Ch'i (spiritualité)
Le ch'i /tɕʰi˥˩/ (chinois simplifié : 气 ; chinois traditionnel :
Pour les adeptes du taoisme et de la médecine traditionnelle chinoise, le ch'i est à l'origine de l'univers et relie les êtres et les choses entre eux : « nous ne possédons pas le chi, nous sommes le chi ! »[5]. Substance subtile qui se déplace le long des « veines du dragon » (lóng mài,
Plusieurs concepts de la philosophie indienne s'en rapprochent, tels que le prana (प्राण / prāṇa) ou l'ojas (ओजस् / ojas).
Non reconnu par la science occidentale, le ch'i est considéré comme un concept philosophique, hypothétique et invérifiable[6].
Notion[modifier | modifier le code]
Le ch'i (qi) reste difficile à traduire. D'abord parce que sa notion s'étend à différents aspects de la vie et de l'univers dans la cosmogonie chinoise. Ensuite parce que le sens a évolué tout au long des époques, au gré de l'influence de différentes écoles de pensée.
Une analyse rapide de la graphie
La notion de ch'i évolue simultanément sur trois plans ; celui des êtres vivants, celui de la structure de l'univers et celui de la spiritualité. Par extension, la notion s'utilise aussi pour rendre compte d'un effet d'harmonie, qu'il soit artistique, architectural ou corporel. L'interprétation du ch'i en termes d'énergie reste propre à l'Occident, car elle n'apparaît jamais dans les textes chinois qui en restent, eux, à l'idée d'un souffle ou d'une essence[7].
Principe fondamental de l'univers[modifier | modifier le code]
Le ch'i est aussi un principe fondamental et unique, qui donne à l'univers et aux êtres leur forme, tout en les transformant sans cesse. Il circule indifféremment dans les choses et les êtres, les reliant en permanence. Dans la cosmogonie chinoise, le ch'i préexiste à l'émergence du yin et du yang, deux aspects de ce souffle qui, en se combinant l'un à l'autre, vont permettre la formation des « dix mille êtres » (wànwù
Au premier moment du cosmos aurait existé une forme indifférenciée, nommée wújí (
Le yin est lui-même composé d'une part de yang et d'une part de yin, idem pour le yang. Par ces deux composantes yin et yang, le ch'i s'exprime de différentes manières, alternativement par du froid et de la chaleur, de l'ombre et de la lumière, du calme (lac) et de l'activité (vagues, vent), un matériau plus ou moins compact (terre, bois ou pierre). La cosmogonie chinoise désigne également cinq mouvements fondamentaux du ch'i, wǔxíng (
Ce principe, jamais pensé comme une divinité[9], inscrit l'être humain dans les mêmes lois naturelles que celles qui régissent l'univers. Dans cet esprit, l'influence du qì organise les veines du corps humain comme il organise les nervures du jade. L'être humain est ainsi pensé comme un cosmos en miniature.
Morale et essence spirituelle[modifier | modifier le code]
Dans la philosophie taoïste, et particulièrement dans sa forme religieuse, le ch'i est perçu comme participant à l'évolution spirituelle d'un être. C'est en raffinant le souffle par des opérations « d'alchimie corporelle » que le pratiquant espère progresser dans son développement spirituel, et atteindre un état mental censé rejoindre le fonctionnement fondamental du cosmos. Le taoïsme et le néoconfucianisme (qui prône la conformité de l’ordre social) parlent alors de retour au wuji, avec pour objectif idéal l'existence éternelle.
La pratique de ces exercices emprunte à l'alchimie son vocabulaire et définit trois centres de raffinage du souffle. Le champ de cinabre inférieur, ou dantian inférieur, situé sous le nombril représente l'endroit où se fabrique et s'entretient le ch'i en tant que substance vitale. Le second champ d'élixir, situé au niveau du cœur-sternum, transforme le ch'i en shén, qui est un souffle plus subtil propre à la pensée. Enfin, la tête contient le troisième dantian où le shén se transforme en un souffle propre à la spiritualité, celui qui est censé mettre le pratiquant dans un état d'unité avec le cosmos, c'est-à-dire le conduire à agir selon les lois intrinsèques d'équilibre de l'univers que le taoïsme nomme la Voie, ou Tao (
Dans la philosophie confucianiste, le ch'i est associé au lǐ
Caractère chinois[modifier | modifier le code]
Évolution[modifier | modifier le code]
Si la notion ch'i pose des problèmes de traduction[11], d'autant que la signification a changé au fil des époques, on peut se référer directement aux caractères chinois qui ont servi à l'évoquer, notamment à partir du dictionnaire Shuowen Jiezi élaboré par Xǔ Shèn au IIe siècle. L'origine du mot reste trouble, les pictogrammes qui pourraient contenir la même signification que celle d'aujourd'hui sont difficiles à identifier.
Les premières traces archéologiques évoquant le ch'i montrent, gravée sur une carapace de tortue, une graphie à trois barres horizontales. De type d'écriture jiǎgǔwén (
Caractère actuel[modifier | modifier le code]
Le sinogramme traditionnel
Le sinogramme décrit donc le ch'i comme étant à la fois aussi immatériel et éthéré que la vapeur et aussi dense et matériel que la céréale. Il signifie également que le qì est une substance subtile (vapeur) dérivée d'une substance grossière (céréale)[19].
Si, comme vu précédemment, le mot âme a des origines étymologiques communes avec le prana, la philosophie chinoise désigne plus précisément par shén (
Centres du ch'i[modifier | modifier le code]
La médecine traditionnelle chinoise établit l'existence de trois zones de concentration du ch'ì, réparties dans le corps le long du méridien Ren. Elle les nomme dāntián
- Dāntián inférieur (
下 丹田 )
Autrement nommé qìhǎi 气海, mer de ch'i, il est celui dont on parle le plus parce qu'il fabrique du ch'i. C'est le fameux
hara (nombril) ou seika tanden japonais, ou hypogastre français. Le taoïsme et la médecine traditionnelle chinoise en font le lieu de transformation de l'essence jīng en qì. Jīng
- Dāntián médian (
中 丹田 )
Autrement nommé tánzhong
- Dāntián supérieur (
上 丹田 )
Autrement nommé yintáng
Le point abdominal est un symbole fort dans cette croyance. On peut remarquer que :
- Lorsqu'une personne respire, c'est son ventre qui se gonfle et se dégonfle (les poumons s'étendent vers le bas en poussant le diaphragme et les viscères à l'inspiration), on peut le constater en regardant une personne dormir.
- Le centre de gravité du corps humain se situe vers cet endroit : si l'on allonge une personne sur une balançoire à bascule, il faut que ce point soit au-dessus du pivot pour que la planche puisse rester horizontale ; au judo, de nombreuses techniques de projection consistent à bloquer le corps sous ce point pour le faire basculer.
- La mère porte le fœtus dans son ventre.
La coïncidence de ces phénomènes explique l'importance qu'ont pu accorder certaines cultures à ce point précis du corps. La manifestation la plus dramatique de l'importance de ce point est sans doute le seppuku (suicide rituel japonais), qui consiste à s'ouvrir le ventre avec un tantō (couteau-sabre).
Circulation du ch'i[modifier | modifier le code]
La circulation du ch'i dans le corps a été découverte par empirisme, au fil de siècles de pratique en Chine[réf. souhaitée]. L'existence même du ch'i et sa circulation n'ont pas trouvé de validation expérimentale dans le domaine scientifique. La circulation du ch'i reste donc l'interprétation d'une expérience sensitive, que la médecine traditionnelle chinoise lie à l'activité cérébrale, la pensée. Les éventuels effets sont mesurés par observation d'autres paramètres comme le rythme cardiaque, la pression sanguine, les changements de température, la sudation, le tonus musculaire, la douleur, etc. De prudentes recherches cliniques sont par exemple menées en Chine, à l'Institut de médecine traditionnelle de Chongqing ou à l'Institut de physique et des hautes énergies de Pékin. La médecine chinoise distingue deux formes de ch'i, le souffle intègre (zhèngqì
C'est d'après ces schémas de circulation que furent définis des exercices statiques (par la pensée) et dynamiques (par le mouvement) de développement et d'entretien du ch'i, à dessein de préserver une santé autant physique que mentale et morale. Les mouvements du tai chi chuan
Méridiens[modifier | modifier le code]
Le ch'i engendre différentes sensations lorsqu'il circule dans le corps, sous forme de chaleur ou de picotements. C'est en concentrant leur attention sur ces sensations que, par empirisme, les médecins traditionnels chinois ont pu établir au fil des siècles un réseau de circulation parcourant le corps. Ce réseau est défini par des méridiens principaux et secondaires, autrement appelés vaisseaux, et par des points. La sensation est éprouvée soit par sensibilité naturelle, soit après des exercices de qigong. C'est ainsi que la médecine traditionnelle chinoise insiste sur le fait que la circulation du ch'i interne est corrélée, d'une certaine manière, à l'activité de la pensée. La topographie de ces canaux et points n'a pas varié au fil des époques et des expériences, de sorte que le schéma proposé par le médecin Li Shizhen de la dynastie Ming (1368 - 1644), dans son livre « Exploration des huit canaux extraordinaires », reste valable dans un livre contemporain d'acupuncture[22]. Ont ainsi été établis 12 méridiens dits ordinaires, et 8 méridiens dits extraordinaires ou curieux. Ces méridiens relient en tout 361 points d'acupuncture, auxquels s'ajoutent 48 points hors méridiens, fixés et adoptés en 1987 lors du colloque de Séoul[23].
La sensation la plus classique se manifeste sur deux méridiens principaux, qui sont le vaisseau conception (Ren Mai
Il existe encore d'autres méridiens qui relient également les viscères et d'autres organes, la peau et les muscles. Mais leur schéma change selon les époques et les écoles de médecine, bien qu'il existe désormais un schéma de référence pour l'acupuncture contemporaine.
Trois portes[modifier | modifier le code]
Les trois portes ou passages difficiles, sanguān
À chaque porte sa fonction. Quand le ch'i circule par la porte du coccyx, autrement nommée porte de la moelle (suikong
Applications de la théorie du ch'i[modifier | modifier le code]
La médecine chinoise se base en grande partie sur la notion du ch'i. Dans cette médecine, on y distingue les liquides organiques, le sang et le ch'i, qui est lui-même subdivisé en plusieurs types. La notion de ch'i est à l'origine de techniques comme l'acupuncture et les massages, qui consistent à stimuler les points de rencontre des méridiens. Elle inspire des théories chinoises de l'équilibre alimentaire et des exercices tels que ceux pratiqués dans les arts martiaux dits « internes », le taiji quan ou le hsing i, ainsi que la gymnastique basée sur la respiration, le qi gong. Leur but est de maintenir l'équilibre et le dynamisme du qi dans le corps, voire de le manipuler. De même au Japon, le but du shiatsu (massages) et des exercices physiques (dont les exercices respiratoires) est de stimuler le ch'i.
La maîtrise du ch'i fait aussi partie de l'enseignement avancé des bouddhistes et des taoïstes à travers la méditation et divers exercices, ce qui met l'accent sur l'aspect du qi lié à l'activité mentale.
Le ch'i est aussi présent dans la calligraphie et la peinture, comme la peinture chinoise de type xieyi (xiě yì huà
Le ch'i et les arts martiaux[modifier | modifier le code]
Les arts martiaux chinois (wushu)
Arts martiaux chinois[modifier | modifier le code]
Tous les arts martiaux chinois utilisent la notion de ch'i, à ceci près que certains mettront l'accent sur la maîtrise de la circulation et la manipulation du souffle plutôt que sur l'exercice musculaire. On distingue ainsi les arts martiaux internes, nèijiā quán
Le kung-fu shaolin (plus exactement shàolín gōngfu
Lors des guerres, les médecins stimulaient la circulation du ch'i pour prolonger la période pendant laquelle les prisonniers de guerre pouvaient être torturés si l'on désirait obtenir des informations sur l'ennemi.
Arts martiaux japonais[modifier | modifier le code]
Pour désigner le ki, on utilise parfois l'expression « souffle-énergie » (kokyu-ryokyu).
Dans les arts martiaux japonais, lorsqu'un coup est porté (atemi en japonais), c'est le ki du frappeur qui est transmis à l'adversaire et provoque la blessure ; à ce titre, l'important est plus de frapper un point vital (rencontre de méridiens) que de mettre de la puissance physique. Le cri, kiaï (parfois vu à tort comme le « cri qui tue » des karatékas), est une autre manière d'extérioriser le ki. Lors des exercices de casse (de briques, tuiles, planches, pierres, blocs de béton…), le ki est concentré à l'extrémité du poing et provoque la rupture. La concentration du ki dans le seika tanden est un des éléments fondamentaux des budo : les hanches sont la liaison entre le haut du corps (qui manipule les armes) et le bas du corps (la stabilité). D'un point de vue symbolique, le seika tanden réalise la liaison entre « le ciel et la terre » (tenchi), notion que l'on peut traduire par unification entre l'intention (le ciel, la pensée) et l'énergie (la terre) ; on peut par exemple y voir la métaphore d'un arbre qui puise sa nourriture dans la terre pour tendre vers le ciel.
Le ki reliant les êtres, il relie également les deux adversaires (ou partenaires dans le cadre d'une pratique amicale). Ainsi, un des principes de l'aikido est d'unir les énergies des partenaires afin de supprimer l'agression. Au kyudo (tir à l'arc zen), on considère que la flèche est reliée à la cible, qu'elle fait déjà partie de la cible avant même d'être décochée.
La notion de vigilance, le zanshin que l'on retrouve dans tous les arts martiaux japonais (y compris le ninjutsu, l'art des ninjas), s'appuie aussi sur le concept de ki. À travers le ki, on peut « sentir » l'intention de l'ennemi, ce qui permet de riposter plus efficacement, voire d'agir avant que l'adversaire ait pu lui-même agir. On utilise également le terme sen pour désigner cette action simultanée (sensen no sen : attaque anticipant l'action adverse ; go no sen : riposte anticipant l'action ; sen no sen : attaque simultanée).
Les arts martiaux japonais font également appel à la médecine traditionnelle, avec les notions de kappo et katsu, par exemple pour « réanimer » une personne sonnée.
Expressions[modifier | modifier le code]
元 气 (en chinois, yuánqì) : originel + souffle : le souffle originel à l'origine du monde ;天 气 (en chinois, tiānqì ; en japonais, tenki) : ciel + souffle = temps (météorologie) ;生 气 (en chinois, shēngqì) : naître + souffle = se mettre en colère ;- 脾气 (en chinois, píqi) : rate + souffle = colère ;
- 气质 (en chinois, qìzhì) : souffle + qualité = grâce (employé pour apprécier le raffinement d'une femme) ;
合 気 (en japonais, ai ki) : union des énergies ;- en japonais, ki no nagare : continuité du ki, désigne la fluidité des mouvements, par exemple l'application d'une technique d'aikido sans marquer d'arrêt et en maintenant constamment le déséquilibre du partenaire (s'oppose à kihon waza, techniques de base en tant qu'élément du mouvement complet)
- en japonais, genki : forme physique, « genki desu ka ? » — « Tu vas bien ? » « Tu es en forme ? »
Critique[modifier | modifier le code]
Point de vue scientifique[modifier | modifier le code]
Le Ch'i est un concept qui n'est pas régit par les lois scientifiques, et qui est considéré invérifiable[6]. Une déclaration représentant le consensus scientifique sur l'acupuncture publiée en 1997 par le National Institutes of Health des États-Unis a noté que des concepts tels que le Ch'i « sont difficiles à concilier avec les informations biomédicales contemporaines »[27].
Divers[modifier | modifier le code]
- La notion de ki a inspiré la notion de Force dans l'univers de Star Wars, qui est d'ailleurs globalement très inspiré du Japon médiéval (forme des casques des soldats de l'Empire, scénario inspiré de La Forteresse cachée de Kurosawa, analogies redondantes entre Jedis et samouraïs…).
- Les mangas rendent très souvent compte de cette notion qui est courante dans les sociétés asiatiques (Dragon Ball, Ranma 1/2, Naruto…).
Références[modifier | modifier le code]
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- DENG Yu et al,Ration of Qi with Modern Essential on Traditional Chinese Medicine Qi: Qi Set, Qi Element, JOURNAL OF MATHEMATICAL MEDICINE (Chinese), 2003, 16(4)
- DENG Yu, ZHU Shuanli, Deng Hai, Generalized Quanta Wave with Qi on Traditional Chinese Medecine, JOURNAL OF MATHEMATICAL MEDICINE, 2002, 15(4)
- Deng Yu, TCM Fractal Sets, Journal of Mathematical Medicine, 1999, 12 (3),264-265
- Entretien avec Gregorio Manzur : Le véritable esprit du tai-chi
- (en) M. S. Lee, M. H. Pittler et E. Ernst, « Effects of reiki in clinical practice: a systematic review of randomised clinical trials », International Journal of Clinical Practice, vol. 62, no 6, , p. 947–54 (ISSN 1742-1241, PMID 18410352, DOI 10.1111/j.1742-1241.2008.01729.x)
- (ru) Titarenko (M. L.), Kitaiskaia Filosofiia : Entsiklopedicheskii Slovar, Institut Dalnego Vostoka (Rossiiskaia akademiia nauk), éditions Mysl, 1994. (ISBN 5-244-00757-2)
- (en) Loewe (Michael), Water, earth and fire: the symbols of the Han dynasty, in Divination, mythology and monarchy in Han China, Cambridge University Press, 1994.
- Robinet (Isabelle), Histoire du taoïsme, des origines au XIVe siècle, éditions Cerf, 1991, p. 14 (ISBN 220404251X)
- Cheng (Anne), Le renouvellement intellectuel des IIIe et IVe siècles, Entre indifférencié et principe structurant, in Histoire de la pensée chinoise, Seuil-Points collection Essais, 1997, page 336 (ISBN 9782020540094)
- Elman (Benjamin A.), From Philosophy to Philology, Intellectual and Social Aspects of Change in Late Imperial China, Cambridge Mass., Harvard University Press, 1990, p. 19 et 20.
- Xu Zhongshu (
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- Giovanni Maciocia, Les principes fondamentaux de la médecine chinoise, Elsevier Masson, 2008, pp. 43-45, 1286 p. (ISBN 2842999592)
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- (en) World Health Organization (OMS), WHO Scientific Group on International Acupuncture Nomenclature, A Proposed Standard International Acupuncture Nomenclature: Report of a WHO Scientific Group, Genève, 1991 (ISBN 9241544171)
- Maciocia (Giovanni), Les principes fondamentaux de la médecine chinoise, chapitre 53 Les huit merveilleux vaisseaux, p. 897-950, édition Elsevier Masson SAS, Issy-les-Moulineaux, 2008 (ISBN 978-2-84299-959-9)
- Guan-Cheng Sun, The Physiology of the 3 Gates in the Process of Energetic Development, in Qi, the journal of Traditionnal Eastern health and Fitness, Vol. 14, No. 2 : Summer 2004.
- Charles (George), Les exercices de santé du Kung Fu, Albin Michel, collection Arts de vivre d'Orient, 1983. (ISBN 2226017410)
- « The National Institutes of Health (NIH) Consensus Development Program: Acupuncture », Consensus.nih.gov (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Traité d'acupuncture et de moxibustion / médecine traditionnelle chinoise, éditions des sciences et techniques de Shanghai, (ISBN 7532338754).
- Dr Roger de La Fuÿe, L'acupuncture moderne pratique / L'acupuncture et les sports, Paris, E. Le François, .
- Kōichi Tōhei, Le livre du Ki - L'unification de l'esprit et du corps dans la vie quotidienne, Paris, Guy Trédaniel Éditeur, .
- Kenji Tokitsu, Budô : le ki et le sens du combat, Meolans-Revel, Éd. Désiris, (BNF 37191705).
- Chunyan Ning, Le "Qi" et l'art de l'acteur chinois : approche ethnoscenologique (Thèse de doctorat : Esthétique, sciences et technologie des arts), Paris, Université Paris VIII, .
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Pratiques associées[modifier | modifier le code]
Concepts associés[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la santé :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Analyse du terme Qi dans sa langue d'origine
- Analyse de l'idéogramme Qi