Afrique de l’Ouest.— (Don Osborn, Les Langues africaines à l’ère du numérique, page 87)