Hugo pop ! La théorie du grand renversement
Contrairement à Lara Fabian, qui y croit encore depuis 2001, je n’avais aucun espoir pour trois des quatre couples qui ont atterri dans le cabinet de la thérapeute Louise Sigouin, il y a un mois.
Contrairement à Lara Fabian, qui y croit encore depuis 2001, je n’avais aucun espoir pour trois des quatre couples qui ont atterri dans le cabinet de la thérapeute Louise Sigouin, il y a un mois.
Notting Hill, When Harry Met Sally, Love Actually, The Holiday, The Devil Wears Prada ou les premiers Bridget Jones, pourquoi le cinéma ne fabrique-t-il plus des comédies romantiques de ce calibre élevé, remplies d’humour, d’intelligence, de Julia Roberts et de quiproquos ?
Comme dirait la revêche Madeleine de Si on s’aimait encore, armée d’une canne à pêche du Canadian Tire et complètement blasée devant un étang ensemencé : pure perte de temps que la résurrection d’Audrey à Survivor Québec.
L’équipe de Patrick Lagacé se dessine. Alors que Paul Arcand s’apprête à mettre un terme à son émission Puisqu’il faut se lever sur les ondes du 98,5, Patrick Lagacé voit aux derniers détails de celle qui prendra le relais à compter du 12 août et qui s’appellera Lagacé le matin.
Dès le début de la pandémie il y a quatre ans, on prédisait que le sujet allait beaucoup contaminer les futures rentrées littéraires, tout en se demandant si le lectorat allait vraiment s’intéresser à des livres sur la COVID-19 après en être sorti. On s’est moqué un peu des récits de confinement, même si les lecteurs se sont rués sur La peste de Camus pendant quelques semaines, mais on ne peut pas dire qu’il y a eu une avalanche de titres sur ce thème depuis.
Quand les épisodes d’In Memoriam sortaient les jeudis, ce thriller glauque grimpait au premier rang des séries les plus populaires sur la plateforme Crave. D’un océan à l’autre. Anglais et français confondus.
Vous avez peut-être vu Joanie Tremblay et Sandra Felteau à l’émission Dans l’œil du dragon il y a quelques semaines. Les deux entrepreneures ont présenté leur jeune entreprise Narra, une plateforme d’achats et d’écoute de livres audio 100 % indépendante.
Tel un Pasquale Vari qui replace une pile de feuilles gribouillées, mon choix est fait. Pas besoin de revoir ou de compiler mes notes (sauce trop liquide, viande coupée grossièrement, criage inutile en cuisine).
Ça fait énormément de bien de regarder Bellefleur, la nouvelle comédie dramatique de la plateforme Crave, dont les deux premiers épisodes sortent jeudi.
Paul Auster, Bernard Pivot et maintenant Alice Munro. Depuis deux semaines, cette chronique devient une nécrologie littéraire, mais ce n’est pas ma faute si une génération est en train de mourir, et je ne peux absolument pas passer à côté du monument qu’est Alice Munro, au Canada et dans le monde, même si elle n’est pas très lue au Québec, malgré son prix Nobel de littérature.
Est-ce que le monde du théâtre, du cinéma et de la télévision est aussi inclusif qu’on le dit ? Cette audacieuse question est celle que pose la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie qui aura lieu le 17 mai.
La pilote et judoka Meriem, figure polarisante de la téléréalité Les traîtres de Noovo, est en train de nous rendre tous complètement dingos – et pas des lingots.
L’exil a été pénible, autant pour les joueurs que pour les téléspectateurs de Survivor Québec. Humour potache de Dominic (plus capable des chapeaux funky), complaintes de Raphaël (l’important, c’est de se choizzzir, oui, c’est ça) et abus d’images d’épave sous-marine, la troisième île de la téléréalité de Noovo n’a pas procuré de segments super palpitants.
En apprenant que Cédric Sapin-Defour était de passage à Montréal cette semaine, sa première visite au Québec, je voulais absolument le rencontrer, même si son récit inoubliable, Son odeur après la pluie, a été publié il y a plus d’un an.
Vieux motard que jamais, a déjà dit quelqu’un de bien mélangé ou de très intoxiqué.
Ce ne sont pas des spectacles d’humour, ni de théâtre ou d’improvisation. Encore moins des conférences. Et pourtant, ces évènements attirent des foules en délire. Les séries balados devant public connaissent une telle popularité qu’elles font maintenant l’objet de tournées partout au Québec.